/chapitre 28/

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As-salam Aleykoum wa rahmatuLlah wa barakatuh.

Italie**

BismiLlah...

****

1 jour plus tard.

Chambre d'hôtel , Naples , chambre 307.

***

Iyed : tiens , tu mettras ça.

Me dit-il en me tendant un sac.

Moi : il en est hors de question.

Finis-je par dire en regardant l'intérieur du sac.

Une robe.

C'était une longue robe noir. Simple. Évasée vers le bas. Mais un dos nu avec une fente sur le côté.

Iyed : tu peux pas y aller habiller simplement.

Depuis que Sino était venu nous chercher la veille , pas un seul mot n'a été dit de sa part jusqu'à maintenant.

Moi : et bah dans ce cas là... j'y vais pas.

Dis-je en m'assaillant sur l'un des deux lits.

Il souffla , passa ses mains sur son visage et s'approcha de moi.

Il prit la robe que j'avais déposé un peu plus loin et me la tendit.

Iyed : met la.

Moi : dis moi où est ce qu'on va.

Il m'ignora ouvertement et en une fraction de seconde , mes pieds n'étaient plus sur la terre ferme.

Il m'emmena dans la salle de bain , me jeta la robe en pleine gueule et puis dit avant de fermer la porte ;

Iyed : t'as dix minutes.

Et il ferma cette foutue porte.

« je le déteste. »

Vraiment très fort.

Je regardais mon reflet dans ce miroir , je me trouvais hideuse.

Moi : si tu penses que c'est cette robe qui va cacher ces cernes , tu te trompes !

Criai-je.

10 secondes plus tard , la porte s'ouvrit.

Iyed : et c'est pour ça que avant de quitter Marseille , j'ai emporté ça avec moi.

Et il me montra ma trousse de maquillage.

Ma trousse de maquillage raiponce.

Mon cœur reçu un gros coup.

C'était Ayaz qui m'avait offert cette trousse.

Un soir , alors que j'étais entrain de regarder Raiponce pour la millième fois dans ma vie , Ayaz entra dans le salon accompagné de Nawra...

blanc aveuglé par le noir...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant