Bienvenue à Holmes ville

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PDV Derek :


Roulant depuis des heures, je n'ai aucune idée de ma prochaine destination, le seul indice auquel j'ai eu le droit par mon complice est que la ville ou nous allons atterrir est le plus « pourri » des endroits où nous allons vivre. Effectivement à travers la fenêtre du range rover, l'environnement se dégrade de plus en plus. Pourri est un euphémisme, a peine avons-nous dépasser le panneau « bienvenue à Holmes ville » que nous nous retrouvons sous des hordes de détritus a même les routes. Les maisons sont toutes aussi délabres les unes que les autres, Des commerces délavaient parfois même aux enseignes effacer ou arracher. Un frisson me parcourt l'échine à cette vue, nous n'avons jamais assister a autant de pauvretés au cours de nos voyages. Se garant face à une façade décrépite, ne percevant même plus la couleur d'origine du bâtiment a deux étages.

Le motel indiquant deux étoiles ne m'inspire aucune confiance. Un tour bref à l'accueil et mon ainé revient avec une clé à moitié tordu portant le numéro 14. Le suivant de prêt, montant l'escalier rouillé pour accéder à la chambre, je divague sur une douche bien chaude. Déverrouillant la porte, je découvre une pièce minuscule froide et sans âmes avec deux lits simples, une télé vielle comme le monde poser sur une commode tout aussi usé par le temps, des rideaux jaunis et une forte odeur de tabac froid. Déposant mon seul sac de voyage sur un des lits, je dévisage chaque recoin de cette chambre miteuse. M'avançant, j'aperçois la salle de bain de deux mètres sur deux au fond de la pièce, les tons verts et l'odeur de renfermer me donne la nausée. Pas le temps d'explorer plus que mon acolyte arrive derrière moi, me tapotant l'épaule dans une tape amical et plein de soutien.

Extirpant de sa valise un dossier épais, il me résume énergiquement les origines et les déploies de nos prochaines cibles. Dégouter par le lieu, je n'entends que la fin de sa phrase.

- Relis-le encore une fois, il faut que tu sois certain de connaitre chaque visage et chaque membre du groupe.

Confiant d'avoir appris et mémoriser ces documents, tout sourire et sur de moi, je lance.

- Argent, je connais chaque individu de ces fichus papiers par cœur.

Souriant à son tour, le plus vieux me dit.

- Je n'en doute pas Derek, allons dormir, demain est une grosse journée pour toi.

Rangeant ses affaires, enthousiasmer par notre prochain objectif, argent reprend.

- Tu rentres dans la plus grosse organisation malveillante de loup connue.

Gardant mon sac remplis, ne cherchant pas à déballer mes affaires alors que demain je rejoins une meute m'étant de coter toutes bienséances. Ne faisant que le mal autour de soi, allant jusqu'à torturer de pauvre innocent pour le simple plaisir, Je réponds sereinement.

- Je suis prêt.

Coucher dans mon lit de fortune, attendant le sommeil, je me remémore ces années à beacon Hills avec la meute McCall. Dire que ces petits cons d'adolescent ne me manquent pas serait mentir, j'ai l'impression d'avoir perdu une partie de moi, de ma famille. Surtout après autant d'aventure ensemble à nous soutenir, nous protéger, nous supporter. J'ai quitté rapidement la ville, la meute, ce sentiment de les perdre me rendez vulnérable, c'était ma faiblesse et puis chacun a pris son envol. Grâce à Deaton nous savons que Lydia, Jackson, Isaac et même Malia on réussit à aller à la fac, ils épanouissent. Scott est resté surveiller beacon Hills, sont territoire, sa vie reste dans ses bois, là où il a connu ses premières batailles. D'autres on prit des chemins différents comme Kira qui a décidé de repartir avec ses parents au japon, ou encore Liam qui a décidé de faire les mêmes études de médecine que son père en Californie, se laissant la chance d'être une personne comme une autre.

Pour ma part j'ai retrouvé argent et j'ai enfin trouver un but à ma vie, « protéger ce qui ne peuvent se protéger eux-mêmes ». Il y a longtemps de ça, j'aurai maudit ce mantra mais sa à changer mon avenir, je me sens enfin moi dans une certaine mesure. Je me sens utile. J'utilise cette force surnaturelle pour aider mon prochain qu'ils soient humains ou fantastiques. Nous avons mis nos différents de coter et travaillons ensemble à l'amélioration d'un monde meilleur pour chaque créature et humain de ce monde.

Changeant encore de position, mes yeux refusent de se fermer, soufflant d'exaspération, une image me revient tous les soir en tête. L'image d'une personne, ce visage à la fois dure est doux, ces yeux ambrés plein de malice, ses sourires tout aussi espiègles. Cette intelligence et cette ingéniosité a trouvé le moindre plan, la moindre solution a un problème. Ce sarcasme à m'en faire saigner les joues pour ne pas lui montrer mon hilarité cacher.

Je finis par me lever discrètement, essayant de ne pas perturber le repos du chasseur. Retrouvant l'air frais, je referme lentement la porte. M'adossant à la rambarde de l'escalier, je ne cesse de réfléchir.

Cinq ans sont passés et je n'ai aucune nouvelle de cette hyperactif bien trop loyal pour son bien, même Deaton reste évasif à son sujet.

A-t-il réussi à se faire admettre au FBI ?

Habite-t-il encore à beacon Hills avec son père ?

Aide-t-il encore son meilleur ami à combattre à beacon Hills, ou a-t-il couper les ponts avec tout le monde ?

Et si je m'étais ma fierté de coter pour l'appeler ? 





J'espère que vous apprécierais ce premier chapitre, je suis désolé s'il reste toujours des fautes orthographes ou de grammaires, vous commençais à connaitre mon écriture et me connaitre aussi (dyslexie encore et toujours présente)😪. Je voulais aussi remercie chaque lectrices ou lecteurs pour tous vos commentaire bienveillant et adorable envers toutes mes histoires, je sais que je ne réponds pas forcement à vos messages et je m'en excuse mais je l'ai lis bien et rougit parfois par temps de gentillesse😊 .

Prochain chapitre jeudi 25, en espérant que vous soyez nombreuse (nombreux). 😁

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