Unité trois à vous

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PDV Stiles

Sur le chemin ma jambe ne cesse de tressauter contre le sol de la voiture, le stress, l'angoisse, la crainte de ses dernières heures monte en moi et me rend encore plus anxieux. Mais mon irritation défit toutes ses autres émotions et tout sa a cause de ce loup de naissance. C'est dernier jour il a était plus que bon pour moi, il a été l'homme idéal, à l'écoute autant physiquement que psychologiquement il a sus me faire entendre raison et me mettre au repos forcer, prenant soin de moi pendant ses jours pénibles sans jamais se plaindre. Tout sa me met en colère contre lui car a cause de son attitude mon amour pour lui grandit chaque jour un peu plus et maintenant je ne suis plus sûr de rien. 

Dois-je vraiment continuer à combattre le mal même si je dois y laisser ma vie ? Et si c'était lui qui y laisser sa vie a cause de mon caprice.

Arrivant sur les lieux, toute mon unité sort du van dans un silence de mort. A la file indienne nous attendons patiemment que l'unité 1 se lance, écartant toute menace. A quelque mètre de nous furtivement j'aperçois Derek disparaitre dans la villa et rien que cette image me glace le sang et me serre le cœur. Et si c'était la dernière fois que je le voyer ou que je lui aurai adresser la parole ? cette penser tourne dans ma tête depuis quelques jours. Putain cinq ans que je poursuis cette seule et unique mission à savoir venger la mort de mon père et monsieur hale sexy muscle remet tout en question. La deuxième unité part à son tour dans la maison, pas un bruit ne sort du silence ambiant qui règne autour du bâtiment. Le bras lever d'un de mes compagnons de résistance nous tient en haleine, baissant son bras d'un geste vif il nous chuchote.

- Unité trois à vous.

Mes collègues se rue à l'intérieure discrètement essayant d'éveiller aucun soupçon de leur effraction. A mon tour je passe le pas de la porte, l'arme en main, en position défensive. Je reste cependant figer prêt de la porte, un corps et étalé a terre. Une balle dans son seul œil valide. Cyclope. Mon allié, mon ami git par terre, la tête dans une flaque de sang. M'agenouillant, je n'arrive pas à détourner les yeux du cadavre de mon frère d'arme.

Mon unité a disparu depuis un moment cherchant et combattant le reste des dissipes du gourou. Je me retrouve seule face a se visage vider de toute âme. Le détaillant de la tête au pied, je me souviens des instants passés avec lui, de cette confiance qu'il a eu en ma personne sans même me connaitre, j'entends encore sa voix resonné « toi t'es un bon gars, crois-moi je sens ses choses-là » ou cette fraternité qui s'est créer rapidement entre nous « on est plus que des potes, on est des frères d'armes ». Descendant mon regard j'aperçois un objet dans sa main, ouvrant délicatement son poing pour ne pas lui faire plus de mal, je découvre sa plaque militaire « robert Rupert » bordel je ne connaissais même pas son vrai nom. Mettant la chaine autour de mon cou je constate qu'un infime bout de papier était cacher derrière le pendentif. Mon cœur bat à cent à l'heure, le dépliant hâtivement, son écriture patte de mouche me fait sourire malgré moi. A chaque mot échanger nous avons toujours était direct, un numéro, une adresse, un synonyme était notre principe, ne jamais s'encombrer nous devions être simple, efficace. C'est donc sans surprise que je retrouve l'adresse du port de Holmes villes écrit au milieu de se bout de papier. Au début je ne comprends pas ou veut en venir mon ami puis les souvenirs refont surface depuis que je suis rentrée dans cette organisation.

Me retrouvant dans le bureau du boss à ce moment-là je suis persuadé qu'il a compris mon manège ou pire qu'il m'est reconnus, je me souviens de son regard poser sur l'une des photos sur sa cheminé « Mon père avait un yacht, je le détestais mais bon tout est bon a prendre quand il faut fuir n'est-ce pas Mieczy ?» je suis resté paralyser, la peur au ventre je n'est pas prononcer un mot jusqu'à qu'il reprenne « tu est le seul a le savoir, je ne sais pas pourquoi je te confie sa peut être aurai je aimé avoir un fils comme toi » je me souviens de la haine que j'éprouvé après cette conversation, de cyclope m'encerclant le torse pour que j'arrête de frapper de mes poings ce foutue mur devant moi, de ma confidence de ses mot qui m'ont anéantis. Cyclope a toujours était attentif à chaque révélation que Delgado voulait bien me confier.

Revenant au présent, je comprends enfin, le bateau de son père sa seul est unique échappatoire. Courant rapidement vers l'un des vans je hurle à la radio.

- DELGADO EST AU PORT.

Attrapant les clés rester dans le pare soleil, je démarre le véhicule en trombe et dans un crissement de pneu je quitte les lieux sans attendre la réponse de mes camarades. Je m'oblige à rester concentrer, à ne pas penser à Derek ou argent rester dans la maison avec le démon encore jamais combattu. Je dois rester focus si je veux aller au bout de cette vengeance mais le cœur n'y est pas parce que mon homme est resté loin et je n'ai aucun moyen de l'aider si il est en détresse.

Un grésillement provenant du talkie retenti dans la voiture, une voix grave pleine d'inquiétude mais aussi de détermination lance.

- Je suis là Stiles, je te suis. 





Je suis triste de vous annoncer que le prochain chapitre seras le dernier de cette fanfiction. En espérant que vous aimé toujours cette histoire 😁

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