Salut toi

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PDV Derek :

Apres avoir fait d'innombrable tour et détour pour ne pas être suivi, je me retrouve sur un chemin de terre. Me frayant un chemin dans les broussailles naturel, loin de la ville sale et répugnante que m'offre Holmes ville, je suis entouré par une forêt dense au millier d'espèce d'arbre et de végétations, qui me rappelle celle de beacon Hills. Des souvenir de nos entrainements dans ces bois me revienne en mémoire et la nostalgie prend place. Stiles a-t-il fait exprès de choisir ce lieu car inconsciemment il lui rappeler aussi son ancienne vie ? A la fin du chemin j'aperçois un magnifique petit chalet typique des vieux westerns, il n'est ni luxueux ni exubérant non il est naturel, pittoresque, brut comme j'aime. Me garant sur l'accotement, je reste subjuguer par sa beauté mais je me rends bien vite compte que c'est l'appréhension qui me rend immobile. Les questions n'ont pas arrêté de se multiplier pendant le trajet.

Pourquoi Stiles a-t-il envoyer cyclope ou cyclone ou peu importe pour me prévenir ? Pourquoi ne sait-il pas déplacer lui-même ? a-t-il eu des problèmes sur sa dernière mission ? Est-il blessé ? Delgado en a-t-il après lui ? Peut-on aimer une personne si fort que sa nous rend malade ?

Voilà vraiment ou je me situe, à me poser trop de question, à me rendre anxieux au point d'avoir la nausée pour quelqu'un d'autre, moi l'égoïste, solitaire je ne pense qu'a une seule chose STILES. C'est surement sa l'amour après tout penser d'abord au bonheur et au bien-être de son âme sœur.

Une voix pas si anonyme me fait revenir à l'instant présent.

- Tu te décides à rentrer ?

Me retournant rapidement, je suis à la fois choqué et heureux de retrouver mon mentor et ami.

- Chris ? mais qu'est-ce que tu fais la ?

Me saluant dans une accolade virile, je le serre contre moi mais mon esprit et ailleurs. Comment a-t-il pu trouver la cachette de Stiles aussi vite ?

- C'est Stiles qui m'a appelé.

Ces propos ne me rassurent pas du tout, fronçant les sourcils attendant plus de sa part je le questionne du visage.

- Stiles avait besoin de moi, il a trouvé quelque chose d'intéressant qui pourrait nous aider à détruire Delgado. Et avant que tu me demande quoi que ce soit, non il ne m'a pas parler de cette vengeance qu'il veut assouvir a tout prix.

Je me demande bien quelle excuse l'hyperactif a servi au chasseur pour que celui-ci accourt, ma question doit se lire sur mon front car argent reprend.

- Il ma avouer que Romuald lui avait tout dit sur notre entente et qu'il fait sa juste en mémoire a son ami.

Son petit rictus au coin des lèvres ne m'enchante guerre, je connais argent et cette espièglerie cache quelque chose, murmurant tout bas, il lance jovialement.

- Il ne m'a pas non plus parler de vous, si tu vois ce que je veux dire.

Expirant un bon coup face aux gamineries du plus vieux. Le visage rougis par ses paroles, je franchi en premier l'escalier qui mène à la porte d'entrée, argent sur mes talons m'encourage a frappé. Toquant franchement une voix me somme d'entrer. Scrutant la décoration veillotte ici et là, nous nous retrouvons devant un petit salon. Tout les meubles sont pousser au maximum vers les murs seul une table en bois trône au milieu de la pièce. Plusieurs individus dont mon humain sont penchés sur les trois ordinateurs derniers cri qui sont loger dessus, grimaçant a la vue de ses appareils de technologie avancé, argent exprime un peu trop fort son aversion.

- Tu arrives à t'en sortir avec tous se matos ?

C'est à ce moment-là que Stiles lève la tête d'un des ordinateur, tout sourire il s'approche de nous et enlace amicalement le chasseur tout en savourant sa réplique a l'encore du plus vieux.

- C'est sûr que c'est plus facile pour moi que pour toi, papy.

S'étreignant un moment, la joie de ses retrouvailles entre les deux personnes les plus importante pour moi me gonfle le cœur. Le maintenant d'une main sur l'épaule argent surpris examine de haut en bas Stiles.

- Stilinski est devenu un homme a ce que je vois.

- Je n'allais pas rester gringalet toute ma vie.

Enfin ses iris trouvent les miennes dans un sourire plein de complicité et de charme il délaisse Chris et viens à ma rencontre. Timidement il lance.

- Salut toi.

- Salut.

- Désoler de ne pas t'avoir donné de nouvelle avant je voulais pas que sa se passe mal pour toi et puis cyclone n'était pas dispo pour te passer le message et ....

Tout en serrant le petit bout de papier dans ma paume, je voudrais lui crier que je m'en fous de cyclope, de la villa, de ce qui pourrait m'arriver du moment que lui est saint et sauve je n'ai rien à craindre, mais rien n'arrive à sortir de ma bouche mes sentiments reste bloquer au fond de ma gorge. Je ne savais pas que dire à une personne qu'on l'aime était aussi difficile. Tout ce que j'arrive à faire c'est de l'attraper par la nuque et le ramène vers moi a quelque centimètre de mes lèvres.

- Tout ce qui compte c'est que tu aille bien.

Pressant mes lèvres sur les siennes j'entend non loin de là Chris se faufiler pour se présenter aux quelques personnes dans la salle, nous laissant de ce fait un peu d'espace. Collant mon front a celui de mon humain, calmement je lui demande.

- Ne me refais plus aussi peur, merde je suis plus habitué à paniquer comme ça.

- Promis, il ne t'as pas suivi ? 

Je sais pertinemment qu'il parle de son ami, délaissé dans la gueule du loup. La crainte que je lis dans ses yeux ne me dis rien qui vaille. J'aimerai pouvoir lui promettre que tout iras bien pour lui mais je ne peux pas lui mentir, j'aimerai le protéger de toutes ses peines de toutes ses peurs qu'il ressent. J'aimerai rester ma vie coller au front de cet homme et lui garantir un avenir meilleur. Tout ce que je peux faire pour l'instant ses mettre des mots sur notre avenir, dans un murmure je demande.

- Je veux te l'entendre le dire.

Perplexe Stiles fronce les sourcils ne comprenant pas ma demande. Ouvrant ma main je lui dévoile ce bout de papier littéralement friper entre mes doigts. Souriant jusqu'au oreille me faisant languir il ne répond pas tout de suite. Un raclement de gorge provenant de la bouche de mon mentor nous détourne l'un de l'autre, argent en profite et réclame.

- Tu peux nous expliquer c'est quoi cette découverte si important pour nous avoir fait venir ? 

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