Où est Stiles ?

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PDV Derek

Quatre jours que je n'ai pas vus l'humain, que ce soit dans cette foutue maison ou dehors, je suis de plus en plus anxieux. Apres un appel de Delgado, Stiles a dû fuir rapidement pour régler je cite « un problème sérieux ». Apres sa ce fut le silence totale, malgré mes tentatives pour le joindre, je reste dans l'ignorance. Je n'ai aucune confiance en chaque personne de cette meute, les messes basses après mon passage dans cette maison et les regards en biais me renforce dans mon ressentiment. Je suis sûr que certains d'entre eux savent quelque chose, j'ai l'impression d'être examiné en permanence et j'ai de plus en plus la sensation de participer à une secte ou une faction servant leur roi aduler et je crois bien que c'est moi le prochain loup à cuire sur le grill. Ce qui m'effraie d'autant plus c'est que ce foutue humain hyperactif ne répond toujours pas.

Quand nous nous sommes séparées Stiles m'as juré de revenir vers moi au plus vite, sachant que je suis fliquée par Delgado du a son manque de foi en moi, il préférait se mettre lui-même en danger et comme je sais que cette hyperactif n'écoute rien même après moulte discussion, notre désaccord a fini par lui laisser raison pour cette fois. Je regrette déjà d'avoir céder à mon humain. N'ayant plus le choix je me tourne vers la seule personne qui pourrait m'apportais des informations tangibles. Attendant que mon interlocuteur réponde, je fais les cents pas dans cette énième chambre d'hôtel sans aucune âme et aucun confort.

- Allo ?

- Chris, dis-moi que tu sais où est Stiles ?

La surprise et l'incompréhension s'entendent dans sa voix.

- Quoi ? comment veux-tu que je le sache. Ce n'est pas toi qui es coincer dans cette baraque avec lui ?

Autoritairement sans attendre ma réponse, argent me demande anxieux.

- Et tu en sécurité actuellement ?

C'est notre premier règle depuis le début. Appeler son coéquipier quand on est sur d'être dans un lieu en sécurité, sans hésiter je lui réponds instantanément, effaçant sa crainte de me savoir en danger. 

- désolé, Oui je le suis.

Me grattant la tête, soufflant d'espérer je continue.

- Sa fait quatre jours que je n'ai pas de nouvelle, ça m'inquiète, il m'avait promis de revenir vers moi mais je n'ai toujours pas de nouvelle.

Essayant de me rassurer au mieux face à mon hystérie, le plus vieux lance le plus naturellement possible.

- Derek, ne t'inquiète pas il doit surement encore être en mission ou un truc du genre.

Agiter, parlant a toute vitesse, je me confie sur mon désarroi. 

- Chris, bordel je me sens impuissant ici, personne ne me parle et je l'ai comprend personne n'a confiance au mec qui s'est fait intégrer par le traitre du groupe. Je ne sais pas quoi faire.

- Pourquoi et tu dans cet état. Derek je veux que tu me répondes sincèrement que se passe-t-il avec Stiles ?

Un silence prend place et c'est avec cette simple question que je lâche tout, de mon premier jour dans la villa à notre sortie improviser il y a quatre jours de ça. Je néglige aucune discussion que j'ai eu avec mon humain, si Stiles a bien disparu je ne veux omettre aucun indice. Dans la conversation, j'entends les exclamations parfois choquer souvent peiner de Chris, lui aussi souffre et se sent totalement à l'écart de ce qui s'est produit pendant notre absence a beacon Hills. Mainte fois il a porter son aide au shérif et ça le chagrine de savoir qu'un honnête homme n'est plus de ce monde, qui plus est un père qui a délaissé son fils. Je pense qu'il se retrouvé un peu dans le tempérament qu'avais monsieur stilinski. Ce mettant d'accord il décide de revenir dans les allant tour et d'enquêter pour moi. Pour Stiles. Pour cet adolescent qu'il a vus grandir. Et surtout pour Monsieur Stilinski. Me reprenant je décide de retourner à la villa, priant pour que ce stupide humain soit de retour.

Garer non loin de cette immense demeure, je décide de finir le chemin à pied. Perdu dans mes pensées je ne sens pas tout de suite ce mouvement brusque qui m'arrache une grimace. Une main m'empoigne l'épaule brutalement et me propulse sur l'arrête de ma voiture de location. Le souffle couper je suis surpris de découvrir le fameux cyclone encore accoutrer de son fidèle treillis. J'aurai du me douter que ce militaire de mes deux était un jacquard garou. le corps contracté tout en alerte a ce qui l'entoure me fait tiquer, pourquoi est t'il si tendu ?. Le ton directif à mon encontre me contrarie, qu'est ce qu'il a mis dans cette état là? 

- Il faut que tu partes tout de suite.

Enerve par son comportement, méprisant a mon tour, je réponds.

- Sinon quoi, tu vas me tuer au milieu de la rue ?

Amèrement il me lance.

- T'a pas compris, c'est Mieczy qui m'envoie abruti, il faut que tu partes tout de suite, retrouve le.

Dissimulant un papier dans ma main droite, vérifiant de gauche à droite les alentours je suis son regard intriguer par son attitude étrange. Pour une personne extérieure son comportement est limite crapuleuse digne d'un vrai film de mafia. Sa me ferai presque rire mais il y a se petit quelque chose dans ses yeux qui me chagrine. 

- Dis-lui que je reste, je couvre c'est arrière.

J'en déduis que Stiles avait bien un allié et de plus je n'avais pas tort sur mon intuition. Cyclope fait bien parti des résistants. Ecrasant le papier dans ma main part peur de le perdre, je sens la panique enflée dans la poitrine de l'homme en face de moi, se retournant pour disparaitre, j'attrape à mon tour sa veste et lui demande.

- Et tu sur que tout ira bien pour toi ?

Me souriant tristement, tapotant mon épaule en guise d'encouragement, l'homme en treillis me dit.

- Je comprends pourquoi il est autant loyal envers toi, tu es une bonne personne, se soucier d'un type que tu ne connais pas et qui pourrait te tuer sans aucun remord.

Décontenancer par tant de familiarité avec mon humain, je sens la jalousie réimprégner mes pores. Et il doit le sentir car fier de lui, cyclope me lance.

- Il ne sait rien passer entre nous, je ne suis pas de se bord là, c'est un frère d'arme mais prend soin de lui, il a souffert et j'aimerai que sa se termine bien au moins pour l'un d'autre nous. S'il a besoin il sait comment me contacter.

Sans autre parole cyclope disparait pour de bon cette fois, pour ma part je ne perds pas de temps. Remontant dans la voiture cabosser à présent je déplie le bout de papier. Une seule adresse et noter sur ce bout chiffonner. Sans attendre je reprends la voiture et fonce le rejoindre.  



Prochain chapitre jeudi 24 😁

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