Chapitre 15

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La douleur qui tambourina dans ma tête, me fis vomir sur mon lit.

J'ouvris les yeux prise de panique, et grogner et râler en italien.

Les secondes qui suivirent, furent le tremblement de la maison causé par les pas de ma mère.

Elle entrait avec fracas dans ma chambre, et me sourit de toute ses dents en lâchant d'un tond enjouer :

T'as première cuite ! AH j'adore tu deviens une ado normale ! J'ai pas loupée votre éducation !

Elle se rejouait un moment avant d'aller chercher un sceau pour que je puisse vomir dedans.

- Je suis si heureuse, vas te laver, commençait-elle en montrant ma salle de bain, je vais nettoyer ton lit amor mio.

Sans broncher je partis à la douche.

Les heures défilèrent de la même manière : vomir, dormir, et éponger.

Ma mère s'occupa de moi du mieux qu'elle put, entre son euphories et l'alcool qui couler dans ses veines.

Mon téléphone se mit à sonner dans les environs de dix huit heures.

- « Coucou ma crème anglaise ! »

- Salut Livio, arrivais-je à articuler la boucher encore pâteuse de ma dernière sieste.

- « Ca va ? T'as vus les tweet d'Amber ? »

- Non, elle a dit quoi encore ? Lui demandais-je en me levant une boule au ventre.

- « Elle a parlé sur ta prestation et-... »

- Qu'elle prestation ? Crachais-je un peu trop sèchement.

- « Tu t'en rappelle pas ? Attend je t'envoie les vidéos... »

Livio m'envoya deux vidéos, la première, c'était moi entrain de danser collé serré au bras d'April, avec la musique I see red.

Les regards des garçons n'étaient pas discrets et ils étaient collés à nous.

Je quittais la deuxième vidéo, et observais la deuxième.

Bon Dieu...

Mon corps se déhanchait contre un homme, il avait les mains posés sur mes fesses, et nous descendions à l'unissions pour remonter, et que je l'embrasse langoureusement.

- Putain, crachais-je en m'allongeant.

- Ca va Ly ? M'appelait ma mère de sa chambre.

- Non, je vais mourir au lycée ! Hurlais-je.

- « Ca va, Caleb t'a arrêtait avant de coucher avec Damon, il devrait te secourir une deuxième fois »

Ma mère débarqua dans ma chambre subitement, elle s'assit sur mon lit et salua Livio.

- Elle a fait quoi ? questionnait ma mère.

- « Montre lui »

Je passais mon téléphone à ma mère, et un sourire en coin étira ses lèvres.

- Mais c'est qu'elle est sexy ma fille, dit-elle en m'observant.

- Je vais décéder lundi, disais-je.

- « Ca va ta ken avec personne »

J'espère bien...

Lundi matin, lycée de Manhattan...

Un faux sourire aux lèvres, j'entrai dans le grand bâtiment principal.

A ma plus grande satisfaction, aucun regard ne s'était tourné sur moi.

Violin and PianoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant