Chapitre 5

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J'avais dus me réveiller à six heures du matin, pour les simples désirs de monsieur Moreira.

Je pesais le pour et le contre de me lever, ses cours était intensive, et pour l'instant je n'avais rien appris sur le football. Et en même temps je devais me lever, pour lui prouver que me lever si tôt ne changeait rien à ma vie.

J'optais pour la deuxième option, après avoir pris un petit-déjeuner, loin d'être bref. Je partis sous la douche.

Après mettre préparer, je partis à pied au lycée.

J'avais environ vingt-cinq minutes de marches avant d'y arriver, mais je gagnais cinq minutes en faisant un footing.

Le soleil se leva lentement, et j'admirais ce spectacle.

Quelques minutes plus tard, je posai enfin mes pieds au lycée.

Ce petit footing m'avait bien réveillé.

J'étais de bonne humeur, et l'attardé n'allait sûrement pas l'enlever ce sentiment de bien-être.

Je fis quelques étirements, quand j'entendis un ronronnement de moto.

Ce bruit s'arrêta, et Damon ne mit pas longtemps à venir.

Il était habillé d'un survêtement gris, et un tee-shirt noir tout simple.

Je lui montrai ma bonne humeur en faisant une roue.

- Sans les mains, maintenant, me demandait-il comme si je n'arriverais pas à la faire.

Je lui montrai que j'arrivais à faire un salto costal.

Ma respiration fut plus saccader, alors qu'il m'applaudissait je fis une petite révérence.

- Salut Lane, me saluait-il en posant son sac au sol.

- Bonjour Moreira, lui répondais-je.

- As-tu bien dormis ? Me narguait-il.

- Comme un bébé, je même eu le temps de te concocter une série d'exercice à faire.

C'est faux, je les ai fait au dernier moment en même temps de me brossais les dents.

Son visage se décomposait avant de reprendre un air neutre, il comprimait sa mâchoire, et me fusilla du regard.

- Echauffe-toi avec trente pompes, Lane.

- Réchauffe ton cerveau avec des calculs mentaux, Moreira.

°°°°

- Allez, encore une pompe.

Je soufflais en faisant un dernier effort.

- Sept... fois.. huit, demandais-je en remontant sur mes bras.

Il émit quelques secondes avant de finir par le répondre :

Cinquante-six !

J'hochais positivement de la tête en m'affalant au sol.

- La racine carrée de cent vingt-cinq, demandais-je en réfléchissant moi-même au résultat.

Je réalisai rapidement, qu'il ne pourra jamais ne donner le résultat exact.

Je suis horrible.

Ses sourcils fronçaient, il essaya de trouver le résultat, mais s'en peine je le laissai mijoter.

- Onze ? Me proposait-il.

- Non, répondais-je en me levant.

- Onze et demi.

- Non, ça doit faire plus de cent trente cette merde.

Violin and PianoOù les histoires vivent. Découvrez maintenant