Chapitre 38

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J'assistais à la réunion de cet après midi. D'après les infos de l'équipe de mon frère, il se dirige vers Clermont-Ferrant. Ce soir on va essayé de l'intercepter.

———
Dans la voiture 18h39

Younès : Ilan faut que tu passe à l'hôtel pour déposer Liyah après on y va direct.

Liyah : Quoi ?! T'es un ouf toi, je viens.

Younès : Venir de quoi ? Tu restes à l'hôtel fin . Y'a pas débat.

Liyah : LAISSE MOI VENIR !!

Younès : Pourquoi tu cris ? Je savais tu m'aurais casser les couilles. Ilan demain tu l'envoie à Paris.

Liyah : C'est une putain blague la ? Tu crois tu peux décider si je reste ou non ? Si j'ai envie de rester je reste.

Younès : On verra alors si tu vas rester

—-En appel—-

Younès : Ouais allo ?

...

Younès : Ouais, sur le périphérique. Ok vas-y

—-Fin d'appel—

Younès : Ilan sort de l'autoroute à la prochaine.

Ilan s'exécute sans demander plus d'informations. Je pense qu'on l'avait tous déjà deviné l'équipe d'Adem l'avait repéré.
C'est très cliché mais on a fait une course poursuite en slalomant entre les voitures qui venait d'en face et ceux de notre voie.

Younès : Ilan coupe par les champs

Liyah : T'es pas sérieux là ?

Ilan : Accrochez vous !

Ilan tourne le volant sec, moi essayant de m'accrocher comme je peux. On fini par traverser les champs.

—En appel

Younès : Ouais allo !
...
Younès : Ok vas-y, de toute façon on n'est là

—Fin d'appel—

Ilan : Alors ?

Younès : Arrête toi ! Ils ont eu un accident. la voiture est encastré dans une maison inhabitée.

Liyah : ADEM ??!

Younès : Non Rayan, pff elle comprends vraiment rien.

Liyah : Oh ferme ta gueule s'il te plaît ! Tu commences à me saouler pff

On sort de la voiture, on se disperse autour de la voiture. Nos armes sont braqué sur celle-ci, prêt a tirer au moindre mouvement. La voiture était retourné à l'envers. On avait vue sur l'arrière de la voiture.
Je pars un peu plus loin avec Ilan parce que c'est hors de question que je reste une minute de plus avec l'autre. Je me mets à chuchoter

Liyah : Vous allez quand même pas lui tirer dessus quand il va sortir ?

Ilan : T'inquiète..Liyah accroupi-toi on s'est jamais.

Liyah : Ok vas-y.

Je recule et m'accroupis,  en reculant mon pied, je suis tombé sur les fesses.

Liyah : Ah putain, chou de fleur de merde. Tien ta mère

Je mets un coup de pied au chou fleur.

Chronique de Liyah : Mon amour venu de la cité [REECRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant