Petite entrevue

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LEMON! LEMON! LEMOOOOOOOOOON!!!!!!!!!!!!!

Voilà vous pourrez pas dire que je vous ai pas prévenu.

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-Me touches même pas en rêve, gamin, fit-elle.
-Répètes pour voir... la menaça le Patron.
-J'ai dit: Me touches même pas en rêve, gamin, répéta Amelia avec arrogance.

Ils se dévisagèrent silencieusement durant un court instant avant que le Patron se recule légèrement.

Amelia pensa qu'il avait laissé tomber alors qu'elle le vit disparaître dans le couloir des chambres.

En réalité, le Patron n'était pas du tout aller dans les chambres mais dans la salle-de-bain. Il prit plusieurs somnifères et les glissa dans ses poches...

Le Patron retourna ensuite dans le salon où Amelia débattait avec le Prof sur l'utilité des cochons tirelires. Il grogna en prenant une gorgé de vodka. Il allait devoir attendre.

La soirée continua. Le Patron hésita à plusieurs reprises à se servir des somnifères sur lui vu le niveau assumant des débats. Le Prof essayait maintenant de convaincre Amelia que les armes ne servaient à rien mais elle démontait chacun de ses arguments. D'ailleurs, elle s'amusait bien. Le Prof s'avérait un excellent orateur et elle risquait de se laisser convaincre si elle l'écoutait trop. Elle avait joué avec le Geek à Assassin's creed, chanté avec Maître Panda, énervé la Fille, essayé de réveiller le Hippie - vainement - et beaucoup ris grâce à Mathieu. Finalement, le Geek alla dormir, épuisé. Le Patron estima qu'il était temps.

Il se leva et glissa discrètement les somnifères dans les verres de ses "collègues". La Fille fut la première à en sentir les effets et alla dormir. Mathieu fit bientôt de même et le reste de l'équipe suivi. Enfin. Sauf le Hippie, qui ronflait toujours sur le canapé, et le Patron. Il s'était levé et faisait face à Amelia.

-Echec et maths, gamine... souffla-t-il.
-Qui a dit que j'avais perdu?, riposta-t-elle.

Le Patron ricana avant de la tracter jusqu'à la chambre qu'elle lui avait attribuée. Une chambre aux murs noirs encres avec un lit king size.

-Ça vire au cliché... songea-t-elle en se plantant au milieu de la chambre.

Elle sentit le souffle du Patron dans sa nuque quand il l'attrapa par la taille pour l'attirer à lui. Ce contact chassa toute trace d'alcool des veines de la jeune femme.

-J'ai une question... souffla le criminel en déposant ses lèvres sur le cou d'Amelia.
-Je t'en prie... chuchota-t-elle, les lèvres et la gorge sèches.
-Est-ce que tu as peur?

-Oui. Mais c'est en affrontant ses peurs qu'on les vînt, aurait-elle voulu répondre.

-Non, répondit-elle au lieu de quoi.

Elle se retourna et colla ses lèvres à celle du Patron. Ce dernier la souleva en lui mordillant la lèvre inférieure, lui arrachant un gémissement. Elle entoura la taille du criminel de ses jambes alors qu'il les faisait tomber sur le lit.

-Gamine... commença-t-il, à quatre pattes au dessus d'elle. Je risque d'être beaucoup moins doux avec toi aujour... mmh...

Elle l'avait fait taire en l'embrassant. Elle laissa le Patron la déshabiller alors qu'elle ne réussit qu'à lui arracher sa chemise. Elle le fit tomber sur elle pour pouvoir rouler et se mettre à cheval sur lui, sur son bas-ventre. Elle se mit droite pour le regarder.

-Retires tes lunettes, souffla-t-elle, la voix légèrement rauque.

Le Patron s'exécuta lentement sans perdre une miette du spectacle qu'elle lui offrait. Elle se pencha en avant et l'embrassa encore en défaisant la boucle de ceinture, puis les boutons du pantalon du criminel. Elle quitta ses lèvres pour laisser les siennes glisser le long du torse du Patron pour descendre jusqu'à la lisière du boxer et remonter lentement. Elle agrippa le pantalon et le boxer de son amant et les poussa vers le bas, libérant ainsi l'érection du Patron. Elle fit à nouveau descendre ses lèvres mais ne s'arrêta pas au bas ventre. Au contraire, elle descendit jusqu'au penis de son amant et se mit à en lêcher doucement le bout, arrachant un râle de plaisir à l'homme. Elle continua avant de le prendre complètement en bouche. Le Patron lui attrapa les cheveux pour accentuer les mouvements en poussant des grognements de plaisir.

-Putain!, cria-t-il en la lâchant. J'vais venir.

Elle ne s'arrêta pas pour autant, au contraire. Le Patron se laissa aller dans sa bouche. Elle avala la semence en réprimant un lever haut-le-coeur avant de remonter près du visage de son amant...dont l'érection ne faiblissait pas.

-T'as d'autres talents cachés gamine?, demanda-t-il.
-Peut-être... souffla-t-elle.

Il eut un sourire carnatier et l'embrassa en l'attrapant par les cuisses pour les lui faire écarter un peu plus. Elle gémit en frissonnant quand il se mit à la caresser doucement. Elle libéra ses lèvres avant de se remettre droite et de s'empaler sur le membre érigé de son amant, leur arrachant tout deux un cri de plaisir. Elle commença à doucement bouger le bassin en respirant par saccades.

Le Patron la colla brusquement contre son torse et les fit rouler. Il lui fit un suçon en continuant ses aller-retour. Elle de mit à hurler de plaisir en lui lacérant le dos. Il accéléra encore, poussant des bruits animaux. Il se retira brusquement avant de s'enfoncer violemment en elle. Elle cria encore. Il recommença. Le dos d'Amelia s'arqua quand il se mit quasiment debout pour rendre ses mouvements plus violent. Elle agrippait les draps de lit en gémissant. Il se laissa aller une nouvelle fois en elle.

Il se retira avec un grognement de plaisir. Son plaisir ne faisait que croître. Il la mit à quatre pattes. Il se mit à la caresser doucement avant de lui enfoncer un doigt dans le rectum. Elle gémit, partagée par la douleur et le plaisir. Le Patron attendit que la chair se détende pour y enfoncer un deuxième puis un troisième.

-Prête gamine?, murmurra-t-il avant de retirer ses doigts pour s'enfoncer en elle.

Elle cria. Mais de douleur cette fois. Elle sentit les mains du Patron glisser sur la peau pendant qu'elle se faisait au membre de son amant. La douleur s'atténua doucement et elle commença à prendre du plaisir. Elle ondula doucement son bassin. Le Patron l'attrpa par la taille pour ne pas qu'elle se blesse.

-Je vais bouger... souffla-t-il en bougeant son bassin vers celui d'Amelia.

La jeune femme gemit de plaisir et de douleur. Elle se mit malgré elle à chercher à accélérer le mouvement. Le Patron se plia à la demande et accéléra en faisant des mouvements de plus en plus violent et en poussant des cris bestiaux. Amelia commençait vraiment à aimer ça. Il se laissa encore aller en elle. Il voulut se retirer mais Amelia envoya son bassin contre le sien. Il continua donc jusqu'à se laisser aller plusieurs fois encore.

Et ils continuèrent comme ça toute la nuit...

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Hello! Alors, oui, je ne l'ai pas posté mercredi. Mais c'est normal étant donné le caractère... disons... hors catégorie... de ce chapitre. Le prochain chapitre sera néanmoins bien mercredi! ;)
Voter/Commenter si vous le désirez, ça fait toujours plaisir.

Ps: J'ai du mal à croire qu'on a dépassé les 3K de vue... vous êtes juste... merveilleux!

Schizophrénie mafieuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant