CHAP10 : KAÏSSE

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Lorsque mon visage étreinte le siens, je fus submergée par une vague de multiples émotions, parfois, l'enthousiasme comme celui d'un môme à qui l'on tent une sucrerie. Un désir infini relative à celle d'une personne qui s'acharne à l'obtention d'un diplôme. Une passion naissante et ardente qui embrasse mon cœur et mon souffle. Mais aussi, une multitude de questionnement, donc celle la plus pertinente, comment a t'il eu mon adresse ? Une partie de moi s'abandonne à l'idée que l'argent ouvre toutes les portes...

- Que faîtes-vous ici ?

À cet instant, juste à l'intonation de ma phrase, son visage souriant et désireux laissent place à l'homme d'affaires implacable, insociable que j'ai vue défilé pour la toute première fois dans le restaurant fait surface.
Il s'apprêtait à articuler, lorsque ma mère le devança,

- Kaïsse, qui est-ce ?

Ma mère ne cessait d'articuler cette même phrase que mon cerveau, s'emballe, et que ma bouche prononce,

- Un amis.

À l'évocation de ce vocabulaire, l'homme en fasse de moi, donc mes yeux n'avaient nullement esquivé, me sourit fièrement, chose que moi aussi laisse entrevoir en baisant le regard vers le sol.

- Qu'il entre, decla ma mère.

J'acquière et me décale de quelques centimètres vers ma droite, le lisant la libre circulation, il fit éruption dans la salle, que le visage de mère lâche un grand sourire sur les lèvres en voyant la carrure imposante de cet homme que je prétends être un amis. Excepté kelissa, aucune autre personne n'est jamais venue ici, nous n'avons pas de famille, du moins d'après les dit de ma mère.

Il resta toujours statuette près de moi, j'en profitais pour admirer son jean gris, parfaitement collé à son corps, sa chemise blanche qui reflète son torse musclé et terriblement attirant, ça barbe de quelques jours parfaitement éliminé, ses lèvres...

- Kaïsse, ne reste pas plantée là !

Je ressors de ma transe de contemplation, et referme derrière lui, poursuit ma mère;

- Venez prendre place, kaïsse, apporte un couvert.

J'ouvre la marche et m'exécute aussitôt, j'entends nettement qu'il prend place, avant d'ouvrir un tiroir bleu foncé et y ressort un couvert, j'entends ma mère, lui faire la causette.

- Comme ça, vous êtes son ami ?
- De ce qu'il paraît, oui !

Il ne pouvait pas, simplement dire oui ? C'est si difficile ? Me demande-je !

- Savez-vous que vous êtes le tous premiers hommes qu'elle ramène à la maison ?

À cette évocation, je me retourne brusquement,

- Maman! je ne l'ai pas ramené. Dis-je en m'avançant vers eux. Excusez ma mère, lui dis-je.
- Non, ce n'est rien.
- Nous avons fait un brouillon de pomme de terre garni d'un bœuf fumé. Je vous en sert ?
- Kaïsse ! Quels sont ses manières ? Voyons, on ne propose pas de la nourriture à un homme, on l'en procure. Veillez bien l'excuser.
- Ce n'est rien madame.

Je lui en procure comme la suggéré ma mère, puis m'installe, et l'on commence la dégustation. Je profitais qu'il était reconquevie dans son plat, pour continuer mon sondage, ses yeux d'un marron clair envouteraient toutes celles qui s'aventurent vers eux, une chevelure taillé mais reflétant une douceur, que mais mains veuillent ébouriffés. À vrai dire, je ne delecterais jamais d'admirer cette perfection.

- Quel délice.

Déclare t'il en direction de ma mère, celle-ci me sourit et retourne ses iris vers mon aveuglant;

KAÏSSE : ENTRE POUVOIR ET AMOUR  [ RÉÉCRITURE] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant