CHAP 49 : CATHERINE

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Le désespoir de l'un à toujours œuvrer pour mon plus grand bonheur, et cette énième réalité se frappe de présentiel lorsqu'à travers les vitrines vitrées qui trônent cette fenêtre, je peux apercevoir; pour le plus réconfortant de mes rétines, Eléonore Yenh, complètement désorientée suite à son réveil frapper de la triste réalité qu'elle ne pourra plus ; à n'aucun jour, cette peste et garce ne pourra élancer fièrement cette langue de vipère dont elle a eu à hériter lors de l'accident de sa conception. La sensation de bien-être n'est plus paroxysmal, quand, ce très cher médecin de se dans la contrainte de devoir enfuir les pulsions sauvageonnes de cette énergumène et détraquée qu'est Eléonore, à travers cette injection de sédatif. Cet alors que, sa sobriété vers le néant me submerge d'une émotion quasiment inconnu. Ce qui demeurait non utopique, c'était évidemment ce désir de sexe qui grandissait fièrement à mon entre-jambes.

Lorsque le médecin ressort de cette pièce et daigne immédiatement à nous briffer sur la situation, la satisfaction imparable s'empare empressement de moi; et je ne peux que tomber sur un réconfort unanime au regard de ma chère Elisabeth, qui, ne daigne démontrer sa plaisance face à ce réel. Entêté tel sa minable de sœur, Ruth s'empresse de se rendre dans la chambre de cette muette, y ressort quelques instants avant d'y refaire escale, mais, cette fois-ci, avec à sa mains, un bloc note et un stylo. Évidemment, mon système de mise en garde se met immédiatement en éveille. Malgré la prévention du médecin sur l'éminence qu'elle est altérée sa mémoire, il n'en reste tout de même une infinité de chance qu'elle n'est eu à subir celà et qu'elle relate tous les faits ; bien qu'ils ont agit sous couvertures et ayant aborder des masques, il est bien probable qu'elle puisse donner une description détaillée et nette de comment ses bourreaux peuvent se présenter. À cette évidence, mon allure fière et arrogante se voient peu à peu remplacer par un soupçon de crainte et de méfiance, au point d'arriver à m'éloigner du couloir sans même le savoir, toujours captivée par mon doute cartésien.

- Allons Heyen, ne me dites pas avoir peur.
- C'est le sentiment le plus primitive de l'homme à ce que je sache, madame Nyan.
- Certe, la peur est le premier sentiment que l'être humain cultiver dès ses premiers pas. Mais alors, cette peur n'est que présentée pour altérer notre faculté et nous mets constamment en doute, non pas sur nos actes, mais plutôt sur notre potentiel. Alors, Catherine, douterez-vous du potentiel de vos hommes ?
- Aucune mission ne peut être accomplir sans dommage collatéral, c'est bien ce qui nous a été prouvée par cette chose reposant dans cette pièce. Alors, c'est un Oui catégorique que j'appuie, le potentiel de mes hommes de mains n'est certe pas altruis au doute, mais l'efficacité reste à prouver.
- Vous vous êtes fait commandé un cerveau entre-temps très chère ? Ou, avais-je altérée mon jugement sur vous ?
- Ne pensez-vous pas que nous allons plus à régler ?
- Bien-sûr, l'initiative de Ruth, m'avait toute fois échapper, ma foi, elles peuvent être surprenante.
- Qu'allons-nous faire dans ce cas ?
- Rien .
- Que dites-vous ?
- Je croyais avoir été assez audible. Nous n'allons rien point agir.  Sais-tu pourquoi les prédateurs naturels sont les plus à craindre ?
- Peut-être parce qu'ils sont les plus féroces et que leurs anatomies sont plus imposants que d'autres ?
- Erreur ! Simplement parce qu'ils font preuves de patience lors de la chasse qu'ils demeurent éternellement les prédateurs les plus crains. Alors, demeurons comme tels. Soyons patients, observons et dès l'instant où une alternative se présente à nous, frappons de toutes nos forces dans cette brèche à fin qu'elle ne se referme plus. De ce fait, j'aimerais que vous fassiez votre plus grand sourire et revenez à la barre.

Nous refont dès lors des enjambées retour et alternativement, la police se dirigeait face notre direction. Le stress ne tarde à s'emparer de moi; pourquoi si soudainement je me mets à craindre la police ? Minable qu'elle soit, elle dépend expressément de mes multiples dons, alors pourquoi je crains ce que je nourris ? C'est absurdes d'avoir peur,

KAÏSSE : ENTRE POUVOIR ET AMOUR  [ RÉÉCRITURE] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant