CHAP 50 : ÉLISABETH

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La stupidité d'un être s'accentue lorsque celui-ci baigne dans l'idiotie constante. Et oui, cela fait notamment référence à cette attardée neuronale de Catherine Heyen, à trop jouer avec le feu on finit par se bercé d'illusions qu'être le maître jusqu'à ce que cette utopie s'évapore en se faisant calciné par son propre feu. Ironie total du sors, Catherine est ce style de personne à aborder fièrement et vaillamment l'idéologie d'être la contexte du jeux, ce qui est quasiment leurrant, car cet homme bon marché, son regard, l'assurance et l'arrogance de sa manipulation de la langue laisse entrevoir en lui, un trou noir, l'un de ceux qui vous envahir complètement sans aucun instant de réplique. Le commandant Yamote est certe manipulable, mais cet inspecteur, Geoffrey se fait-il appeler, présente une chose, un désarrois, un ora horrifiquement sombre, juste à son approche, la quasi-totalité de mes sens se sont mit en éveil. Aucun homme sur cette terre n'avait pu me faire atteindre cet état de crise intellectuelle et physique. Devrais-je me débarrasser de lui ? Et s'il avait anticipé avant même que j'ai eu à y penser !? Ceci pourrait se justifier, si non, pourquoi avoir fait entrer la proie et laisser le chasseur juste en arrière ? Et cette porte qui tarde à s'ouvrir, Catherine a-t-elle tout déballée ? Cette garce. Idiote de son espèce, elle n'a sûrement pas pû retenir son venins et a sûrement voulut le déverser, mais ingénieusement, Geoffrey, l'a sûrement empoisonnée avec son propre venins. Toujours préoccuper mentalement et frissonnant physique, je déboule les cent pas le long de la largeur de cette porte.

- Madame, je...

Elle fut interrompue par l'ouverture de la porte. Geoffrey, tenant la manchette de la porte, et laissant paisiblement Catherine quitte la pièce. Elle présentait un visage crispé, les émotions en charpie, un trouble psychologie qui se reflétait par le détraquement de ses rétines qui s'enroulent brutalement et brusquement de tout les sens; était-ce de la torture ou un interrogatoire ?

- Nous vous remercions pour votre coopération mademoiselle Heyen. Nous vous prions de ne pas quitter le territoire national tout le long de l'enquête.

Avait-il fait parvenir dans nos ouïes respectives, tout en abordant joyeusement un sourire stratégique. Puis, d'un simple revêt d'œil, il pose son regard intensément oppressant sur ma personne, ce simple contact rétinien suffit à me faire perdre mes moyens, à m'abaisser devant lui tout en le considérant en maître, mon maître et vénéré seigneur. Si d'un simple contact rétinien, il suffit à me plier à sa volonté, ce qui se signifiait qu'il n'avait usé d'absolument rien, pour mettre sur pied cette rescapée de riche qu'est Catherine.

- Veuillez bien me suivre madame Nyan.

La peur. Seule émotion et sentiment primordial de l'homme. J'y avais recours à cet instant et pourtant, la femme de fer, n'est d'autre que moi ! Alors, pourquoi ai-je recours à ce sentiment primitif ? Qu'avait-il de si spécial qui l'octroyait une si grande influence ? De prime abord, son apparence laissait à désirer, en second, il n'est qu'un simple inspecteur, ni plus ni moins et pourtant, j'y reste tout de même terrifiée. Je m'avance tout doucement, la terreur s'empare de plus belle de ma personne à chaque fois qu'une pas réduit la distance qui me reste à parcourir. Lorsque j'arrive en fin à sa hauteur, et qu'à présent, je peux lire dans son regard, mais hélas, l'instinct de survie, l'instinct fugitif et l'instinct de recul s'empressent de s'emparer de moi. Je descends ainsi directement le regard vers le sol, comme honteuse, je pénètre dans la salle et aussi, à peine ai-je foulée le paillasson de cette pièce que la porte se referme brusquement derrière moi, cette alternative suffit à me fait faire un sursaut. Avais-je repris mes esprits que j'étais déjà installée sur le fauteuil ; aucun des deux ne prenaient place, ils se contentent tout simplement, comme paisiblement de faire des cents pas dans la pièce. L'atmosphère n'était point paisible, mais à leurs vues, on dirait presque que, cette tension n'était outre que normal pour eux. Je comprends mieux, toutes personnes se présentent à cette atmosphère, finiraient tout simplement par le stress, la peur et la confusion par tout déballer. Pas étonnant que, Catherine est cédée à cette tentative écarlate.

KAÏSSE : ENTRE POUVOIR ET AMOUR  [ RÉÉCRITURE] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant