51 | bucky barnes

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Just stop your crying

It's a sign of the times

Welcome to the final show

Natasha m'attends déjà quand j'arrive devant la cellule où est enfermée Steve

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Natasha m'attends déjà quand j'arrive devant la cellule où est enfermée Steve. La même cellule dans laquelle Amina se trouvait quelques jours plutôt.

- Qu'est-ce qui s'est passé ? demandé-je fermement.

Natasha est debout devant les commandes de la porte numérique, fixant la même image que moi. Celle de Steve en train de briser ses poings et de les enfoncer dans tout ce qu'il trouve. Sa super force cause un dégât considérable sur le lit et tout ce qu'il se trouve autour.

- J'en sais rien, me dit Natasha quand j'arrive à côté d'elle. Il est arrivé et il a commencé à tout casser. J'ai eu mal un fou pour l'enfermer là-dedans. Où est-ce que tu étais ?

Il y a à peine quelques minutes, elle m'envoyait un message d'urgence me disant que Steve en était la cause. Puis je me suis rendu compte avoir manqué un tas d'autres appels et messages. Je me suis vivement rappelé que j'avais rendez-vous avec lui pour une demi-heure d'entraînement.

Je me sens tout de suite mal pour un oubli pareil. Tellement stupide.

Et je comprends vite pourquoi Steve est furieux quand il s'arrête soudainement dans la chambre blanche pour croiser mon regard.

Il sait.

- Ouvre la porte. Je dois lui parler.

Natasha se tourne vers moi, l'air agacée.

- Si tu entres là-dedans, il ne te laissera pas parler.

- Je peux prendre quelques poings, Natasha. Ouvre cette putain de porte ! m'exclamé-je durement pour le regretter aussitôt.

Je me décompose en voyant que Natasha ne bouge pas d'un pouce, me fixant avec sévérité.

- Pas avec ce ton.

- Désolé, répliqué-je sincèrement. J'aimerais que tu ouvres la porte pour moi, s'il-te-plait.

Son sourire m'indique clairement que sa colère n'a jamais existé et, sans même regarder l'écran devant elle, elle active la fonctionnalité d'ouverture.

Je la remercie d'une main sur l'épaule avant de me précipiter à l'intérieur de la chambre. A peine rentré, je reçois un coup en plein visage et Steve me plaque contre le mur. Ses poings me tiennent durement par le haut de ma veste et je grimace de douleur.

- Steve, qu'est-ce que tu fous ?

Ses yeux sont fous quand il me répond en souriant méchamment.

The Boy Is Mine (Bucky Barnes)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant