Je pense à tes mains parcourant ma peau
Des frissons qui courent sur ma colonne
Mon cou qui s'étend et mon corps qui frissonne].Je pense à mes mains cachées dans les tiennes]
A nos doigts qui se perdent et s'emmêlent.]Je pense à mes jambes frêlent
Qui tremblent à tes côtés
Et ne veulent pourtant qu'enlacer
Ton corps tout entier.Je pense à mes lèvres qui n'appellent que les tiennes]
Et dans un silence doux
Qui n'appartient qu'à nous,
Elles bougent à peine.
Dans le silence n'appellent que les tiennes.Je pense à nos yeux qui se perdent un peu,]
Qui n'osent d'abord pas se regarder
Avant de ne pouvoir résister
À l'envie de tomber amoureux
Et de ne pouvoir se laisser,
Pétrifiés, sages et heureux.Je pense à mon cœur qui se gonfle et qui bat]
Comme il ne devrait pas.
Il se gonfle et palpite
Dans ma poitrine, bien trop vite.Simplement parce que tu es auprès de moi
Et que je t'aime comme je ne le devrais pas.
Simplement parce que c'est toi qui est là.
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Les nuits blanches d'Uranus [POÉSIE]
PoetryShakespeare disait, « La poésie est cette musique que tout le monde porte en soi. » Voici mes partitions, à vous d'en jouer avec vos propres histoires.