Chapitre 1

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Je suis en train de trier des dossiers quand quelqu'un frappe à la porte.

M: Entré

Tony apparaît avec deux cafés.

M: Salut Tony

T: Salut comment tu vas ?

M: Bien et toi

T: Très bien, je viens t'offrir un café

M: C'est gentil.

Il pose le café à côté de moi, je le prends et le bois.

M: Que me vaut ta visite

T: Je te vois depuis tout à l'heure que tu es concentré et que tu te prends la tête avec le dossier, alors je suis venu pour que tu fasses une petite pause

M: Je ne pense pas que mon patron apprécie

T: Il est aussi con que ça ?

M: Oui

On rigole un peu tous les deux, on boit notre café.

T: Demain je vais une fête ça te dit de venir ?

M: Attend je vais regarder

Je regarde sur mon agenda.

M: Friday note qu'il y a une fête demain chez Tony.

F: D'accord n'oublie pas que tu as un rendez-vous ce soir à 20 h sur la 51e.

M: Ah oui, c'est vrai merci Friday.

F: De rien

Friday est mon intelligence artificielle, Tony en as une aussi, mais elle s'appelle Jarvis.

T: Alors comme ça, on sort ce soir.

M: Oui, il n'y a pas que toi qui peux s'amuser avec le sexe opposé.

T: C'est vrai, mais ce n'est pas ton genre.

M: Pas faux, l'homme as insisté donc j'ai accepté pour lui faire plaisir

T: T'es trop gentille des fois.

M: Tu n'as juste pas encore vu mon mauvais côté.

Le téléphone fixe sonne, je décroche.

M: Secrétariat de Mr Stark, j'écoute

E: Salut c'est moi, c'était pour te dire que Mr Wong, c'est trompé d'étage, il dit qu'il a un rendez-vous avec Mr Stark.

M: Attend je regarde

Je regarde sur l'ordinateur.

M: C'est bon, il a un rendez-vous, je préviens Mr Stark, dit lui de pas bougé, j'arrive.

E: D'accord

Elle raccroche, je regarde Tony.

M: Aller lève ton cul et va bosser comme un vrai patron.

T: Je suis un vrai patron.

M: La t'es en mode ami sois un peu plus en mode patron quand tu es dans cette pièce.

T: T'aimes bien quand je suis en mode ami au travail.

M: Oui mais pas trop non plus, car des gens croient qu'on couche ensemble.

T: Comment tu peux savoir ?

M: J'ai entendu des personnes en parler quand j'arrivais ce matin. Donc sois un peu moins tactile et ne viens pas trop souvent dans mon bureau.

T: J'y peux rien si elles sont jalouses de notre amitié.

M: Je sais, désolé de casser les espoirs de tes employées.

La promesse d'Howard StarkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant