My Kaulitz Bodyguard [FR]

Chapter Eleven, Why him.

Cela faisait vingt bonnes minutes que Tom était parti.

A peine avais-je prononcé ses mots qu'il s'était barré.

Je ne savais pas quoi faire, j'étais perdue, vraiment perdue cette fois.

C'était bien lui.
Mon Tom Kaulitz.

Putain de bordel de merde.

Je décida alors d'éteindre le moteur qu'il avait laissé allumé puis de fermer la voiture avant de monter les marches du garage pour remonté en haut.

Seulement il n'était pas dans le séjour, je monta alors les escaliers mais rien.
Tom n'était nul part.

Je sorti alors sur la véranda avant de le voir, posé sur un transat devant la piscine.

Il était assis, de dos à la maison.

Je glissa alors les portes de la véranda en me dirigeant discrètement vers lui.

J'avais beaucoup pleuré pendant ces vingt minutes, je devais être épouvantable.

Arrivé à sa hauteur, je ne savais pas quoi dire, il ne m'avait pas remarqué.

Je décida alors de m'asseoir à ses côtés, il ne bougea pas.

Nous restâmes comme ça une trentaines de minutes je crois, voir une heure.

Il fixait l'eau de la piscine, son regard était vide.

Puis d'un coup sec il me poussa violemment sur la pelouse, me faisant tomber du transat.

J'étais allongé au sol, avec lui sur moi.
Il serra alors encore une fois mon cou de toute ses forces, d'une puissance infernale.

Mais je ne disais rien.
Tout ce qu'on pouvait entendre était le bruit de mes étouffements.
Si il voulait me tuer, qu'il le fasse alors.

Le monde devint flou, très flou, mes yeux étaient empli de larmes qui ne demandait qu'à couler.

Je me réveilla alors sur son lit, j'étais mise a nue, il m'avait déshabillé.

Je le vis alors au bord du lit, il avait enlevé son tee shirt, mais il était toujours aussi silencieux.
Puis quand il m'entendis bouger il se retourna puis s'approcha doucement de moi.

Je jeta alors un cou d'œil à l'horloge sur la table de chevet, il était aux alentours de 3 heures du matin.

Il passa alors sa main délicatement dans mes cheveux, avant de plonger ses yeux dans les miens.

Il ne disait rien.

Puis il s'approcha de moi et m'enlaça, il me serrait fort contre lui que je réussissais à peine à respirer.

-Putain Tom lâche moi, lui dis-je.

A ces mots il me serra encore plus fort contre lui.

-Dégage Tom putain, criais-je alors.

Il s'affala alors sur moi me faisant retomber contre le lit, lui avec moi.

-Je suis désolé Kali, lâcha-t'il, putain je suis vraiment désolé.

Je n'en avais rien à foutre de ses excuses, je haïssais le Tom qui était en face de moi.

-J'en ai rien à foutre, épargne moi t'es excuses putain, lâchais-je alors avant de sentir une nouvelle fois une larme couler sur ma joue.

-Je ne savais pas.. Enfin si, mais je n'en étais pas sûr Kalina, dit-il d'une petite voix.

Je ne répondis pas, après tout ce qu'il m'avait fait il ne pouvait me faire ça.