My Kaulitz Bodyguard [FR]

Chapter One, The beggining of the hell.

Une forte odeur empiffrait mes narines puis j'ouvris les yeux, j'avais super mal au crâne, avant de me rendre compte de quoi que ce soit j'ai réalisé que j'étais nue, dans une sombre salle, cela ressemblait à une cave, entourée de dizaines de jeunes filles.
J'écarquilla alors les yeux, dans quoi je me retrouvais encore ?
J'essaya alors de me frotter les yeux avant de réaliser que j'étais attaché à une poutre en bois.

Cette endroit sentait l'humidité, et une forte odeur se faisait sentir dans toute la pièce, j'essaya alors de chercher du regard la source mais rien.

Je me rappela soudainement de comment j'avais atterri ici, Kale. Pourquoi ? Comment avait-il pu?
J'étais vraiment naïve, je pensais vraiment qu'il voulait renouer des liens ? Quel idiote je suis.

Les filles autour de moi avaient l'air autant perdu que moi, nous avions la bouche scotché, nous ne pouvions pas parler, nous nous observions dans la panique la plus totale.

Quand tout à coup, un jeune homme vêtu d'un costard noir et de lunettes entra dans la pièce, du sang pleins les mains, j'ai à ce moment réalisé qu'un cadavre était dans la salle d'où elle provenait.

-Bien, je vous salues mesdames, vous vous demandez comment, pourquoi? Je m'excuse d'avance je n'ai rien à vous rendre.
Il trébucha alors à cause de la main du cadavre qui traînait derrière lui tandis qu'il s'avançait dans la pièce.
Puis il donna un coup de pied histoire de fermer la porte et faire disparaître le cadavre derrière celle-ci.
Nous ne serons plus déranger désormais, dis-il avec un sourire malicieux.
Bien, je vais vous distribuer à chacune un nombre afin de faciliter les négociations avec les clients, je le regardais terrorisé, tremblante de peur, qu'allait-il m'arriver ? Qu'avais-je fais au bon Dieu? N'avais-je donc pas donné assez ?

Je le regardais stupéfaite, sans comprendre de quel négociations et de quels clients il parlait.

Veuillez m'excuser j'ai oublié de vous mettre le contexte, chacune d'entres vous dans cette pièce à été a vendu à, il se pointa alors du doigt, moi, afin que je puisse vous revendre plus cher, du business quoi.

Il se mit alors à distribuer les numéros a chacune d'entre nous, puis quand il vint mon tour, il m'observa étrangement et dit.

-Quelle belle surprise ! Toi enfin? Depuis le temps que tu étais sur la liste, tu sais Elissa tu as été beaucoup demandé ! Tu passeras des cet après-midi tu seras le numéro 42, dit-il avec un sourire. Elissa ? Beaucoup demandé ? Mais était-il fou? Ou me confondait-il avec quelqu'un d'autre ?
Je le regarda alors dans l'incompréhension, les larmes dévalant mes joues mais il ne prit même pas la peine de m'observer.

Une armée de garde franchirent alors la porte, avant que l'homme au costard ne reprit.
-Je vais donc appeler les numéros qui passeront cette après-midi aux enchères.
Il sorta alors une dizaine de numéro avant de finir par le 42. Merde.
L'armée nous détacha alors et nous sortîmes de la pièce, heureusement pas par la même porte d'où se trouvait le cadavre, je n'aurai pas réussi à me retenir de vomir sinon.

Je m'étais calmée, ça va aller Kali, ça va aller Dieu est là, Dieu te protège Kali, Papa Maman sont là aussi, je murmurais à voix basse, tout ira bien-, c'est alors qu'un des gardes me mit un coup poignant au visage qui me fit m'écraser au sol.

-Relève toi sale pute, dit-il pendant que le rang s'arrêta.
J'essaya alors de me relever, sans succès, je n'arrivais plus à respirer, je tremblais, j'étais entrain de faire une crise de panique.

Au lieu de me calmer le garde m'attrapa par le bras et fit un signe à l'homme au costard de continuer à marcher, tout en me traînant par le bras.

Nous sommes alors arrivé sur scène, il y avait beaucoup de bruit, elle était grande, avec des sièges dans la fosse, des centaines d'hommes assis, c'était comme une salle de concert sauf que le spectacle, c'est nous.
Les projecteurs étaient si puissant qu'ils me transperçaient alors les yeux. J'étais aveuglé. Les gardes nous lâchâmes alors et une voix venant du public s'exclama alors.