Chapitre 14 Le filou de Mirroko (V1)

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 Antonio marchait calmement en direction du village il n'était pas pressé le moins du monde après tous le soleil ne devrait se levé que dans quelques heures En revanche  marcher par ce temps s'avérait pénible la boue absorbait la force de ses pas. Il devait surveiller sa marche pour éviter de tomber dans une crevasse peut être que la meilleur chose à faire était vraiment de prendre son temps... Pendant un court instant Antonio fit preuve d'un manque d'attention pour voir où en était la lune dans sa course. Pendant qu'Antonio se demandait si il devait accélérer ou non il marcha dans une partie un peu plus glissante qui le fit chuter et dévaler la pente.

C'était mauvais si il tombait dans une crevasse un peu trop grande en contre bas il pourrait se blesser et grandement ralentir sa fuite. Sur le chemin il vit des roches assez grande pour être saisi Antonio avait commencé à prendre de la vitesse, la boue commençait à  recouvrir ses vétement et une partie de son visage, il devait s'arrêter la avant que ça ne devienne dangereux au moment ou il se saisit de la pierre blanche il sentit une vive douleur dans sa jambe droite heureusement pour lui elle n'était pas cassé pendant sa saisi sa jambe s'était simplement froter contre la pierre ce qui causa une petite erraflure du moins il l'a traita comme tel.

Il avait besoin de garder son moral haut si il voulait s'enfuir sans problème. Il vit ça comme un avertissement de sa bonne étoile il devait rester le plus vigilent possible, se présser un peu plus  et ne pas hésiter à se salir si il voulait arrivé à temps après tout un peu plus de boue sur ses vêtements neuf ou un peu de sang perdu n'était rien si on les comparaient avec la perte de sa vie. Le cœur vaillant il poursuivie sa fuite esquivant habilement les crevasses trop grande sautant par dessus celle ou il en avait la possibilité, glissant quand il n'y en avait pas en vue pour économiser ses jambes et son énergie.

 Le temps que Antonio arrive en ville la lumière du soleil commençait à remplacer celle de la lune le temps qu'il lui restait avant que les premiers vrais rayons de soleil apparaisse devait être d'une heure au maximum. Le chemin avait été bien plus long que prévu, pour se rassurer par rapport à ça lenteur il préférait se dire que la conversation avec Paul l'avait probablement ralenti un peu également. Au moins maintenant il se retrouvait dans un terrain plus ou moins urbain le village n'avait pas grand-chose à voir avec sa ville natale mais au moins le sol n'était pas boueux, les pavé étaient glissants et fais de pierre, cela ne concernait pas que le sol d'ailleurs l'ensemble du village était constituer de roche tailler de façon approximative .

Il courut une demi heure entière le long du boulevard centrale de la ville ce jusqu'à arrivé à une gigantesque statue. Le cœur d'Antonio commençait à battre à tous rompre cela faisait  plus d'une heure qu'il dépensait son énergie avec peu de pause . Le jeune et beau étranger qu'il était avait ses vêtements tous neuf couvert de boue il n'avait également pas prévu que la pluie le rendrait plus lourd en effet sa tenue gorgé d'eau et parsemé de boue devait lui ajouter quelques kilos. Il s'accorda un temps de pause il ne voyait ou n'entendait personne après tout. Il retira péniblement la boue de ses vêtement avec ses mains. La sensation n'était pas des plus agréable il en retira également une bonne quantité qui s'était collé à ses cheveux, pendant qu'il observait les alentours.

Continer sur l'allée centrale n'était sûrement pas un choix judicieux c'était le moyen le plus rapide et il avait peu de chance de ce perdre certes mais le soleil allait bientôt se lever et il était fort probable que la ville soit équiper d'un système d'alarme. N'importe qui pourrait se rendre compte qu'il n'était pas d'ici même couvert de boueux ces vêtement étaient plus coloré que ce de n'importe quel habitant. Pendant que Antonio rêvassait il entendit un son clair, un son qui lui était très familier, ah il s'en souvenait maintenant c'était un son de carillon quasiment toutes les maison en avait de là ou il venait, c'était peut être courant ici aussi.

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