Chapitre 20 Son de cloche (V1)

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 Le géant en face lui arborait des traits beaucoup plus sympathique que ceux au quel on pouvait s'attendre. Il restait un peu intimidant mais au moins le dialogue semblait possible.

Gardien:[Je peux te faire plusieurs proposition, à toi de choisir.]

Antonio:[Et quelles sont ces différentes proposition.]

Gardien:[Tu va voir c'est assez simple : soit tu reste enfermer dans cette cellules pour quelques années, soit tu rejoins l'armée jusqu'à ce que tu casse ta pipe et enfin la dernière option mais je ne te la recommande pas.]

Toutes ses options ne semblaient pas être une très bonne idée et derrières ces propositions se cachait une proposition que le gardien pensait pire que les autres.

Antonio:[Et cette dernière option, en quoi consiste t'elle?]

Gardien:[C'est très simple nous utiliseront une vielle coutume de l'île qui permet de voir si un prisonnier est digne ou non d'être libérer.]

Antonio n'avait jamais entendu parler de cette coutume mais il ne pouvait pas se permettre de faire la réflexion à haute voix. Le gardien dut en revanche remarquer un air perplexe et repris donc la parole pour éclairer sa lanterne.

Gardien:[C'est normal que tu n'en ai jamais entendu parler, personne ne veux jamais passer par là. La dernière fois que c'est arrivé doit bien remonter avant ta naissance.]

Le gardien se mit à sourire Antonio ne savait pas exactement ce qui se cachait derrière ce derniers mais ça ne pouvait pas être un signe favorable pour lui.

Antonio:[Et pourquoi ce n'est pas arrivé en 20 ans?]

Gardien:[C'est très simple si personne ne veux faire cette épreuve c'est parce qu'elle est sensé être inutile, après tous c'est un combat contre le Gardien.]

Un combat ? Contre ce monstre ? Qui pourrait être assez fou pour vouloir l'affronter ? On dirait bien que les deux options d'Antonio était de croupir en prison ou de servir dans l'armée sur cette île de démon. La troisième option n'existait pas réellement c'était une simple condamnation à mort. Cet homme était le père d'Argioss et comme si cette état de fait n'était pas assez terrifiant en soit. Ce même gamin qui arrivait à tuer des ours à mains nues était terrifier par lui. Aucune chance de s'en sortir il pourrait faire le combat des centaines de milliers de foi il ne gagnerait jamais.

Le gardien se leva causant un petit sursaut à Antonio qui ne s'attendait pas à le voir bouger si brusquement.

Gardien:[Je vais te laisser un petit peu de temps pour réfléchir à ce que je t'ai proposer.]

Une heure passa Antonio était encore en train de contempler le plafond quand il entendit un petit bruit.

???:[Psit, Psit.]

Derrière les barreau se trouvait une petite fille, la même petite fille qui avait causer son arrivé entre ses barreaux. A peine avait t'il croisé son regard qu'il s'était brusquement recroqueviller dans le fond de ce qui lui servait de lit.

Du tac au tac l'esprit peureux d'Antonio pris le dessus il éleva la voix en pointant la fillette du doigt.

Antonio:[Qu'est ce que tu me veux encore?! Tu viens finir le travail c'est ça? Garde ! Au secours !]

Après l'appelle d'Antonio, Emilia se mit à paniquer elle avait augmenter la force de sa voix mais continuer de chuchoter.

Emilia:[Ferme là un peu espèce d'abruti ! Tu veux mourir ?!]

Maintenant qu'il y pensait Antonio n'avait aucune raison d'être inquiéter par elle, elle ne semblait pas avoir les clefs de la serrure et son aire paniquer montrer qu'elle n'avait probablement rien à faire ici. Tant qu'il resterait sagement à l'arrière de la cellule elle ne pourrait pas l'atteindre. Telle une girouette le comportement d'Antonio fit un un cent quatre vingt degré. Il afficha un sourire satisfait avant de marché dans sa cellule l'air hautain.

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