Chapitre 2 La prison centrale (V1)

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Le soleil venait tous juste de poindre à l'horizon. Il commençait déjà à entendre l'écho des pas du gardien ainsi que le balancement de ses lourdes clefs de fer à travers les couloirs de la prison.

L'écho de ces pas avait causé quelque gouttelettes qui fuitait déjà du plafond suite au pluies de la veille à lui tomber sur le visage. Cette nuit comme la plupart des nuit, il n'avait pas beaucoup dormi, les cernes sur son visage en était la preuve. Celui qui portait ces cernes était un jeune garçon de quinze ans, il mesurait un peu plus d'un mètre soixante et avait un physique très développer pour son âge qui trahissait un entraînement rude et quotidien, . Un dernier pas du gardien plus fort et proche que les autres fit tomber le dernier amas de gouttelette sur son visage.

Il dégagea les quelques cheveux noirs qui cachait ses yeux bleu saphir avant de s'essuyer le visage avec son écharpe, en face de lui se trouvait désormais un homme d'une cinquantaine d'années que l'on pouvait aisément appelez colosse. Il s'élevait à plus de un mètre quatre-vingt-dix et était plus large que l'encadrure de la porte ne pouvait le montrer. L'homme avait de cour cheveux noir plaqué en arrière, une peau mat, de grand yeux ambre, un visage à la structure de diamant et une barbe taillé avec soin. Il avait un regard et une expression stricte mais qui ne cachait aucune malice. Il portait une tenue civile composée d'une simple chemise verte au nombreuse froissure et plie, d'un pantalon beige et de botte marron, à sa ceinture on pouvait observer un trousseau de clefs qui pendait. Cette tenue décontractée contrasté violemment avec l'énorme marteau de guerre qu'il laissait reposer sur son épaule. Le marteau était composé de nombreux motif et tracée fin le long du manche et d'un dernier motif en forme circulaire parfaite à l'intersection du manche et de l'énorme bloc de fer qui servait de massue.

Au moment ou le jeune homme s'approcha de celui que les habitant appeler Gardien ce dernier finit par poser sa masse au sol avant de se reposer dessus.

Gardien: [ Tu viens de purger ta peine, tu es libre d'aller ou bon te semble... Enfin dans la limite du territoire du village bien évidement, à moins que tu ne veuille un nouveau motif pour me rendre visite avec ton amie.]

Le jeune homme approcha la porte de la cellule qui était en train de se déverrouiller. Il regarda l'homme lui donnant un sourire confiant son regard ne fléchissait pas pendant qu'il regardait le gardien droit dans les yeux.

Jeune homme:[La prochaine fois que je te verrais je te ferais ployer le genoux et tu me laissera partir de cette prison à ciel ouverte.]

La réponse du jeune homme ne le vexas pas et ne lui causa aucune colère au contraire elle lui dérobas un sourire.

Gardien: [J'attends ce jour avec impatience, mais tu parle encore dix ans trop tôt, Argioss.]

Pendant que les deux hommes se défiaient du regard un bruit sourd ce fit entendre depuis la pièce voisine, plus précisément un ronflement. D'un coup d'œil on pouvait observer qu'une jeune femme du même âge que le jeune homme dans la cellule se trouvait dans la cellule.  Elle dormait avec toute l'aisance du monde sur cette dalle en pierre qui lui servait de lit, quelques un de ses long cheveux couleur aube lui servait de rembourrage pendant que d'autres dépassaient légèrement de la dalle. On pouvait lui reconnaître une certaine légèreté mais dans cette situation mais aucune élégance ne se dégageait d'elle. Le jeune homme s'approcha d'elle avec un léger sourire et tenta de la réveiller en lui secouant doucement l'épaule.

Argioss: [Réveille toi Héléna.]

Aucune réaction ne semblait se dégager de la jeune femme on aurait dis qu'elle était encore plus à l'aise dans son sommeil qu'avant et elle ne montrait aucun signe d'un réveil proche.

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