Le plafond que Antonio avait vu à son réveil ne lui était pas familier. Il avait du mal à respirer, ses poumons étaient en feu à chaque inspiration ou expiration. Son mental était également dans le brouillard, c'était la même sensation qu'un lendemain de soirée un peu trop arrosée. Son dos était également dans un sale état, il était allonger sur une dalle de pierre dont il ne voyait pas vraiment l'utilité ça ou le sol ça aurait été du pareil au même. Quand il essaya de se redresser il sentit une brûleur sur ses poignée qui créait une combinaison inattendu avec le froid de sa couche.
La brûlure était accompagné d'un lourd son de chaîne qui faisait écho à travers la pièce minuscule fermer par les barreaux. Maintenant qu'il avait pris un minimum conscience de son environnement c'était évident. Il était en prison, ce n'était pas le genre d'endroit qui n'avait de prison que le nom comme il en avait l'habitude chez lui, à Mirroko les prison étaient comme des moulins. Les murs était en papier mâché et le peux d'attention que portait les gardes qui se jugeaient trop peu payer pour ces conneries était facilement détourner par quelques piécettes.
Ici les choses était bien différentes. Il pouvait entrevoir l'épaisseur des murs de la cellules voisines et si chacun des 4 murs qui l'entourait étaient au moins aussi épais cela lui prendrait toute une vie pour pouvoir se crée une porte de sortie. Les chaînes qui liée ses menottes au murs pesait également une tonne se déplacer jusqu'au barreaux qui lui servait de porte ne fut pas une tâche de tous repos.En face de lui se trouvait maintenant une femme endormi sur un tabouret le dos contre le mur de la cellule d'en face. Le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle était à son goût, elle portait le même uniforme que la petite Emilia sauf que cette fois il n'était pas sur le corps d'une gamine et montrer donc des formes bien avantageuse. Certes Antonio avait eu avant toute chose un regard des plus lubriques mais il n'en oublia pas un détail qu'il avait entendu de la part d'Emilia. Les étoiles brodées sur les uniformes des soldat de l'île indiquaient leur rang et à l'évidence cette femme n'était pas n'importe qui, cinq étoiles étaient brodées au niveau de sa poitrine. Il n'était pas dans la meilleur des situation mais rien ne changerait si jamais il ne prenait pas l'initiative.
Antonio:[Mademoiselle, vous m'entendez ?]
La belle femme endormie ne lui prêta pas la moindre attention, il pouvait bien lui pardonner ça, il avait sûrement parler trop doucement pour la réveiller.
Antonio:[Mademoiselle, est ce que vous m'entendez? Et hoooo ???]
La femme ne lui prêtait toujours aucune attention, Antonio avait déjà épuiser l'ensemble de sa patience il frappa d'un grand coup de pied les barreau de sa cellule avant de crier.
Antonio:[Debout!]
La femme se leva brusquement de son tabouret ce qui le fit tomber par terre avant de se mettre au garde à vous. Sa voix montrait une certaine panique.
Demoiselle:[ Gardien je promet que je ne dormais pas je me reposais juste les yeux !.. Hein ? ]
Un silence un peu gênant c'était installé, la femme en face de lui regarda un peu partout autour d'elle avant de lâcher un soupire de soulagement. Sans prêter la moindre attention à Antonio la femme remis son tabouret en place contre le mur avant de se s'assoupir à nouveau dessus.
Antonio:[Vous comptez m'ignorez encore combien de temps!]
La femme n'ouvrit qu'une seule de ses paupières pour le regarder, elle parla avec une voix reposée.
Demoiselle:[Pourquoi tu parle aussi fort? Je suis juste là pour te surveiller il n'y a pas besoin de se mettre en colère comme ça...]
Antonio:[En ce moment vous faites tout sauf me surveiller!]