Chapitre 38 (V2)

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 Cette petite peste s'était enfin en aller, Antonio laissa s'échapper un long soupir il jeta un œil sur le vieux journal. Comment les événement décrit dans ce dernier pouvait ne pas faire écho aux souvenirs d'Héléna ? Elle était une enfant à ce moment là mais comment oublié quelque chose comme ça ?

Même si le manque de réaction d'Héléna suscitait l'interrogation une autre question était venu à Antonio, qu'est ce que ce journal faisait ici pour commencer ? Le jeune homme se mit à parcourir les différentes pages il y vit de jolie tissu de mensonge : seul un bateau de la flotte de Mirroko aurait prit feu pendant qu'il exécutait des test de sécurité au large de l'île.

Qu'est ce que c'était sensé vouloir dire dans tout les cas ? Il s'avait qu'au moins vingt bateaux avaient pris le large cette nuit là et qu'ils n'étaient certainement pas tous revenu sauf un. Ce n'était en aucun cas une force négligeable mais leurs disparition ne ferait pas une différence énorme dans la flotte totale de Mirroko. Le seul bateau mentionner dans ce fameux incident était celui dont ils ne pouvaient que difficilement cacher la perte.

C'était le bateau d'un jeune officier dans le quel on plaçait beaucoup d'espoir, il portait un nom qui n'était pas inconnu à Antonio. En parlant de nom seul les membres d'équipage de ce bateau avaient leur disparition mentionné dans le journal... Quelque chose était bizarre pourquoi les noms étaient barrés? Une nouvelle couche d'encre c'était ajouté sur la plupart des noms dans la liste des morts le nom du père d'Antonio était le seul à être resté intact. Qu'est ce que c'était sensé vouloir dire ? Antonio s'adossa avec peine contre le bureau.

Antonio:[ Je suis une ancienne amie de ton père... Tu parles, tu n'avais vraiment aucune raison de m'accueillir ici...]

Alors qu'il commençait à s'apitoyer un vol de poussière lui atterri droit dans les narines lui provoquant un éternuement le petit Andrés le regardait d'un air faussement stricte, il était armé d'un simple balai.

Andrés:[Allez du nerf, Antonio le balai ne va pas se passer tout seul.]

Antonio:[D'accord mais ne m'engueule pas si il n'est pas fait exactement comme tu veux.]

Andrés:[ J'ai appris à faire le ménage d'une certaine façon et il n'y a jamais eu de problème par contre ta « méthode » elle laisse franchement à désirer.]

Antonio:[Tu vois ? Tu commences déjà, tu ne devrais pas aller travailler ? Je suis quand même capable de passer le balai je peux le faire tout seul...]

Andrés:[ Tu veux le faire tout seul où tu veux que je t'aide? ]

Il y eu un long silence : les tiroirs, les placard, le lit toute la pièce était remplie de souvenir de Paula, de l'époque où elle était encore là. Si jamais il devait se séparer de tout ça tout seul il ne savait pas si il allait pouvoir tenir encore un peu plus, ses yeux étaient encore épuisée des larmes qu'ils avaient laissé échapper la veille est ce que Andrés comme Héléna avait remarqué et fait semblant de rien ?

Il baissa les yeux et Andrés évita son regard, ce gamin pouvait se montrer franchement délicat par fois. Le plus grand des deux se racla la gorge essayant de paraître nonchalant malgré son émoi.

Antonio:[C'est quand même un sacré bazar un peu d'aide ne serait pas de refus je suppose...]

Andrés:[C'est bien ce que je pensais toujours incapable de te débrouiller seul.]

Antonio:[ Tu as un grand sourire béat, tu dois vraiment aimer ça faire le ménage... Ça expliquerait pourquoi tu passes tout ton temps à le faire. ]

Andrés:[ Passé derrière Diego passe encore mais je n'aurais peut être pas à le faire tout le temps si Xavi et toi étiez capable d'être propre à votre âge!]

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 20 ⏰

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