enemy to lover { Pablo Gavi }

[28] découverte

Mais en fin de compte je ne suis pas sur que sa soit la meuilleur des idées. Et si j'étais juste en train de faire une énorme connerie.

Plus je m'approche de la où était la silhouette plus je commence à regretter ce que je fait. Elle avait quand même un couteau dans la main. Mais je veut avoir des réponses à toute mes questions. Et qui sait, peut être cette personne a juste besoin que quelqu'un l'aide ?

J'avance doucement tout en surveillant mes arrière, on ne c'est jamais cette silhouette pourrait surgir de n'importe où et me tuer. Je fait attention à bien écouter et regarder le moindre bruit ou signe qui pourrait trahir sa présence.

Je continue à avancer en faisant le moin
de bruit possible. La où était la silhouette se trouve des arbres, donc pablo ne peut pas me voir, et dans tout les cas il ne m'aurait pas vu, il fait bien trop sombre.

-j'ai bien cru que tu ne viendrais pas, tu as laissé ton amoureux sur la plage ? Me dit une voix

Et voilà que quelqu'un me parle. Je ne sais pas d'où vient cette voix, je regarde autour de moi espérant trouver le propriétaire de celle-ci, mais je ne voit personne.

Une main se pose sur mon épaule. Je me retourne brusquement et voit cette fameuse silhouette, et c'est la que je réalise que la suivre était vraiment une idée des plus pourris que j'ai pu avoir.

J'observe son visage attentivement et voit que c'est un homme âgé. Il doit avoir la cinquantaine.

-ce n'est pas mon amoureux, lui dis-je d'un ton sec, et qui êtes vous ?

-tu ne te souviens pas de moi ma puce ?

Ma puce ?! Non mais pour qui il se prend à m'appeller "ma puce"

- quoi ? Je ne comprend pas.

-la dernière fois que je t'ai vu, tu devais être bébé, mais ta mère m'a obligé à partir. J'étais sois disant fou, et je buvait trop, mais je pense surtout qu'elle voulait te garder que pour elle.

Attendez, Ce n'est quand même pas...

-et oui julia, je pense que tu la deviné.

-pa-

-papa ? Je vois que tu n'est pas aussi bête que je ne le pensais. Me dit il en me coupant la parole

Non mais c'est impossible que se soit mon père... et comment avait t-il pu savoir où j'habitais et à quoi je ressemblait, sa fait 18 ans qu'il ne m'avait plus revue.

Il m'attrape le poignet et le serrre de sa main gauche, j'essaye de me retirer de son emprise, mais rien y fait, il me tient fermement. Je le vois sortir le fameux couteau de sa poche.

-et ce soir j'ai décidé de me venger de ce que ta mère m'a fait, même si pour sa il va falloir que je te tue.

-je ne comprend pas, pourquoi ne pas se comporter comme un adulte et aller parler avec elle.

-elle ne voudrait pas m'écouter. Et c'est plus drôle comme sa, tu ne trouve pas ? Dit ce fou furieux en souriant de toute ses dents

NON MAIS QU'EST-CE QU'IL Y A DE DRÔLE LA DEDANS ???

-tu est vraiment un grand malade. Maintenant je comprend pourquoi maman ta dit de partir. Elle ne voulait pas que je devienne comme toi. Et je suis bien heureuse de ne pas l'avoir était.