𝐴𝑙𝑚𝑎 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑑𝑖𝑡 𝑢𝑛 𝑗𝑜𝑢𝑟 :
Avoir l'ambition d'arrêter une guerre depuis l'enfance a toujours été une idée impensable pour mon entourage.
Les rares fois où j'en ai parlé, on m'a dit que mes projets étaient futiles et trop grands pou...
Avant que vous ne commenciez à lire j'aimerais vous faire part de quelque chose : Vous avez dû être nombreux et nombreuses à remarquer l'irrégularité au niveau des postes des chapitres. Certains s'en fichent et continuent de profiter de la suite de l'histoire quand elle arrive, tandis que d'autres la remarquent et s'en mécontentent, s'en inquiètent ect...
Pour être complètement transparente avec vous, TBOS est une histoire que j'ai réécrite un matin sur un coup de tête, je ne m'attendais pas du tout à l'ampleur qu'elle puisse prendre et je ne vous en remercierai jamais assez pour ça ! 💗
Seulement depuis quelques mois maintenant, je n'accroche plus du tout avec et je vais vous expliquer pourquoi:
J'ai écrit TBOS quand j'avais environ 14 ans et je n'ai jamais changé de plot twist depuis, évidemment en grandissant je l'ai remixé à ma manière mais les grandes lignes sont toujours restées les mêmes. Aujourd'hui je ne me reflète plus du tout dans cette histoire, j'arrive plus à m'identifier aux personnages et ça me motive plus du tout. Ma vision du monde en général à évoluer avec le temps et je trouve qu'elle fait assez romance pour ados mais avec une pincée de danger et d'intrigue, je sais pas si vous voyez ce que je veux dire. 💀
Alors évidemment je ne vous laisserai pas sans suite pour l'histoire, je continuerai jusqu'à la fin mais ne soyez pas étonné(e)s que cela prenne du temps, beaucoup de temps.
Je m'excuse d'avance et je vous laisse avec la suite, je vous aime. ❤️🔥
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New-York, États-Unis, 11h38
Mes paupières s'ouvrent sur une étendue blanche qui s'avèrent être mes draps, la lumière extérieure perce agressivement ma rétine et mes sourcils se froncent lorsque j'enfonce à nouveau mon visage dans l'oreiller.
Instinctivement, ma main se tend vers le côté d'Hermes mais en sentant celle-ci retomber à plat sur le matelas, j'en déduis qu'il avait déjà dû quitter la chambre. Sa place est froide, cela doit faire un moment qu'il est parti...
Je grogne légèrement avant de sortir ma tête du tissu et observe les alentours à sa recherche : dehors la pluie automnale frappe la vitre avec force, de même pour les petits grêlons. C'est vrai que nous sommes désormais en octobre, l'été est passé à une de ces vitesses, bien que marqué par de sombres événements.
Le silence règne ici, mon cœur se comprime encore et encore ; le fait est que je n'arrive plus à supporter la personne que je suis devenue, les choix que je fais, mes paroles, mes faits et gestes ou bien mes actes, alors me retrouver seule avec cet amas de défauts que je suis me donne juste la nausée.