𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝟒𝟐 : 𝐁𝐞𝐚𝐮-𝐏𝐚𝐫𝐥𝐞𝐮𝐫

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(🎵 : When I R.I.P - Labrinth)

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Bonne lecture !

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Mexico, Mexique, 14h20

Allongée sur le transat placé en face de la piscine à débordement, lunettes de soleil sur le nez et magazine pop dans les mains, je bronze tranquillement sous le soleil mexicain. Depuis ce qui s'est passé avec mon mafieux et l'autre tarée, nous nous sommes « cachés » au Mexique dans l'une des nombreuses demeures qui est restée à mon nom.

Après cet épisode, un peu traumatisant, Hermes a décidé de prendre une sorte de semaine de vacances loin de New-York et de tous ses problèmes, et honnêtement ça fait du bien. Je comprends mieux son comportement de ces derniers jours maintenant, cela fait seulement trois jours que nous sommes arrivés et je le sens déjà beaucoup moins stressé ; cependant, ce n'est pas le cas de tout le monde, en commençant par moi : en ayant remis les pieds sur ma terre natale, je suis également sur celle de mes ennemis ; désormais je ne crains plus les ennuis d'Hermes mais les miens.

Mes phalanges se serrent contre les pages plastifiées, je n'ai pas envie qu'il se retrouve en mauvais posture à cause de personnes que j'ai provoqué. Si cela devait arriver, je m'en voudrais toute ma vie.

- « T'en fais une tête, tout va bien ? »

Alors que j'étais sur le point de déchirer mon journal en deux, la voix du brun me sortit de mes pensées, je le regarde par-dessus mon épaule avant d'expirer bruyamment en jetant le bout de papier sur la table à côté de moi. Ses deux mains se croisent sous le dessous de mon visage avant de le relever vers le sien, mes yeux se perdent dans son regard rempli de ténèbres.
Je n'avais jamais remarqué à quel point ses iris étaient aussi foncées que ses pupilles, c'est même presque impossible de les différencier.

- « T'as l'intention de me répondre ? »

- « J'en sais rien, à toi de me le dire. » rigolais-je en tendant ma main vers sa mâchoire dessinée, la pulpe de mes doigts frôlant sa barbe de trois jours.

Je lui supplie de la raser à chaque fois que je l'aperçois mais rien à faire, il refuse catégoriquement d'y toucher car je cite : « cela caractérise ma masculinité ».
J'ai bien essayé de lui rappeler que ce qu'il avait entre les jambes faisait largement l'affaire cependant c'est toujours la même chose.

- « Tu piques, va te raser » repris-je en pinçant ses joues, l'obligeant ainsi à faire la moue.

Le torse du concerné vibra grâce à son rire et bougea légèrement ma tête, un micro sourire corna le coin de ma bouche puis poussant un peu sur mes jambes, je parviens à lui voler un baiser, ce qui le fait d'autant plus rigoler.

𝐓𝐡𝐞 𝐛𝐮𝐫𝐧𝐢𝐧𝐠 𝐨𝐟 𝐭𝐡𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐥Où les histoires vivent. Découvrez maintenant