Attention aux âmes sensibles pour ce chapitre !
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Le vent froid de la nuit me frappe le visage, l'obscurité est seulement éclairée par la lumière pâle de la lune ce qui était à peine suffisant pour voir à travers le fin rideau de brouillard, le silence assourdissant sifflait dans mes oreilles, silence perturbé par les branches d'arbres secoué par l'air humide.
Trouver la maison d'Éla n'était pas compliqué, cette idiote a marquée son adresse sur son profil Face-de-bouque, mais comme on est jamais assez prudent j'ai retracé son adresse mail et l'ai suivie quelques fois.
Le plus dur était de tracer son emplois et celui de ses parents.
Par chance pour moi le père d'Éla travail de nuit sauf le vendredi et le week-end, il est gardien de musée, musée qui ce trouve à l'autre bout de la ville, il lui faut donc une bonne vingtaine de minutes pour rentrer chez lui en cas d'urgence.
Quand à la mère elle est infirmière, alors j'imagine qu'elle doit bien être trop fatiguée le soir pour ce réveiller ou même ce lever en cas de bruit suspect.Et il y moi, devant leur résidence, dans l'ombre de la nuit.
Il est 3h30 du matin (l'heure de gnomes), habillé d'une tenue des plus sombre équipé d'un sac à dos, je prend une grande bouffer d'air, enfile ma capuche et m'avance à la fenêtre de le peste derrière la maison.Un arbre est implanter dans son jardin, assez près de sa fenêtre pour que les branches y touche, je commence à grimper, m'accroche au rebord de la fenêtre et mis installe du mieux que je peux pour ne pas tomber.
J'observe à travers les rideaux transparent la pièce plongée dans le noir, ma cible est paisiblement endormi dans son lit.Je pousse légèrement la vitre de fenêtre pour vérifier s'il est bien fermé. C'est le cas.
Maintenant j'essaye de voir ou pouvait bien être place le verrou. Je n'arrive pas à y croire.
Le pire loquet qui soit, un verrou à bascule !
Moi qui croyais qu'avec un père vigile ce serait une famille de paranoïaque avec des systèmes de sécurités digne d'une prison, mais non.
Je devrais sûrement jouer au loto, autant de chances en une nuit c'est un signe du destin, si je gagne des millions je pourrais couvrir mon ange de cadeaux et l'emmener où il veut !Bon ce n'est pas le moment, reconsentre toi.
Je prend mon sac et fouille son contenu et fini par sortir mes petits outils "spécial infiltration", pour une serrure de cette qualité une simple tige de métal devrait suffire.
J'insère le file de fers entre les espaces de la fenêtre en forçant un peu pour la passer. Après cette acharnement à faire lever la barre, le loquet cède enfin.La vitre est ouvert je prend le temps de vérifier que l'habitante soit belle et bien endormi, une fois la vérification effectuée je passe mes jambres dans sa chambre et retire mes chaussures avant de les poser au sol.
Y'a pas à dire c'est bien la chambre d'une grossesse, rose bonbon, des rubans qui serpentent la pièce, des posters de groupe de K-pop collés aux... une déco de merde donc comme sa propriétaire.
Mes yeux se stop sur un endroit précis de la pièce, à vrais dire sur ce que je cherchais.Son petit bureau à maquillage (ou je ne sais comment ça s'appelle, c'estde la merde aussi de toute façon), je chemine jusque là et m'empare de ses produits de beauté que je dévisse un par un, ensuite je sort un dernier objet de mon sac.
De l'huile de pistaches.
Fond de teint, anti-cernes, gloss, bôme à lèvres, parfum, tout y passe, tous reçurent une dose de ce villain liquide.
Si elle ne fait aucune réactions allergiques à tout ça, c'est qu'il y a un problème.Bien sûr, elle vas penser qu'elle fait une réaction à son maquillage et qu'elle devrait le changer, cependant cela ne sera pas suffisant puisque je compte revenir et recommencer sur tous ses produits une nouvelle fois encore et encore, jusqu'à ce qu'elle abandonne l'idée dans acheter et qu'au final je lui en mette directement sur sa gueule.
Oui je sais, ce n'est pas si "diabolique" que ça, mais ce sera assez pour qu'elle ne veuille pas s'approcher de mon ange, de peur qu'il la trouve hideuse.
Même si que mon ange est au dessus de ce genre de stéréotype pour s'attarder à l'apparence d'une personne.Après avoir fini mes petites modifications je retourne doucement vers la fenêtre.
J'ai fait l'erreur de tourner la tête, mon regard se fixe sur Éla sans que puisse m'en détacher, elle ne fait que dormir pourtant cela n'empêche pas une colère noir m'envahir, non pas une colère... une rage d'emmente.Pourrire son visage n'est pas assez, elle peut très bien être assez conne pour tout de même aller voir Kyle.
Je dois faire plus.
Je dois au moins la mutilée.
Lui arracher un œil, balafrer son visage... ou bien...L'égorger ?
Mais oui, sa disparition serait d'un pure extase. Qui pourrait bien en être triste ?
Ses amies ? Elles se procuront une nouvelle bouche troue.
Ses parents ? Même s'ils commencent une alerte disparition, la police de South Park est tellement à en rediscuter qu'ils ne seront jamais ce qui à pu arriver.
Il n'y aura aucun problème, et mon bonheur pourra s'épanouir.Sans même m'en rendre compte je me tenais au dessus d'elle, debout, le couteau de chasse que m'a offert autrefois mon oncle, en main.
Qu'est ce que je fais ?
Si par malheur mon tendre Kyle venait à apprendre ce que j'ai fait il me détesterait, s'il venait à apprendre que son meilleur amis tue une personne par amour pour lui il se détestarait pour ne sans être rendu compte avant.
Il ne voudra plus jamais me voir, ni entendre parler de moi, et encore moins me pardonner.
Je ne pourrais pas vivre comme ça !
Je ne pourrais pas le supporter, je peux pas, je peux pas, je peux pas, je peux pas !!Mais... je la haïs tellement... et lui je l'aime tellement... j'ai peur qu'elle parvienne à me le prendre, je suis terrorisé à l'idée qu'il s'éloigne de moi, à l'idée qu'il est une autre personne que moi à ses côtés.
Le mélange de peur et de rage empoisonne mon esprit, peur de le perdre et rage de la perdre.
Une rage meurtrière."Meow", Le chat qui dormait au bord du lit était maintenant réveillé et près de moi, à la demande d'intention et de caresse.
Caresse que je lui donne, ce chat vas pouvoir apaiser mon état.
De toute façons, je suis une personne à chien.Je porte doucement le félin sous mon bras, tient fermement sa gueule.
La lame du couteau passe avec vitesse teint du nouvelle couleur, une couleur digne des cheveux de celui que j'aime.Le chat ne ce débat pas, à peine s'il émis un son. Il paraît si calme, et pourtant je voyais son regard docile d'animal domestique, ce changer en quelque chose de sauvage.
On aurait dit que ses yeux me menace de mort, que si j'osais le relâcher il se jettera à son tour sur mon cou pour le déchiqueté de ses propres dents.Malgré cela je ne ressens pas ce que j'espérais.
Mon oncle Jimbo, un ancien militaire et à présent chasseur, m'a toujours raconté que lorsqu'on tue un être vivant, que l'on arrache sa vie, notre corps devenait incontrôlable.
Une forte adrénaline avec un sentiment de peur envahie notre corps, nos jambes deviennent aussi tremblant et instable qu'une feuille sécher en haut d'un piquet, nous suppliant de fuir le plus loin possible.Il m'a dit que cette état, est ce que le corps ressent à ce moment là, c'est la mort.
La mort qui vient te saluer en même temps qu'elle prenne les derniers instants du condamné.Néanmoins, même après le dernier souffle du chat mon corps n'eu aucune réaction, tout ce qu'il y a est un vide.
Un vide qui ce trouve dans cette pièce remplite de choses utiles et inutiles, de vivant et de mort.Le lit d'Éla avait à présent la même couleur vifs que celle de mon couteau, mes vêtements en était également taché.
Je dépose le chat dans les bras de sa maîtresse toujours endormi, je marche une nouvelle fois vers la fenêtre et mis repose pour remettre mes chaussures.Je regarde une dernière fois derrière moi et admire la scène que je viens de créer et les dégâts qui arriveront en conséquence de mes actes, avant de repartir de la même manière dont je suis arrivé.
La nuit toujours aussi froide, toujours aussi silencieuse, toujours aussi noir a désormais une atmosphère lourde et pesante, comme si elle savait se que j'ai fait, comme si elle essayait de me punir à sa manière, en me laissant seul dans l'obscurité.
Dans quelques heures cette nuit vas disparaître pour laisser place au jours, dans quelques heures, Éla vas subire son malheur voir un traumatisme.
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Foutue Fête (part Style)
RomancePart Style : Stan est fou de Kyle, son meilleur ami depuis l'enfance, mais il l'a toujours caché pour protéger cette amitié... jusqu'à cette fête...