Foutue Fête (part Style)

11

Stan est là, dans mes bras, pleurant tout les malheur du monde dans un silence ou seul ses sanglots se font entendre, me déchirant le cœur.

"Elle m'a plaquée...".
Encore....
Encore une fois mon meilleur ami se retrouve dévasté par Wendy.
Encore une fois Stan est blessé à cause de sa stupiditer.

Cherchant à lui donner le plus de réconfort possible je dépose ma main sur ses cheveux charbon à la pointes doré.
Les muscles de Stan se détendent à mon geste, le permettent de se blottir davantage sur moi, mes bras son maintenant les seul soutiens qui l'empêche de faire face au sol.

"C'est fous à qu'elle point je passe une journée de merde quand t'es pas là.", Il rit de son propre sort entre quelques larmes.
Quel idiot.

Non, c'est moi le con dans l'histoire.
Comment j'ai pus être aussi égoïste et négliger Stan à ce point et le laisser seul ?
Comment je n'est pas su deviner ce qu'allait faire Wendy ?
C'était de putain d'évident bon sang !

"Je suis désolé Stan, j'aurais du faire plus attention."

Et voilà à cause de moi, mon meilleur ami à mal alors qu'il ne mérite rien de tout ça !
Il est si fragile, si sensible, il mérite d'être protégé, une chose auquel j'ai encore échoué...
Bordel je suis vraiment la pire des personnes ! La seule chose que je puisse faire correctement, c'est de le serrer contre moi...

"Aller vient, t'as dit que tu voulait, je cite, me 'botter le cul' à Calling Duty, j'espérais que tu puisse honorer t'es paroles.", J'ai pour seul réponse un rire étouffé suivie d'un hochement de sa tête contre mon torse.

Après quelques minutes, quelques reniflements, et quelques dernières caresses, nous finissons par nous séparer pour commencer notre route jusqu'à chez moi.

Le silence désespéré de Stan était surplombé par ma voix qui raconte toutes les bêtises imaginables, essayant de créer une conversation... conversation qui ne vient pas.

Le chemin de ma maison ne m'a jamais paru aussi long auparavant. Je ne pouvais donc rien faire d'autres que parler pour "remonter" le morale de mon ami ?
Suis-je si inutile ?
Mes pensées et mes paroles fut interrompu par une voix timide à côté de moi.

"Kyle... je peux te tenir la main... ?", Ses yeux bleus encore brillants et suppliant me fait fondre le cœur.
Comment je pourrais dire non quand tu me fait une bouille pareil ?

Je retire ma main gauche des poches puis part la refermer doucement dans celle de Stan.
Sa main froide se réchauffe dans la mienne, avant qu'il n'entrelace nos doigts les enveloppent d'une agréable chaleur.

J'ai été surpris, c'est étrange...
Je ne sais pas pourquoi il à fait ça, est-ce le genre de réconfort dont il a besoin pour le moment ?
Est-ce pour lui un moyen de ce sentir en sécurité ?
Ou est-ce autre chose ?
Quoique cela puisse être je ressens une sensation étrange, pourtant ce n'est pas la première fois que l'on ce tient la main, la manière est juste... différentes.

Stan lui n'a pas l'aire de se soucier de quoique ce soit, il sourit bêtement, nullement embrassé par l'action qu'il a fait, me laissant sûrement être le seul à me poser des questions sûrement inutiles.
Au moins ça lui remonte le moral, je dramatise vraiment pour rien.

Mon domicile est enfin dans notre champs de vision, une fois au porche de l'entrée je sépare nos mains et ouvre la porte.

"On est rentrés !

- Bonsoir Kyle, bonsoir Stanley.", je n'est pas prévenu ma mère de l'arriver de Stan pourtant ça ne l'a pas empêcher de deviner l'identiter de la personne qui m'accompagne, une preuve de plus que ma maison est aussi la sienne, pour dire qu'il a carrément des affaires de rechanges et ses produits d'hygiène ici.