Salut tout le monde, j'espère vous allez bien. Désolé pour la longue absence j'ai eu un problème avec mon compte Wattpad, j'arrivais plus a écrire mais c'est réglé. Spécialement pour cette fois je publie 2 chapitres au lieu d'un (^^)
Bonne lecture...
Un seul coup de feu se fit entendre. Je regardais mon père qui était dos a moi et je priais pour que ce soit lui qui est tiré, mais quand il c'est tourné vers moi je compris que c'était fini.
- papa!
J'ai l'impression que mon cœur c'est arrêté, je n'entends plus rien autour de moi. Mon père s'écroule devant moi. J'arrivais pas à pleurer, il m'avait demandé de ne plus le faire devant des gens. Je fais abstraction de la douleur de ma jambe et me dirige vers lui, puis je tombe à genoux pour le prendre dans mes bras.
- ne t'expose pas ainsi, s'il te prend personne ici ne pourra te protéger...
- ne dis pas n'importe quoi ! J'effectue une pression sur la blessure pour stopper l'hémorragie.
- que c'est touchant, te voilà au sol pourtant tu voulais me faire la peau non, toi qui voulais que ce conflit cesse, ton souhait va être réalisé.
A l'écoute de ses mots ma panique se transforme en une haine viscérale. Je prends l'arme de mon père et sans crié gare j'me redresse et tire sur sa main qui tenait l'arme
- non mais t'es malade? Qu'est-ce qui te prend gamine ? dit-il en tenant sa main si commençait à saigner
Je tire cette fois-ci sur son genoux droit, puis le gauche.- Accidenti, devi avere un problema serio ( putain tu dois avoir un sérieux problème)
- tu te plaisait pourtant a regarder mon père de haut n'est-ce pas, alors qu'est-ce que ça fait de devoir te mettre à genoux devant une gamine ?
- t'es comme ton père enfaite, ils vous manque plus d'une case!
- Kora t'en as assez fait. Je suis fière de toi. J'me tourne vers mon père au sol. Il souriait, puis ses yeux se sont fermés. J'ai vu son dernier souffle traverser le seuil de ses lèvres.
J'avais l'impression que le sol se dérobait sous mes pieds. Que mon cœur aussi c'est arrêté. Il y'avais un silence, personne n'osait bouger. Je ne savais pas ce que je devais faire sur l'instant. Alejandro se mis à rire. Sans réfléchir je me tourne et lui mets une balle dans la tête.
Personne n'a juger bon de piper mots.- tuer les tous, qu'aucun ne sorte d'ici vivant, ordonnais-je a mes hommes sur un ton qui ne souffrait d'aucune réplique.
Je suis sortie prendre l'air. Je n'arrivais plus à tenir dans cette salle où jonchait le corps de mon père. Les bruits des tirs me paraissaient lointain, j'étais encore dans cette transe. Je revoyais mon père, son enthousiasme pour ma fête d'anniversaire, puis je me revois enfant, quand il me réconfortait. J'arrive pas à l'imaginer mort. Non c'est impossible. J'avance vers l'arbre dans le jardin, j'ai besoin d'un punching-ball pour évacuer le trop plein d'émotions que je ressens. Je donne un premier coup, la douleur est supportable. J'enchaîne droite gauche, mes phalanges saignent mais je m'arrête pas. J'ai besoin de ressentir cette douleur pour rester connecté à la réalité. Je m'arrête pas. Une première larme coule, puis une deuxième et maintenant elles ne s'arrêtent plus. La douleur est plus mentale maintenant. Une main se pose sur mon épaule et sans réfléchir je me tourne et frappe la personne : Hafiz. Aucun remords ne me gagne, je lui la ce un regard noir.- arrête, ça sert à rien de s'acharner sur cet arbre.
- vous êtes tous inutile, autant que vous êtes. crachais-je en le fusillant du regard. Qu'avez vous fait quand il a pointé son arme sur mon père hein? Quand il est tombé pourquoi n'avez vous pas accouru pour essayer de stopper l'hémorragie ? Rien. Mon père est mort merde!
Je me passe une main dans les cheveux, elle laisse une trace de sang mais je m'en fou. Julia nous rejoint dehors ainsi que les hommes présent. Je ne m'étais pas rendu compte de mes larmes avant qu'elle ne les essuie. Josh, Alexis et ses hommes étaient présents aussi. Puis je me souviens des paroles de mon père "ne laisse jamais personne voir tes faiblesses, car ils l'utiliseront contre toi."
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Dark Angel...
ActionJe m'appelle Kora Nabil, et malheureusement ce que vous lirez est mon histoire... Être l'enfant d'un milliardaire, c'est le rêve de beaucoup, mais quand ce milliardaire est un mafieux la done change... A 17 ans mon père est mort devant moi, le mêm...