Entre X et Y [fanfiction 1D]

Chapitre 8 : As du Volant

Je crois que j'ai du inquiéter Liam car à peine arrivé sur le sol Américain, il me contacta. Je le rassurais alors dans un premier temps et l'informa que je pouvais attendre qu'il soit arrivé dans la ville où il devait donner son concert. Ou qu'il ait le temps plus tard. Il devait s'occuper de sa carrière. Je lui demandais de passer le bonjour aux garçons et lui souhaitais un gros ''merde'' pour ces futurs concerts.

Deux jours plus tard, il me skypa étant de voyage.

« C'était quoi ce messages S'. J'y ai pensé tout les soirs ! »

« Après ton départ ça a clashé avec Nathan. On est plus ensemble. Il n'était plus ce que je connaissais de lui. Il a dépassé les bornes le jour où tu es venu. »

« Comment ça c'est passé ? », demanda-t-il inquiet.

« Je t'ai dis de ne pas t'inquiéter. »

« Tu m'as quand même envoyé, et je cite : ''J'ai besoin de toi '' », m'énonça-t-il.

« Et c'est vrai j'avais besoin de toi surtout à ce moment là mais j'ai toujours besoin de toi, j'ai besoin de ta présence à toi par celle d'un substitut. », expliquais-je.

« Tu penses donc que Nathan était un substitut de notre relation et de mon absence ? », demanda-t-il.

« Très certainement oui, j'ai pas mal réfléchie à mon inconscient... j'ai aussi réfléchie à tes derniers mots : More than this.»

« Je ne sais pas pourquoi, mais c'est toi ! », balança-t-il

« Tout comme je ne sais pas pourquoi c'est toi non plus. Le cœur a ses raisons que la raison ignore. Il m'a juste fallut 5 mois pour écouter mon cœur et pas ma raison.», citais-je.

« Tu te protégeais tout comme je me protégeais... », résuma-t-il alors.

« Oui ...»

« Seule cette journée là t'as influencé ? »

« Ma mère aussi », répondis-je tandis que ses yeux s'arrondissaient de surprise.

« Ta mère ? »

« Oui elle avait cerné le problème bien avant moi, et je suis sûr qu'elle savait ce que j'allais faire, elle me laissait juste le faire moi-même sans me donner d'avis trop personnel quoique. Elle t'a tout de suite appréciée à ta juste valeur. »

« La prochaine fois que je la reverrais faudra que je pense à la remercier. », s'exclama-t-il.

« T'es con », répondis-je en souriant.

« Ça je le savait ! », rigola-t-il.

Je le regardais, sans parler, profitant juste de sa présence. J'entendais presque sa respiration à travers l'ordinateur.

Alors un bonheur m'envahissait, un bonheur que je n'avais pas connu jusque là. J'étais apaisé en le voyant. Je sentais dans mes propres yeux cette joie, cet amour, cette douceur que je ressentais pour lui. Je me foutais qu'il soit de l'autre côté de la planète, son cœur m'appartenait comme le mien lui appartenait désormais. Je savais au fond de ma tête qu'un jour cette euphorie diminuerait à cause du temps et de la distance, mais j'étais sur que c'était un des hommes de ma vie, le premier, le meilleur. Il m'avait appris la plus grande leçon de vie, apprendre à vivre justement.

« S' », m'appela-t-il me tirant de mes pensées.

« Oui »

« Je dois y aller... », me dit-il tristement.

« C'est pas grave, tu me préviendras quand tu pourras me skyper de nouveau! »

« Oui ! »