˚₊‧꒰ა ☆ ໒꒱ ‧₊˚
Ces derniers jours, Mi-ko s'entraînait absolument tout le temps. Elle s'améliorait à vue d'œil ce qui avait le don d'enrager Sasuke ; il ne voulait pas concevoir l'idée que la Mori soit plus puissante que lui. Elle, de son côté, voulait simplement être la plus forte possible, il n'était qu'un moucheron dans ses futurs plans.
À part l'entraînement, la jeune fille retournait quelques fois en toute discrétion à Konoha la nuit afin de retrouver Lulu. Celle-ci lui avait expliqué la raison de sa méchanceté : elle avait toujours beaucoup aimé Mi-ko et pensait que la charier fonctionnerait pour la séduire. Vous vous en doutez bien, cela a eut l'effet contraire, de plus que Mi-ko appréciait peu de gens. Mais au final, elle liait une relation quelque peu floue avec la blonde mais nous pouvions dire qu'elles étaient amantes. Elles faisaient de diverses choses ensemble : dîners romantiques dans la chambre de Lulu, discussions sur le futur, parties de jambes en l'air, sessions de câlins,...
Cependant, Sasuke observait Lulu de temps à autre. Pas dans un sens pervers, mais parce qu'il n'avait pas confiance en elle. Il savait que quelque chose allait arriver à Mi-ko et il se considérait le seul à avoir le droit de la tourmenter. Alors il l'observait, et ce qu'il apprit lui glaça le sang. Une nuit tandis que Lulu parlait à sa grande sœur, la blonde glissa une information affreuse : "Ouais, je vais la dénoncer. Elle est venue ce soir et elle reviendra demain, comme toujours, mais c'est une criminelle. Elle a déserté pour collaborer avec un terroriste cruel, et elle devrait affronter les conséquences, tu sais ?". Sa sœur lui demanda suite à ces mots si elle aimait Mi-ko comme elle le disait, et Lulu répondit que oui, mais que ce n'était pas le sujet. Ses actes quels qu'ils soient étaient graves et elle devait payer pour être de mèche avec l'homme serpent.
L'Uchiwa n'allait pas laisser passer cela ; Mi-ko serait une trop grande perte pour le repère si quelque chose lui arrivait., puis il n'appréciait guère la mesquinerie de son amante, sachant très bien que Mi-ko l'aurait tuée si elle avait entendu cela à la place de Sasuke. Puis honnêtement, seul Sasuke pouvait faire souffrir Mi-ko. Il devait lui en parler, la dissuader de retourner voir Lulu. À son retour au repère, il toqua à la porte de la salle d'expériences d'Orochimaru, sachant très bien qu'elle serait là-bas auprès de ce dernier.
- Bonsoir maître Orochimaru. Mi-ko, je dois absolument te parler seul à seul. C'est important.
- Mh, bizarre mais d'accord. Je reviens.Les deux sortirent de la salle et s'isolèrent.
- Écoute, avant tout, je voudrais que tu me crois, s'il te plaît, dit calmement le brun.
- Allez, accouche !
- Ne retourne pas à Konoha ces prochains jours.
- Et pourquoi donc ?
- Lulu va te dénoncer, si tu y vas, ils redoubleront de surveillance. C'est trop risqué.
- Dénoncer ? Comment ça ?, répond Mi-ko.
- Je l'ai entendu discuter avec sa sœur. Elle disait que tu étais une criminelle et qu'elle te balancerait.
- Bien.La fille respira un bon coup, c'était difficile à avaler mais elle n'avait aucune raison de ne pas croire Sasuke ; ils n'étaient pas proches, au contraire. Et puis si il voulait lui faire du mal, il ne s'y prendrait pas comme cela, encore moins en ruinant ses relations. Le garçon n'en avait pas grand chose à faire des aventures de la jeune fille. Mi-ko reprit calmement la parole quelques instants plus tard : "Merci de m'en avoir informé. Bonne nuit". Par la suite, elle repartie dans la salle afin de retourner auprès d'Orochimaru. Les jours suivants, la Mori ne donnait absolument aucun signe de vie auprès de son amante. Elle attendait que l'attention des gardes se dissipe afin de faire payer Lulu, cette trahison l'avait mise dans une rage noire et intense, elle voyait rouge chaque instant dans lesquels elle ne pouvait pas encore se venger, mais ce n'était qu'une question de patience.
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Masquerade - Sasuke x OC
FanfictionTW : Violences physiques, mentales et sexuelles. Descriptions et mentions de viols et de violences. "Je me disais que si les gens me voyaient comme un diable, alors cela voulait dire que j'étais puissante et que la peur que j'instorais était un gag...