Chapitre 34 : Lou

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Deuxième semaine d'hospitalisation.

Quand je sors de ma chambre, Lison s'approche de moi et me donne un mot sur lequel il est marqué « tu me fais penser à une fleur qui a été négligée et maltraité par les autres car ils ne connaissaient pas sa valeur et sa beauté. Mais elle va pouvoir montrer son vrai parfum et les couleurs de ses pétales car elle à trouver un endroit où elle se sentait bien » c'est la plus belle chose que quelqu'un pouvait me dire. Seulement deux phrases ont réussi à me redonner espoir. Deux phrases on suffit à me faire comprendre que tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir. Deux phrases bien choisi mon permises d'être certaine que tout ce qu'il s'est passé n'était pas ma faute mais de celle de l'autre. Cet autre si dangereux. Cet autre que l'on ne peut contrôler. Cet autre qui peut faire de notre vie un cauchemar. Cet autre que j'essaie de tenir le plus possible à distance de ma bulle personnelle. Cet autre incompréhensible, voir fou pour certain. Cet autre qui je dois bien l'avouer m'attire parfois malgré moi.

Je sais, c'est contradictoire, mais il y a certaine personne comme Lison, Luna ou même Mathilde qui sont des personnes incroyables même si on a parfois des différends. Je pense que cela va vous étonner, mais je dois bien avouer que j'aime beaucoup mon ancienne colocataire, et que c'est pour ça que je me suis tout de suite éloigné d'elle car je craignais trop de m'attacher et qu'elle me fasse du mal. J'ai peur de me l'avouer, mais je l'aime vraiment beaucoup. Je ne sais pas si je l'aime en amour, mais je ne crois pas, je suis un peu perdu et j'ai du mal à différencier l'amitié à l'amour. De plus, j'ai l'impression d'avoir été odieuse avec elle, je l'ai rejeté, elle doit me détester. 

Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoirOù les histoires vivent. Découvrez maintenant