Tome 2: Il était une fois...

chp.15 "Tu m'as manqué"

Tic tac... Tic tac... Tic tac... Tic tac... Drago souffle longuement et fait un nouveau trait sur le tableau noir alors que Ginny, assise sur une chaise et les pieds sur la table, regarde l'horloge comme si sa vie en dépendait.
- Rappelez-moi, s'il vous plaît, pourquoi on est là? Je demande, assise sur une chaise à mes deux amis. Un silence s'en suit, lorsque Drago le rompt:
- C'est de la faute de Em! S'exclame-t-il en pointant la rousse du doigt.
- Quoi! S'exclame-t-elle à son tour en faillant de tomber de sa chaise. J'ai rien fait moi! Nie-t-elle. Et on pointe pas les gens du doigt. Connard et impoli, nan mais le mec il sert juste à faire chier son monde, ajoute-t-elle en levant les yeux au ciel.
- On est en colle et c'est de ta faute! S'énerve Drago. Le surveillant, assis à son bureau nous réprimande du regard.
- Je suis nulle en espagnol, gros con! Dit Gin. André (le surveillant) lève les yeux de son magazine People.
- Parles mieux à ton camarade sinon je te fais faire trois tours de terrains, dit-il. Drago, Ginny et moi fronçons les sourcils.
- Nan mais mec, j't'explique la situation, on est enfermé dans une salle depuis 59 minu... Commence la rousse.
- Putain, j'en ai marre de ma vie là, râle soudainement le blond en fesant un nouveau trait sur le tableau.
- Depuis 1 heure, se reprend la rousse en s'adressant de nouveau à André.
- Ben alors, vous allez faire trois tours de salle si vous continuez. Qu'est-ce que vous voulez que je vous dise? Soupire-t-il. Je le regarde, étonnée. Mais WHAT! Des tours de salle mais il a pété un câble!
- Qu'on est libres? Propose Drago.
- Non.
Je vous explique la situation.
On était en cours d'espagnol et pour voir le niveau des différents élèves la prof d'espagnol avait demandé aux élèves de lui dire quelquechose en espagnol. Elle c'est là qu'elle avait dit: Amanda. Ginny, ne connaissant rien en espagnol avait lâché un simple: "Tú madre." Ce qui ne plut pas à la prof. Ce qui était parfaitement compréhensible. La prof avait alors dit: "Eum... Deux heures de retenues seront suffisantes, non?" Ginny m'interrogea du regard, ne comprenant pas pourquoi elle était punie.
- Pourquoi tu as dis ça, Em? Je lui demande.
- J'avais vu ça un jour écrit sur un mûr mais je ne savais pas ce que ça voulait dire. Or, c'est la seule chose que j'ai retenu en espagnole, répond la rousse. D'ailleurs, c'était quoi la traduction? Parce que ça n'a pas plut à la prof.
- Tu lui as dit: "Ta mère."
- Ah merde, André la fusille du regard. Enfin, je veux dire, olala oups... zut. Mince... la boulette.
- Tu n'es pas du tout convainquante, se moque Drago.
- Quand on est blo... Commence la rousse.
- Eh ben non! Chui brun maintenant! Tu l'as dans le c... Dans les fesses, la gauche et la droite, dit Drago en souriant de façon hypocrite au surveillant.
- Et puis... T'as pas assuré toi non plus.
- Pardon?
Explications:
- No... No comprendo, dit Drago à la prof d'espagnol.
- Vous venez d'où au juste? Vous devriez au moins savoir ça! S'énerve-t-elle.
- Et ta mère, elle le sait ça? Dit une fille.
- Amber, sors de mon cours, lui dit la prof.
- C'était ce que je voulais. J'en peux plus de votre cours. La salle est moche, les mûrs sont moches, la peinture est moche, l'espagnol c'est comme l'italien, c'est une langue de pédophiles, vous avez un accent de merde et vous êtes pires que la salle, qui, je l'ai déjà dit, est moche. Au revoir, dit Amber avant de sortir de la salle de cours. Drago était mort de rire et la prof était toute rouge.
- GORDON! DEUX HEURES DE COLLE! Hurla la prof. Je me bouchais les oreilles et Ginny aussi.
- Mais... Commença Drago.
- Nan mais Don, t'as tort donc fermes ta gueule, lui signala Ginny.
Voilà pourquoi Drago est en colle... Parce qu'il est con.
- Et toi! T'es censée être la plus sage! S'exclame Drago.
- Ah mais putain vous faites chier sérieux... Vous m'avez réveillé, dit lentement Amber qui vient de se réveiller en sursaut.
- Amber, le règlement à copier ça avance? Demande André d'une manière blasée.
- Oui! J'ai écrit mon nom dans la marge! S'exclame celle-ci.
- Euh, tu veux dire ton nom ET ton prénom?
- Non, juste mon nom.
- Dépêches-toi de copier sinon j'appelle Mrs. Gonzales et ta retenue sera doublée.
- T'es qu'un traître t'façon.
- Non, je fais mon job.
- Bâta...
- Oh! Vous vous calmez! Vous allez dans un placard et vous faites des bébés! Les pré... Commence Ginny.
- Am, stoppe! Je l'arrête, et elle soupire.
- Amanda, ton heure va être doublée! La prévient le surveillant.
- Ta sœur! S'exclame Ginny avant de se barrer en courant.
- Mais chui fils unique, dit André.
- Victime, rit Amber.
- Bon, moi j'en ai ma claque. Don, on sort, je déclare en me levant avant de tirer Drago par le bras et de sortir de la salle en courant.
- On transplane? Demande Ginny qui nous attendait devant un casier.
- Oui, venez chez moi tout les deux. Faut qu'on parle d'un truc, dis-je. Drago m'interroge du regard. Par rapport à hier, j'ajoute.
- Ah... D'accord, dit-il.
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Nous sommes à présent dans mon appartement, assis dans le canapé.
- Donc, vous vouliez me parler de quoi? Demande Ginny.
- Hier, on a voulu fouiller les casiers du lycée, je commence.
- Sauf qu'on en a pas eu le temps. Deux mangemorts étaient dans les couloirs. Alors on s'est caché et on a écouté leur conversation, continue Drago.
- Apparemment, il y a quelquechose qui permet de découvrir un indice.
- Un indice qui dévoilerait quoi? Demande Ginny.
- On ne sait pas. Ils étaient très vagues lorsqu'ils en parlaient, je réponds. À mon avis, on devrait aller à Poudlard.
- À Poudlard? S'interroge la rousse.
- Oui. Il y a sûrement quelquechose caché là-bas. Ils ont que ce quelquechose révèlerait le "dernier" indice. Donc par conséquent, il y en a d'autres. Je pense qu'un indice disant où se trouverait ce quelquechose pourrait être caché à Poudlard.
- C'est très pobable, commente Drago. Mais je me pose tout de même une question. Pourquoi Voldemort s'embêterait à créer toutes sortes d'indices?
- Ce sont des indices. Donc il méne à quelquechose. Cette chose doit être très importante pour qu'il décide de la cacher à ce point. Les horcruxes. Il n'a pas fait d'indices mais les a tout de même cachés. S'il n'en a pas fait, c'est parce que si quelqu'un les trouvait, il ne pourrait pas les détruire. Un horcruxe est très difficil à détruire. Pas tout le monde connait la façon de les détruire. Et également, pas tout le monde connait leur existence tout court. Ce n'est pas le genre de magie dont on discutera simplement autour d'un thé. C'est un sujet très tabou dans le monde sorcier. Mais cette chose, s'il s'embête à faire des indices. C'est pour limiter les chances qu'elle soit trouver par quelqu'un ne fesant pas parti des mangemorts. Par quelqu'un, pouvant la détruire. Parce qu'évidemment les mangemorts ne peuvent pas le faire. Pour eux, c'est une question de survie, dis-je.
- Tu as raison. Mais du coup, vous aviez fouillé les casiers? Demande Gin.
- Non, répond Drago.
- D'accord. Ne le faites pas. On commencera par Poudlard.
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Hermione
Je suis toujours hospitalisée et Ron est passé me rendre visite. Il se trouve, en ce moment même, assis à côté de moi.
- Tu t'inquiètes pas pour Harry? Me demande-t-il.
- Si. Et c'est assez troublant de savoir qu'il ait des visions alors que Voldemort est décédé.
- À ton avis il fait comment? Tu crois qu'il reste une partie de lui?
- Non. Enfin, je ne sais pas. Mais on l'a vu mourir devant nos yeux.
- Peut-être qu'il n'est pas vraiment mort.
- Qu'est-ce que tu veux dire par là, Ron?
- Après avoir tué les parents de Harry. Il avait disparu à cause, ben de Harry justement. Tout le monde croyait qu'il était mort. Et pourtant, ce n'était pas le cas. Il n'avait plus d'enveloppe corporelle. Il n'était qu'une âme errante. Et il a trouvé Quierell et a prit possession d'une partie de son corps. Mais ce n'est seulement lors du tournois des trois-sorciers qu'il a retrouvé son véritable corps.
- Oui. Oui, c'est exacte. Tu crois qu'il... qu'il a toujours un horcruxe? Que Dumbledore s'est trompé? Que nous nous sommes trompés?
- Je ne sais pas. Peut-être qu'on est passé à côté de quelquechose, non?
- Mais ça n'aurait aucun sens.
- Je sais. Justement, c'est peut-être pour ça qu'on n'y a pas pensé.
- Ce serait possible. Mais je ne crois pas. Du moins, je ne l'espère pas.
- Tu crois que la guerre va recommencer?
- La guerre ne s'est jamais vraiment terminée.
- Oui, c'est vrai.
- Mais pourquoi faut-il toujours que tout soit compliqué?
- Je ne sais pas. Le karma, c'est peut-être parce que t'as été horriblement chiante avec Harry et moi en première année, rit Ron.
- J'étais pas chiante. Seulement raisonnable.
- "Raisonnable"? Tu déconnes j'espère? À un moment tu nous as sorti que se faire expulser de Poudlard était pire que la mort, continue de rire le roux.
- J'ai dit ça quand moi?
- Tu t'en souviens pas? Harry et moi on s'en souviendra toute notre vie, c'était juste épique. T'avais dit: "Bon, maintenant je vais aller me coucher. À moi que l'un de vous ne souhaite encore nous faire tuer... ou pire, nous faire expulser." Dit mon meilleur-ami en imitant la voix que j'avais. Il éclate ensuite de rire.
- C'est pas drôle. Je le pensais vraiment, je tente de me défendre. Ce qui fait encore plus rire Ron, qui est à présent mort de rire. Arrêtes, parce que toi aussi t'étais un cas.
- Ah oui? Et quand?
- Quand tu pensais qu'à la bouffe.
- Arrêtes, tu me fais passer pour un goinfre.
- Bah c'est ce que t'étais non? Ris-je à mon tour. Le roux me montre son majeur en souriant de façon hypocrite. T'as bien fait de venir. Je me marre bien.
- Ouais, je vois ça, râle-t-il. J'éclate de rire.
- Oh boudes pas Ron, lui dis-je. Tu sais, je trouve qu'on est moins proches depuis la fuite de Poudlard. Ça fait plus de deux ans du coup. Et, tu m'as trop manqué, Ron, je confesse avec un sourire nostalgique.
- Tu m'as manqué aussi, Hermite, avoue Ron en se levant avant de me prendre dans ses bras.
- J'ais été horrible avec toi après l'incident avec les moldus. Quand j'ai rompu, j'ai été horrible. Je suis tellement désolé. Pourquoi es-tu toujours là pour moi?
- Parce que je t'aime, tout simplement. Tu es ma meilleure-amie, je serais toujours là pour toi, tu le sais bien.
- Merci, Ron. C'est génial d'avoir quelqu'un. Ron se rassoit. Tu as des nouvelles de lui? Tu m'as dit qu'il m'avait déposé ici. Il n'est pas venu me voir, je ne comprends pas pourquoi.
- J'ai pas de nouvelles. Harry et Drago non plus. Tu devrais demander à ta pyromane préférée.
- Gin? Je pense pas qu'elle sâche.
- Ils sont assez proches, tu sais.
- Faut que je voyes ça avec elle. Mais, je pense qu'il est partit.
- "Partit"? Mais où? Il n'a nul-part où aller.
- Je sais. Mais, il se sent mal par rapport à moi. Quand on était chez Harry il avait voulu me lancer un oubliette. Il veut que je l'oublies.
- Ah. Eum... Sinon, comment vont tes parents?
- Je sais pas.
- Tu déconnes j'espère. Tu leur as pas reparlé depuis la chasse aux horcruxes! Mais pourquoi?
- Si. Je leur ai reparlé. Mais c'est un peu compliqué. J'avais oublié de te dire que je leur avais effacer les souvenirs... ou plutôt, j'avais effacé mon existence avant de quitter la maison.
- Tu avais fait ça pour qu'ils ne souffrent pas si tu mourrais. Et maintenant, ils ne se souviennent plus de toi.
- Voilà.
- Mais y a pas un moyen?
- Si. J'ai réussi à leur ramener quelques souvenirs, mais pas tous. J'ai fais de nombreuses recherches. Et malheureusement, ce n'est pas possible de leur rendre toute leur mémoire.
- Tu as ma famille au moins, c'est déjà ça.
- Oh nooooon, ris-je.
- T'es méchante.
- Mais je rigole. Tu sais très bien que je vous adore. Vous êtes ma deuxième famille! Je m'exclame.
- Sinon, tes amoooooours?
- Ne t'aventures pas sur ce terrain là, Hermite.
- Oulala.
- La ferme.
- Je suis blessée.
- Tant-pis.
- Oh comme t'es un connard, ris-je.
- Je sais, rit-il à son tour. Bon, j'y vais. Neville et Luna m'ont dit qu'ils passeraient demain.
- Super, ça fait longtemps que je les ai pas vu, dis-je en souriant.
- Allez, ciao, Hermite, me dit au revoir Ron en déposant un baiser sur mon front avant de quitter la pièce.
- Ciao, le salus-je avant qu'il ne franchisse la porte.
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Drago
Ginny est repartie tout-à-l'heure. Ce qui fait que je suis seule avec Élie. Cette fille mais elle est géniale. Elle aurait été à Poudlard avec nous, chui sûr que je l'aurais dragué. Alala, Poudlard. Que de bons souvenirs du temps où j'étais un connard, dragueur et connard. Oui, "connard" deux fois, car c'était une côté vraiment important de ma personnalité. J'emmerdais Harry, Ron et Hermione. La belle vie putain.
- Tu penses à quoi? Me demande soudainement Élie.
- Aux années que j'ai passé à Poudlard, je réponds.
- Ça te dérangerait de me raconter?
- Non, t'inquiètes. Tu veux savoir quoi?
- T'étais le même qu'aujourd'hui? J'éclate de rire.
- Ah si tu savais. J'étais un coureur de jupons, dragueur, assez méchant sur les bords. En bref, un vrai connard. Mais j'aimais tellement ça putain.
- Ça me surprend pas de ta part, méchant garçon, rit Élie.
- Et j'étais le pire ennemi de Harry, Ron et Hermione. Et biensûr, c'étais réciproque. Je leur lançais des piques à chaques occasion. Harry, il avait pas voulu être mon pote, donc, déjà ça m'avait énervé. Et en plus, il était célèbre, pas con, malin, farceur, drôle et il avait des putains d'amis sur lesquels ils pouvaient compter. Bref, il était carrément chiant! J'étais hyper jaloux de ce connard. Et je le surnommais "St-Potter".
- Le pire c'est que ça lui va bien, rit-elle. Et Ron et Hermione?
- Hermione, je pouvais pas me la voir, mais alors pas du tout. Elle était ultra chiante! Un Miss-Je-Tout que t'avais tout le temps envie de gifler! Elle savait tout sur tout et elle avait toujours raison! Le genre d'élèves hyper studieuse qui limite hurle pour que le professeur l'interroge.
- Je vois le genre, dit la blonde, morte de rire.
- Et Ron... Je sais plus pourquoi mais il était relou. Eh mais t'es blonde!
- Naaaaan, tu crois?
- T'étais brune avant?
- Si. Mais j'avais envie de changer.
- C'est pas toi qui est métamorphomage?
- Si.
- Ah, d'accord. Parles-moi un peu de toi. C'est comment Salem?
- Franchement, c'est super! J'avais une pote là-bas, Lianne Andrews, c'était un cas. Et c'est pourquoi on s'entendait super bien.
- Attends... Toi, un cas?
- Oui. J'avais des retenus tout le temps. Tout les profs me détestaient et le directeur pensait très sérieusement à me jarter de l'école. Il tentait de me sermonner, il était là: "Franchement, Élidy, ton comportement est inacceptable." Et moi je me foutais de sa gueule. Ahh c'était tellement drôle.
- Tu t'appelles Élidy?
- Oui. C'est original hein?
- Non, j'aime bien. La blonde éclate de rire. Non mais chui très sérieux. C'est harmonieux.
- Tu sais, tu peux me le dire si c'est de la merde. Je le prendrais pas mal.
- Tu veux entendre un prénom de merde? "Drago". Ça c'est de la merde tu vois.
- Oh ça va. On t'as pas appelé Urthegarde non plus.
- "Urthegarde", ça existe? Mais c'est honteux. Ris-je.
- Je sais, rit à son tour Élie.
- Pourquoi t'as changé ton prénom?
- Je l'ai fait après la mort de mes parents. J'avais vraiment envie d'un renouveau. Alors j'ai changé mon prénom, ainsi que ma couleur et ma coupe de cheveux. Avant j'avais les cheveux rouges. Et j'ai quitté les États-Unis pour l'Angleterre.
- Et niveau caractériel?
- Alors là, je suis plus du tout la même. J'étais une garce à un point, rit la blonde. Mais avoir perdu ma famille m'a changé. Ça m'a fait prendre conscience de certaines choses. J'ai grandis. Et, aujourd'hui, je suis pleinement épanouïe.
- Célib encore?
- Oui mais toi non, rit-elle.
- Tu sais ce que je me disais tout-à-l'heure? Elle m'interroge du regard. Que pendant mes années à Poudlard, si je t'avais vu, je t'aurais sûrement dragué. Elle rougit légèrement avant de dire:
- Et ça aurait marché. Personne ne te résiste voyons, rit-elle.
- Je sais, je sais.
- Oh. Calmes ton arrogance.
- Ce n'est pas de l'arogance, c'est seulement prendre conscience de ces qualités.
- C'était le détournement à la Malfoy, wahou, rit Élie.
- Chut. J'ai le droit de t'appeler Lidy?
- ...
- Tu peux parler maintenant.
- Oui, tu peux, me dit-elle en souriant. Je regarde ses yeux (oui, j'ai qu'ça faire de ma vie, effectivement). Ils sont d'un vert MAGNIFIQUE! Nan je déconne. Ils sont juste verts les gens. Mais ça va, elle a une belle couleur de yeux quand même. Mais ça dépassera jamais les miens! Thanks daddy! You give me your eyes! And I love you so much for that! ... Ou pas.
- T'as de beaux yeux tu sais, dis-je en levant et en baissant mes sourcils.
- Oh fermes-la, rit la blonde en me jetant un coussin à la face.
- Ça fait plaisir, je commente d'un ton neutre et en fesant une tête blasée. Je ne te ferais plus jamais de compliments.
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Mot de fin: Salut :) Ça va la famille, les amis? ^^ Bon, ce chp. n'était pas très mouvementé, voir même pas du tout, mais bon, je vais pas mettre de l'action dans tout les chp. non plus. Bref, vu que je suis d'une âme généreuse (Modestie est ma BFF), je poste un autre chapitre, là, maintenant tout de suite, par contre il est assez court. Ça y est je me trouve chiante, genre je fais un chp. nul mais long et derrière j'enchaîne avec un chp. où il y a de l'action mais qui est court. Franchement, ça ne passe plus (je n'en plus de moi). :/
À tout de suite ;)