chapitre 11

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Après être bien reposer je me lève pour rejoindre mon bureau et voir où sont arrêté mes affaires, Gonzalo était là avec quelques documents à la main .

Je me serre un verre de whisky que je bois d'une traite puis m'assoie sur mon bureau.

- comment vont les affaires ? Demandé je en fouillant dans mon tiroir

- tout va bien pour le moment, tu dois te rendre à l'entreprise pour signer quelque papiers avec les associés. Dit il en prenant place dans le fauteuil

- et Alvaro ? Il y'a des nouvelles ? 

- j'ai entendu dire qu'il c'est associé avec la mafia des États-Unis et il c'est rendu la bas pour signer les papier.

- il a senti que le danger approche, préparer pour l'attaque de ce soir je veux une bombe dans chacune de ses propriétés et ses hommes seront des otages .

- d'accord mais tu ne te soucis pas de cette alliance avec la mafia des États-Unis ? 

- Alvaro ne tient jamais ses promesses Gonzalo tôt au tard ils vont s'empasser de lui et une guerre s'achèvera entre eux et c'est la bas que je vais m'associer avec eux contre lui .

- Le don Carlos t'envoie son bonjour et il veut que tu lui rends visite à Rome bientôt.

- je pense qu'il veut travailler avec moi comme il fessait avec mon père mais c'est non d'avance je ne travaille pas dans la drogue et lui prostitution.

- il te demande pas de travailler Marco seulement te garder comme allié pour lui n'oublie pas que c'est lui qui nous vend des armes et que ce sont les meilleurs dans toute l'Europe. 

- je vais voir mais maintenant je dois m'occuper d'alvaro le reste viendra après. 

Il sort de mon bureau et me laisse seul , je sort le petit navire que Roya m'a offert et le met sur mon bureau je me met à le fixer en pensant à elle depuis ce baiser elle ne sort pas de mon esprit c'était le moment le plus merveilleux de toute ma vie une vague d'émotions m'a transperer quand j'ai goûtai à ses lèvres et son regard qui ne sort pas de ma tête, je me lève du bureau et me met devant la baie vitré l'océan bleu est calme et il fait beau je me suis souvenu du bracelet de pierre de Roya je le met dans mon poignet en souriant quand je pense au moment que j'ai passé avec elle c'était des moments où je me sentais moi même. 

Le soir , je descend au salon pour me mettre devant la cheminée j'aime cet endroit j'organise mes idées la bas et elles sont bien claires quand je vois le feu crépitait le bois .

- Le dîner est servi monsieur.

Je me retourne vers Pablo et lui sourit.

- Merci Pablo je n'ai pas faim vous pouvez prendre congé.

- oui monsieur je vous souhaite une bonne soirée. 

Il part et je me retrouve seul devant la chambre et mes pensées sont toujours vers Roya mes hommes sont dehors avec Gonzalo entrain de me venger et moi ici dans la calme et le pénombre. 

Deux heures après, je sort de la maison quand j'entends les bruits des voitures mes hommes descendent avec ceux d'alvaro qui sont bandé des yeux et des mains. 

- alors comment ça c'est passé ? Demandé je à Gonzalo qui vient vers moi

- tout c'est bien passé j'étais choquée quand j'ai vu des jeunes femmes prisent en otage la bas je les ai libéré sur aucune igratinure

- che bastardo ! Sifflé je entre mes dents de colère

- et maintenant on fait quoi ?

- nous occupé de nos affaires jusqu'à ce qu'il rentre et commencer une deuxième fête à son honneur, tu sais ce que tu as à faire avec ses hommes ? 

- oh que oui va te reposer je me charge de tout. 

- demain nous irons à Rome pour voir ce que Carlos me veut mais d'abord nous passerons à l'entreprise. 

Le lendemain je prenais mon café dans le jardin en profitant du silence et du calme que m'offre la nature. 

Je pose ma tasse et serre le navire en bois dans mes mains comme toujours Roya ne sort pas de me pensées hier soir je n'ai pas dormi à chaque fois que je fermait les yeux sa voix et ses rires me viennent à l'esprit et à chaque fois que je fais un cauchemar ses yeux vert passent dans ma mémoire et je me lève en sursaut et en sueur .

- Marco ? Où t'es tu perdu ?

Gonzalo tire la chaise et s'assoit en face de moi en me regardant de la tête au pied

- à l'île Gonzalo je sens que je suis rester là bas . Dis je en levant

- tu penses à ce qui c'est passé avec toi ? Où a cette jolie femme que tu as vécu avec pendant quelques jours ?

- les deux mais le jeune femme honte mon esprit. 

Un moment de silence passe ou seul les mouettes fessaient écho dans le ciel .

- qu'est-ce qui c'est passé entre vous ?

- rien de ce que tu puisses imaginer Gonzalo je ne l'ai pas touché j'étais tellement impressionné par sa personnalité que j'avais pas envie de lui faire quoique ce soit. 

- elle est comment ? Puisque tu dis qu'elle t'a impressionné.

- elle est forte, courageuse, sage , intelligente, douce et drôle elle possède une personnalité et un caractère très intéressant que je n'ai vu chez personne quand tu plonges dans ses yeux tu peux apercevoir une crainte indéfini cette femme est aussi mystérieuse que belle à chaque fois que je la regarde je sens .... c'est quelque chose que je ne peux pas définir ..quelques chose de profond qui a pu battre mon cœur à tout rompre j'ai tellement peur de la briser encore plus que je peux pas m'arrêter de penser à elle .

Je me retourne vers lui et le voit souriant .

- qu'est-ce qu'il y de drôle de ce que je viens de raconter ? 

- que tu es tombé amoureux mon enfant.

- c'est impossible je suis resté avec elle deux semaines comment je peux tomber amoureux d'elle pendant deux semaines ? 

- sa s'appelle le coup de foudre Marco tu es tombé amoureux d'elle depuis le premier regard. 

Roya ...la femme de l'île Où les histoires vivent. Découvrez maintenant