Chap. 21 : Seul.

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Je recommence à faire les cents pas. Comment allait je nous sortir de ce pétrin.

Je ne l'ai pas remarqué mais elle c'était assise et presque roulé en boule. Ces bras enserrent ces genoux et sa tête sur ceux-ci elle vacille d'avant en arrière.

- Je l'ai tué... Je les ai tués...Chuchoter elle dans un sanglot.

Soudain des pops sonore se fire entendre. Ils nous avaient retrouvés.

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Cette fois s'en était trop. Elle avait complètement perdu la tête. Putain mais qu'est-ce que je fais maintenant. Si jamais Pansy ce faisait attraper à cause d'elle, allié ou pas c'est moi même qui la ligote et l'enferme.

De plus elle a mis en péril la vie de son amie. Et tué Jim.

Je m'arrête à se constat. Jim. Il avait tant fait pour moi. Pour nous. Et il était mort. Mort par ma faute. Si jamais je n'avais pas été me réfugié chez lui tout cela ne sera pas arrivé.

- Comment ça Parkinson t'informe ? Et comment ?

Sur le moment je l'avais presque oublié. Mais bien-sûr que Granger aller me poser des questions. Elle ne pouvait pas sans empêcher. Sa manie de vouloir tout savoir, de tout contrôler. Cela me debecquait.

- Tu crois pas que ta putain de curiosité n'a pas assez fait de dégâts !

Elle blêmit et baissa la tête. Au moins un semblant de lucidité et de remords était revenu à elle. Je regrettait de l'avoir sortie de son état léthargique. Au moins elle ne faisait de mal a personne. Sauf a elle même.

Je recommence à faire les cents pas. Comment allait je nous sortir de ce pétrin. D'abord il faut que je me calme. Je ne pouvais pas retransplaner au châlet, c'était trop dangereux. Qui sait si nous n'étions pas déjà poursuivis par les mangemort. Mais où aller ? Il fallait que je contacte les autres mais comment ?

Je n'arrivais pas à me concentrer. De rage je poussa un hurlement. Avant de fourrer mes mains dans mes poches. Ma main gauche se referma sur quelque chose que je sortit. Le galion. Le galion que Lovegood m'a donné pour communiquer avec Jim. Peut-être qu'avec ça ? Mais je ne sais pas m'en servir.

- Merde....

Je le regarde sous tout les coudures,  essaye quelques sort dessus mais rien. Puis soudain la réflexion se fit. Moi je ne sais pas l'utiliser. Par contre Granger elle sait !

- Granger il faut....

Je ne l'ai pas remarqué mais elle c'était assise et presque roulé en boule. Ces bras enserrent ces genoux et sa tête sur ceux-ci elle vacille d'avant en arrière.

Putain quoi encore....

- Granger il faut...

- Je l'ai tué... Je les ai tués... Chuchoter elle dans un sanglot.

Je l'a regardais et sa vision me fit ressentir tellement de choses.

Du dégoût, énormément. Comment en été elle arrivée à ça. Puis de la compréhension. C'est vrai, elle avait vécu énormément de choses en si peu de temps. Je supposait que n'importe qui d'autre aurait pété un câble. Puis étrangement de la compassion. Tout ce qu'elle voulait au fond c'était vivre sa vie comme n'importe qui d'autre avec ses amis, sa famille sans toute cette merde. Mais elle avait tout perdu.

Est ce que moi j'aurais été mieux qu'elle a sa place ? Pas sur. Même mon éducation ne m'aurait sans doute pas aidé.

Mais les choses avait été trop loin cette fois. Elle avait agi sur un coup de tête et avait presque tout fait foirer. Et tué Jim.

Non je ne devais pas y penser. Pas maintenant. Je devais pensé à nous sortir de là. Et a essayer de protéger mes amis.

Je m'accroupis à côté d'elle et lui prit l'épaule et l'appelant mais elle ne réagit pas. Ou du moins elle continue à psalmodier sa litanie tout bas

- Je l'ai tué... Je les ai tués ...

- Granger.

- Je l'ai tué... Je les ai tués ...

- Granger !

- Je l'ai tué... Je les ai tués ...

- PUTAIN DE MERDE HERMIONE REGARDE MOI !!!

Enfin, elle s'arrêtera et leva lentement les yeux vers moi. Mais j'avais l'impression qu'elle ne me voyait pas. Pourtant je n'avais pas d'autre choix.

- Comment ça marche ? Lui dis-je en lui montrant le galion. Mais elle ne réagit pas.

- Je t'en prie j'ai besoin de toi.

- Besoin.... De .... Moi ...?

- Oui tu peux nous sortir de là mais j'ai besoin de ton aide. Concentre toi. Comment ça marche ! Lui répétait-je en lui mettant la pièce devant les yeux.

Pendant de longues seconde elle ne bougea pas. Je crus que j'allais devoir de nouveau la secouer quand elle mit enfin sa main sur le galion mais sa main et sa tête se rafaissa sur ces genoux avant d'avoir fait quoique ce soit.

- Granger !

- Cela ne sert à rien. Il viendront au pub mais....

Merde le pub... Si ils venaient là bas. Ils se ferait capturer.

Je soupira en me relevant. Je ne savais plus quoi faire. De désespoir me
laissait tomber contre un mur. Cependant je ne put me permettre de me résigner. On était en danger. Ils pouvaient arriver à n'importe quel moment. Je n'ai pas le choix. Aussitôt je me releva et me rediriga vers Granger.

- Granger, écoute moi, il faut partir d'ici. L'ennui c'est que je ne sais pas où l'on peut aller. Mais toi tu dois avoir une idée.

Mais comme tout à l'heure elle resta inerte. Je m'accroupis de nouveau devant elle en lui prenant les bras.

- Je t'en prie Granger. Toi seule peut nous sauver. Tu dois bien avoir une idée.

Mais rien ne se passa.

- Granger je ne resterai pas là a voir la mort arriver alors que ma mère et les autres comptes sur moi. Sur nous. Je me força à dire ces deux derniers mots même si je ne les pensais pas vraiment.

Mais il fallait que je tente n'importe quoi pour la faire réagir et je n'avais pas vraiment le temps de lui envoyer à la figure tout ce que je pensais vraiment de son comportement. De plus j'avais la certitude que cela aurait fait tout l'inverse de ce que j'aurais voulu au vu de son état.

- Pense à Potter, pense à Ginny ! Va tu de nouveau la laisser tomber ?

- Ginny...

Ce n'était qu'un murmure mais ce n'était mieux que rien.

- Oui Ginny! Tu voulais savoir non ? Et bien je te dirai où elle est mais tu dois nous sortir d'ici.

Je savais que je mentait mais j'étais près à tout. Car si moi je ne me battait pas, elle ne le ferai pas. Et malgré moi je ne pouvais pas la laissé derrière moi. Je ne m'y résignais pas.

Soudain des pops sonore se fire entendre. Ils nous avait retrouvé. Je bondi sur mes jambes en m'emparent de ma baguette. Heureusement ils n'étaient que deux. Seulement voilà je devais aussi protéger Granger toujours amorphes sur le plancher.

Se fut acharné devant attaquée paré et nous protéger. Je crus que cela avait duré longtemps mais cela n'avait duré que quelques secondes avant que deux bras ne m'enserrent et me fit transplaner.

Le prix du sangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant