DARK OBSESSION

CHAPITRE 18

Un an plus tard....

Point de vue de Kayna:

Cela faisait maintenant un an que nous étions arrivé en Sicile avec Amir. Depuis notre arrivée ici, ma vie à littéralement changé. Je passe mes journées avec Esra à la villa ou dehors pour faire les magasins entre fille. En revanche, Amir passait énormément de temps à gérer les affaires de son gang. Malgré son absence, lui et moi, nous nous sommes énormément rapproché. Je peux même dire que j'ai trouvé en lui l'apaisement et la sécurité que je n'ai jamais eu auparavant. Je ne sais pas comment qualifié notre relation mais il est arrivé plusieurs fois que l'on s'embrasse sans pour autant aller plus loin, sauf il y a quelques jours où la situation à bien faillit dérapé si Esra n'était pas arriver....

Flashback:

Quelques jours plus tôt...

J'était tranquillement entrain de dormir dans un sommeil profond, Esra dormait dans sa chambre elle aussi depuis quelques heures. Amir quant à lui, était encore une fois parti en mission pour régler des problèmes dont il ne voulait pas nous parler mais on savait pertinemment que quelques choses le tracassait. J'entendis un bruit dans le couloir, je me leva de mon lit puis j'enfila un peignoir en satin. Je me dirigea ensuite vers le couloir. Quand j'entrouvris la porte pour regarder discrètement ce qui se passait , je vis Amir le visage en sang, essoufflé. Il était adossé au mur pour reprendre sa respiration, sa chemise noir était déboutonner laissant apparaitre sa musculature parfaitement dessiner. Ses mains étaient elles aussi recouverte de sang et d'égratignures. J'ouvris grand ma porte et je me précipita vers lui affolé. Quand il me vit il grogna surement pour exprimer son agacement de s'être fait cramé. Je tourna son visage avec ma main pour voir ses blessures puis je fronça les sourcils. Il fuyais mon regard et je savais que il aurait voulu que je ne le vois jamais dans cette état là.

J'attrapa un bout de sa chemise et je la tira en l'emmenant dans ma chambre pour pas que Esra ne le voit dans cet état là. Je l'asseya sur mon lit, puis j'alla chercher une trousse médicale dans la salle de bain. Je sorti des compresses et je les humidifia afin de les utiliser pour désinfecter les mini blessures qui se trouvais sur son visage. Je lui fis signe de la tête de coopérer pour que je puisse le soigner, ce qu'il fit en râlant en entrouvrant les jambes afin que je puisse me rapprocher de lui pour débuter les soins. Je leva son visage vers moi et je déposa la compresse sur son arcade afin de retirer le sang. J'essuya ensuite le sang qui coulait sur sa joue et je désinfecta la coupure qui se trouvait sur sa lèvre.

Quand la compresse se posa sur sa lèvre, je senti son regard se poser sur moi mais je fis genre de ne pas y prêter attention. Une chaleur se forma dans tout mon corps rien que de savoir que il était entrain de me fixer.

- Qui ? je lui demanda en fuyant son regard.

- Laisse tomber... me dit-il en tournant le visage.

J'attrapa son menton pour l'obliger à me regarder et je leva les sourcils étonné par sa réponse.

- Parle ! Qui t'as fait du mal ? je demanda énervé.

- Tu vas faire quoi lui casser la gueule ? me dit-il en provoquant ma colère.

- Pourquoi pas ... je répondis en haussant les épaules.

Il posa ses deux mains sur l'arrière de mes genoux et les remonta doucement sur l'arrière de mes cuisses. Il posa son regard sur mes lèvres puis il dessina un sourire sur le coin de ses lèvres. Je lâcha son menton et je mis chacun de mes genoux de part et autre de ses cuisses pour me retrouver en califourchon sur lui. Il frôla ses lèvres contre les miennes toujours le sourire aux lèvres. J'ai bien compris que je n'aurais pas les réponses à mes question pour maintenant. Il plaqua ses lèvres chaudes sur les miennes et m'embrassa langoureusement. Je posa mes mains chaudes sur son torse puis je les remonta sur ses épaules pour retirer délicatement le restant de sa chemise. Il retira le noeud de mon peignoir afin de l'ouvrir sans le retirer puis il glissa ses mains sur mes hanches. Je retira mes lèvres des siennes et je les déposa sur son cou.