CHAPITRE 2

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Plus la soirée défilez plus ma sobriété disparaissait petit à petit. Jusqu'à disparaître totalement, je ne disait plus rien j'était affalé sur le canapé à moitié endormie. Lya était entrain de se rapprocher de Isaak et je ne voulais pas la déranger en lui disant que ça n'allait pas. C'étais vraiment le cas , ça n'allait vraiment pas bien , des bouffées de chaleur s'emparer de mon corps, des nausées, des vertiges bref rien qui ne montrer quelques choses de bon. Tout à coup, une baston regroupa tout les étudiants dehors pour admirer le combats de coq. J'en profita pour me lever et me dirigeais à l'étage dans la première salle d'eau que je trouvais. Je réussissait difficilement à monter les escalier mais je me servi je la rambarde comme appuie. Une fois arrivée devant le lavabo, j'alluma l'eau et rinça mon visage pour me rafraichir. Une fois mon visage rincer je ressorti de la salle d'eau et longea les murs du couloirs en m'appuyant dessus pour garder un équilibre correct . Je me senti propulser d'un cou en arrière, quelqu'un m'attraper par les hanches et m'emmena dans une chambre inconnue. On me projeta sur un lit et m'empêcha de bouger en exerçant une force sur mes membre afin que je ne puisse pas me débattre. A vrai dire je ne pense pas que c'étais nécessaire car j'était bien trop bourré pour faire n'importe quels gestes. Je ne voyait rien, tout était très flou, je ressentait juste un poids d'homme sur mon corps. Je ne réaliser pas forcément ce qui ce passait, c'est quand je senti les mains de cette personne descendre sur ma cuisse que je commençait à réaliser. Était- il entrain de vouloir abuser de moi ? Qui était cette personne ?

- Je t'en supplie ne fait pas ça ... murmurais-je tout en me débattant.

- Tu es si bandante mon ange... me répondit-il tout en continuant de remonter sa main jusqu'à mes fesses.

- Lâche moi ! Ne me touches pas ! criais-je.

Il y avait tellement de bruit dehors à cause du rassemblement dut à la bagarre que les chances que quelqu'un entendent mes cries de détresse était minimes. L'homme rapprocha sa tête de moi, je senti ses lèvres dévorer mon cou. J'essayer tant bien que mal de réunir toute la force que j'avais en moi pour me débattre mais la fatigue était de plus en plus forte. J'étais dans un état second, je ne bougeait plus, ne parlez plus, mes yeux s'étaient fermer. Je senti d'un coup le poids se retirer d'un coup de mon corps comme ci il avait était propulser à des kilomètre. J'essayais tant bien que mal d'ouvrir les yeux mais en vain. Le seul sens que j'avait réussi à garder était l'ouïe. J'entendais tout avec quelques échos mais j'arrivais à distinguer les bruits. Dans un premier temps, j'entendis des coups, comme ci quelqu'un se prenait des droites puis j'entendais la voix de celui qui m'avait agressé supplier quelqu'un.

- Non arrête, je te demande pardon je ne sais pas ce qui m'a pris pitié ne me frappe pas !

- D'où tu te permets de toucher une femme sans son consentement espèce d'enculer ! Je vais te faire la peau !

J'entendis une succession de coups jusqu'à ne plus rien entendre. Seul un lourde respiration retentissais dans la chambre. L'homme qui m'avait sauver avait l'air d'être essoufflé après avoir tabasser l'autre ordure qui avait tenter de me violer. Tout à coup un coup de feu retenti à l'extérieure de la maison.

- ET MERDE !!!! grogna- ce dernier.

Il saisis mes jambes et passa son bras sous mon dos pour me porter et sortir d'ici en vitesse. Je ne parvint toujours pas à ouvrir mes yeux mais je réussis à chuchoter.

- Lya ... Je peux pas la laisser toute seule ...

- Elle ne sera pas seule je vais demander à quelqu'un de l'a ramener... me répondit-il d'une voix rassurante.

Je senti mon poids se poser à l'arrière de la voiture, plus précisément de ma voiture que je reconnue grâce à l'odeur et la texture des sièges en cuir. Je senti une main fouillé mon sac pour y ressortir les clé de la voiture. Il démarra la voiture est nous roulons pendant un peu prêt 15 minutes. Il s'arrêta et sorti de la voiture et ouvra ma portière pour de nouveau me porter jusqu'à ma chambre. Il ouvra la porte et me déposa tout doucement sur le lit avant de me recouvrir avec la couette.

DARK OBSESSION Où les histoires vivent. Découvrez maintenant