Une obsession [ EN REECRITURE]

8 GABIN

Présent 8 h

Je venais seulement de me lever que je reçus un message de mon père qui me demandait si j'étais près pour la mission, car elle approche à grands pas. Dans quelques jours, je pars en direction de l'Amérique centrale.

Je pris mon ordi pour voir où était Anaya, car oui, je lui ai mis une puce dans son téléphone depuis déjà quelques mois pour savoir où elle est au cas où elle serait en danger et c'est juste pour ça, bien sûr !

Je suis un peu un psychopathe non ?

Bon, elle est encore chez elle, ça va. Mais ça m'énerve toujours de ne pas savoir qui lui fait du mal, ça me ronge de l'intérieur. Après elle, elle s'est quand même déjà confiée à moi sur le pourquoi de comment elle se faisait du mal, même si j'ai l'impression qu'elle ne me disait pas tout. Car à chaque fois que je l'ai touché, elle s'est tendue, même quand je lui faisais son bras. Elle n'exprime pas de mal-être dans ses yeux, non, on dirait qu'elle avait peur. Mais peur de quoi ? Je ne sais pas putain !

Mais aussi tu t'attendant à quoi sérieux, quelle te dise tout sur elle, alors qu'elle ne te connait à peine

Soudain Ivy hurla m'extirpant de mes pensées

- les gars ! À l'aide !

Putain Ivy ! Je courus jusqu'à sa porte et vu Nael qui était là en train de se marrer. Mais qu'est-ce qui se passe et pourquoi elle a un coussin dans sa main ? Et qu'elle se qu'elle fait debout sur sa table de chevet ?

— Ivy, ça va ? Demandé-je inquiet.

— Non, il y a une araignée ! Enlever là, s'il te plaît !

Attendait, tout ses cris pour ça, pour une putain d'araignée de merde, elle est sérieuse

– Ahahah, elle est comme ça depuis 10 min, c'est trop drôle, se marrait Nael

— Mais ferme la Nael et enlève-la !

— Non, ça, c'est pour toutes les fois que tu me traites comme un gosse.

Il a intérêt à courir vite luit s'il ne veut pas être réduit en charpie quand elle serait sur la terre ferme

— Alors toi, tu vas voir, quand cette fichue araignée ne sera plus là, tu as intérêt à courir très vite, car je ne vais pas te louper, Nael !

Tiens qu'est ce que je disais déjà ?

— Oui, bon, vous avez fini, vous deux là ? Interviens-je

— Gabin, je t'en supplie, enlève là !

Bien sûr, mais rien n'est gratuit très cher

– Et qu'est-ce que j'ai en échange ?

— Gabin, ce n'est pas le moment de parler d'affaires, enlève là, et c'est tout !

C'est plus que le moment au contraire, tu es en points de faiblesse et je suis le seul à pouvoir la défaire de tout sa, car sans vouloir offenser Nael, je sais très bien que lui aussi a peur des araignées et que c'est pour sa qu'il ne lui enlève pas

— OK, bah salut !

— Non, non, tu ne vas pas m'abandonner comme ça quand même.

— Bah, regarde, c'est ce que je suis en train de faire.

— Ahahhah, tu es tout seul contre cette fiche araignée, maintenant, Ivy dit. Nael

Je me retournais près à partir quand

— Bon, qu'est-ce qui se passe ici ? Dit Éros en arrivant la tête dans le cul.

— Il se passe que ces deux connards ne veulent pas m'enlever cette putain d'araignée !