Chūya X reader [Ancienne Version]

Chapitre 1

Cette histoire commence au chapitre 7 de Bungo Stray Dogs
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-Dazai a disparu ? demanda un homme blond

-Il ne décroche pas son téléphone et, ajouta un jeune garçon aux cheveux courts, il n'est pas non plus retourné à son appartement.

Les autres personnes présentes dans la pièce se regardèrent.

-Il est probablement encore dans la rivière, dit le blond

-Ou peut-être encore sous terre, ajouta un adolescent blond au chapeau de paille

-Il a encore été retenu, c'est certain, rajouta un jeune homme aux cheveux noirs

-Il s'est passé des trucs pas très jolis ces derniers jours... tenta-t-il, Peut-être qu'il a été assassiné par la mafia...?

L'homme blond à lunettes répondit :

-Ne sois pas stupide. Cet homme est aussi capable de sentir le danger que de s'adapter pour survivre. Il commet constamment des suicides mais n'en a jamais réussi un. Ce type est increvable, comment la mafia pourrait le tuer...si lui-même n'y arrive pas ?

Je souris à ces mots.

-Mais quand même...

-Je vais vérifier ça.

C'était un jeune roux qui s'était proposé.

-Tanizaki-san, tu vas bien !

-Grâce au traitement du docteur Yosano.

-Tanizaki. dit l'homme à lunettes, Combien de fois as-tu été disséqué ?

Le visage de Tanizaki se mura dans la terreur la plus totale.

-...quatre fois...

Un silence se propagea à tous les personnes présentes dans la salle.

-Atsushi-kun, commença-t-il, en tant que membre de l'agence, tu ferais mieux de ne pas te blesser.

Il s'était accroupi et se cachait le visage avec ses mains. Atsushi le regarda avec étonnement.

-Tu n'as même pas fui quand tu as su que c'était la mafia. Tu as gardé ça pour toi, Tanizaki-san, poursuivit l'homme blond

-Je vais me promener, dis-je

Je sortis de l'agence. J'avais suivi mon "instinct de survie", comme disait Ranpo-sama. J'allai vers le port, là où je pensais trouver mon frère, à la mafia. J'ouvris une porte d'un entrepôt, et vis différentes personnes en train de discuter.

-Où est mon f-...

Je me rappelai qu'ils ne connaissaient pas mon identité. Je me repris :

-Où est Monsieur Dazai ?

Ils me dévisagèrent. Je compris qu'il n'était pas avec eux.

-Désolée de vous avoir dérangés.

Je fermai immédiatement la porte. Je suai à grosses gouttes. Je mis à courir loin du port, le plus possible en moins de temps que je le pouvais. Je me retrouvai par terre, un homme roux avec des yeux bleus céruléens sur mon dos. Il portait des vêtements noirs ainsi qu'un chapeau et des gants de la même couleur que ses vêtements.

-Qui es-tu ? me demanda-t-il

-Je pourrais vous poser la même question, dis-je, ce n'est pas très poli d'être sur le dos des gens...

Il descendit de mon dos.

-Tch, fit-il

Je me levai difficilement : mon dos me faisait mal.