Chapitre 3

249 18 6
                                    


Je n'en revenais pas. Pourquoi Onii-sama refusait-il que je voie Chūya ? Mais si je lui demandais, il aurait des soupçons. Je ne l'avais jamais interrogé sur son travail à la mafia portuaire, quand je l'avais découvert. Je décidai donc d'aller dans ma chambre, de prendre mon pyjama et d'aller à la douche. Cette douche me permit de me rafraîchir. J'allai ensuite dans mon lit où je m'endormis.

.
.
.

Le lendemain matin, à l'Agence des Détectives Armés :

-Mau...mauvaises nouvelles ! s'écria Tanizaki

Un hélicoptère se posa sur la route, en face de l'agence. Un homme blond en sorti avec une jeune femme rousse aux yeux turquoise et un autre homme.

 Un homme blond en sorti avec une jeune femme rousse aux yeux turquoise et un autre homme

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

-Ils ont été plus rapide que nous, dit Onii-sama, en se penchant sur la fenêtre.

.
.
.

-Je suis vraiment très enchanté de vous rencontrer. dit l'inconnu

Il était assis dans un fauteuil, tandis que ses deux compagnons étaient immobiles derrière lui. Moi aussi, j'étais derrière mon patron.

-Président Fukuna... Fukuda...

-Fukuzawa, répondit le patron

Je n'aimais pas cet étranger. Comment pouvait-il écorcher le nom de Fukuzawa-sama ?

-Oui, voilà. Maintenant que j'y pense...je n'aurai certainement pas dû laisser mon hélicoptère au milieu de la route ? Mais ce n'est pas vraiment ma faute, c'est la première fois que je visite une entreprise sans plate-forme pour hélicoptères.

Il m'irritait encore plus avec ses paroles. Je me demandais comment le patron faisait pour le supporter. Il devait faire semblant, je pense.

-Vous venez de loin, invités d'honneur étrangers. Vous devez être fatigués. Que puis-je faire pour vous ?

Naomie servit le thé aux étrangers.

-Oooh, quel rare motif. Et dire que je pensais m'y connaître en porcelaine, fit l'étranger blond en admirant la tasse qui était dans sa main gauche et qu'il avait levée dans les airs. De quelle marque s'agit-il ? Royal Franco ? Ou bien El Zelga ?

-Ça vient du magasin de céramique Shimomura d'à côté.

Naomie tourna la tête. Je me demandai pourquoi pour cet américain, tout ce qui était beau devait forcément être de marque.

-Comme c'est grossier de ma part.

Il porta la tasse à ses lèvres. La fumée s'échappait encore du liquide chaud. Il avança sur la table une carte et dit :

-Mon nom est Fitzgerald. Je viens de l'organisation américaine connue sous le nom de "La Guilde". En dehors de ça, j'ai 3 conglomérats et 5 hôtels à mon nom, poursuivit-il, ...ainsi qu'une compagnie aérienne et un entreprise de chemin de fer...

Chūya X reader [Ancienne Version] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant