TOXIC LOVE

CHAPITRE 4 - Les hôpitaux

Oriena

- Non... mie... Je...

Ma tête cogne, l'impression que le monde tourne dans ma tête est violent, si bien que je n'arrive pas a ouvrir les yeux malgré le fait que je reprends peu à peu conscience.

Bip, Bip ,Bip. Bip, Bip, Bip.

Mes sourcils se fronce alors que la peur gonfle dans ma poitrine.

Je connais ce bruit.

Je connais cette odeur.

Je les connais mieux que personne même.

Malgré ma douleur, malgré mes nausées, j'ouvre doucement les yeux. Les rideau de la pièce sont fermé, seule la lumière blanche m'attaque la vue pourtant, je ne cille pas et je sens mon pou accéléré.

L'hôpital, je suis à l'hôpital.

Qu'est-ce que je fous à l'hôpital putain ?! Je... Je... FAIS CHIER !

Mon pou s'emballe et ma tête tourne alors que doucement les évènements de la veille me revienne. J'entends les bips des machines accéléré et le son devenir plus fort. Les mains tremblantes de retire d'un mouvement brusque tout ce qui me rattachais à celle-ci.

Je n'arrive plus a respiré. Je sens l'intégralité de mon corps trembler, je n'arrive plus a respirer, je ne sens plus l'air pénétré mes poumons.

J'essaie de tirer sur la tenue que je porte pour libéré mon coup, j'ai besoin d'air, j'ai besoin de sortir d'ici.

- ...NA ! Qu'est-ce qui t'arrive putain !

Mon regard se tourne vers la personne à mon chevet et sans vraiment réfléchir je lui montre mon cou.

- L'a... L'air. Je bégaie.

Je revoie ma mère allonger à la même place où j'étais précédemment, ma faisant de douce promesse sur son rétablissement. Je n'avais que 10 ans putain !

J'ai froid et chaud à la fois, j'ai envie de gerbé et mes larmes se contienne difficilement dans mes yeux.

Mes pensées sont bruyantes. Trop bruyantes.

"Je me rétablirai promis Oriena"

"Pleurnicharde"

"Je suis désolé ma chérie"

"Oh ferme là, tu n'es pas bien différente d'elle"

Ce n'est que maintenant que je remarque que Zane me porte, je sens le vent frappé l'intégralité de mon corps, pourtant seuls mes mains et mes pieds sont gelé.

J'ai froid, et il est chaud.

J'essaie de reprendre mon calme en sentant de plus en plus la fraicheur de l'extérieur se rapproché, et me colle un peu plus contre la personne qui me porte à présent.

De la chaleur masculine... C'est tellement injuste, je n'y est jamais eu droit. J'ai entendu tellement de fois que le première amour d'une petite fille était son père... Et c'est vrai, mais ce que je trouve injuste, c'est que l'amour que j'avais pour lui n'étais pas réciproque. Il était là, mais il ne l'étais pas à la fois.

Présent mais absent.

Vous ne trouvez pas ça injuste vous ? Moi si... Un peu trop même, je n'ai pas eu attendre un garçon pour me faire brisé le cœur, j'avais déjà mon père pour ça.

Je sens une chaleur contrasté avec mon visage froid et ce n'est que là que je reviens enfin à la réalité et que je me rends compte qu'on est plus dans l'hôpital et que Zane s'est mis de sorte à ce que je ne vois pas celui-ci.