TOXIC LOVE

CHAPITRE 7 - L'hôpital ?!

Oriena

Je le fixe du regard complètement bouche bée et dans l'incompréhension de sa présence ici, et lui me fixe de son fidèle sourire niais et de ses bras croisé contre son torse.

Avant même que je ne puisse lui demander ce qu'il fou ici, je le vois décroisée les bras et passer sans que je m'y attende ni sans que je puisse le repousser, passé une main autour de me épaules avant de me serrer contre lui.

- On doit y aller les filles salut. Dit Zane en leur faisant un signe de main avant de m'embarquer avec lui à l'extérieur des vestiaires.

- T'es au courant que mes affaires sont encore dans les vestiaires ? Et puis où est-ce que tu m'emmène encore ? Je lui demande alors qu'on s'avançait un peu plus dans les couloirs vide.

- Tu dois récupéré ton téléphone. Me répond t-il alors toujours en marchant.

Je m'arrête net, il continua à avancer encore de quelques pas avant de s'arrêter à son tour et de se tourné vers moi en comprenant que je ne le suis plus.

- En-

- On doit retourner à l'hôpital ? Je le coupe en passant une main dans mes cheveux.

Le regard agacé que me lançait Zane s'adoucit, mais pas mon regard à moi, je suis totalement paniqué.

Pas l'hôpital, tout mais pas l'hôpital !

Je me suis toujours considéré comme forte, j'ai toujours sus canaliser mes peur et mes émotions, ne pas repenser au passée le terrer au fond de moi.

Je sais le faire... Mais pas aujourd'hui, pas cette fois.

J'ai l'impression de m'affaiblir un peu plus chaque jours, j'ai l'impression de perdre pied.

Est-ce l'hiver qui me fait devenir plus faible ? C'est toujours la période où je suis la plus sensible. C'est bizarre non ?

Je rechute à chaque fois... C'est une période horrible l'hiver... Je ne l'aime pas du tout.

Contrairement à Ariela je ne m'automutile pas, mais l'hiver c'est le retour des cauchemar, le retour des idées noir, le retour des souvenirs... C'est le cas de toute l'année, mais l'hiver c'est tellement plus violent.

- On doit juste faire un allée retour, je ne peux pas le récupéré à ta place. Répond t-il alors.

Mes mains se mettent à trembler d'elles mêmes et je les cache derrière mon dos.

Des bouffer de chaleur s'empare de moi et l'envie de gerber se fait sentir.

Une crise d'angoisse, putain il ne manquait plus que ça. Je devais juste participer à mon cours de volley tranquille moi !

Mes bouffées d'air se font de moins en moins fréquente, et mon rythme cardiaque ne fait que s'élever de plus en plus.

Ma tête se mets à tourner et sans plus prêter attention au monde qui m'entoure, je m'effondre sur le sol la main sur mon cœur à essayer de reprendre doucement ma respiration.

- Ena ! J'entends sa voix résonner et pourtant je la sens s'éloigner de plus en plus de moi ou plutôt je l'entends plus chuchoter que crier avec le bordel dans mon esprit.

Je ne te réconforterai pas pour la mort d'une trompeuse, arrête de chialer pleurnicharde.

Tu as de la chance ton père est super ! Et puis t'es super riche ! Tu devrais être heureuse.