TOXIC LOVE

CHAPITRE 35 - Maison d'enfance

Oriena

- Surtout ne sors pas de l'hôtel avant huit heures et ne sort pas après vingt et une heure et encore.

Je ne prête pas vraiment ses règles qu'il ne cesse de rabâcher depuis qu'il m'a dit :

"- On fait un arrêt avant de partir"

Je me disais qu'on c'était réveillée beaucoup trop tôt alors que notre avion décolle à quinze heures.

- Ena faut que tu écoute ! Me crie t-il.

Je lève les yeux au ciel et croise mes bras contre ma poitrine.

- Tu ne nous ac-

- Accompagnera en mission qu'une seule fois. Je le coupe.

Il me lance une œillade avant de se re concentrer sur la route.

- Oui parce que-

- C'est trop dangereux pour une débutante sans beaucoup d'entraînement. Je l'interrompt une nouvelle fois.

Cette fois-ci il me lance un regard noir qui me fait esquissé un sourire.

Il aime pas beaucoup ça apparemment, ce qui me fait encore plus adorer.

J'adore lui casser les couilles.

- Tu vas arrêter ça ? Me demande t-il.

Je souris de plus belle.

- Arrêté quoi ? Je lui retourne alors faussement innocente.

Je le vois lever les yeux au ciel, alors que je souris comme une gamine en me tournant vers la fenêtre alors qu'il ne répond rien.

Le trajet se poursuit donc dans le silence le plus total avec lui concentré sur la route et moi me perdant dans mes pensées en repensant à ce que Lucas m'a dit.

Si mon paternel à carrément appeler Ariela c'est que ce doit vraiment être important, je devrais peut être le rappeler.

Mais... Ça a sûrement un rapport avec son remariage, je ne veux rien avoir à faire, je l'ai prévenu, je ne veux plus me mêler à son monde du travaille.

J'ai déjà assez donné en ce qui concerne son entreprise, je l'ai laisser se servir de moi, pendant des années. Me demandant de sourire faussement au journaliste pour qu'il puisse se faire promouvoir plus rapidement.

Après tout, qui ne serait pas attendri de voir un père seul s'occuper aussi "bien" de sa fille ?

Je vois le paysage se défilé et je le fixe jusqu'à ce qu'on arrive à destination.

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- Où est-ce qu'on est ? Je demande lorsque Zane arrête la voiture.

Il décroche sa ceinture en se tournant vers moi et je reste une seconde immobiliser par son regard. Juste le temps de me remettre de la surprise puis il se penche dans ma direction et alors que je pensais qu'il allait m'embrasser, le clic du décrochement de la ceinture me ramena vite à la réalité.