CHAPITRE 13 - Annonce de départ

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Oriena

J'ai mal. Physiquement et mentalement. J'ai mal.

Que ce soit se réveillé après une soirée bien arrosé et le mal de crâne qui nous accompagne au réveil ou même le mal torturant du cœur qui nous accompagne après un beau rêve et le sentiment de solitude qui nous accompagne après le réveil.

Les beaux rêves sont rare, mais quand ils sont présents, tu ne veux qu'une chose y retournée et ne jamais t'en réveillée.

Je déteste le mal qui me tort la poitrine, je déteste le fait que j'espère voir ma mère apparaître un beau sourire au visage dans ma chambre pour me faire une de ses étreintes chaleureuses et me dire que tour n'était qu'une grosse et mauvaise blague poisson d'avril.

Mais ça n'arrivera pas et même si je n'arrive pas à en convaincre mon cœur, mon cerveau lui le sait et c'est une certitude pour lui.

Je pousse un soupire en plongeant ma main dans mes cheveux à présent emmêlé comme pas possible puis je me lève dans le but de chercher un verre d'eau mais je retombe immédiatement dans mon lit, je n'ai pas de force.

Mais lorsque je tourne la tête, j'aperçois tout ce dont j'avais besoin, aspirine plus eau, c'est magnifique.

Sans me poser plus de question, j'attaque immédiatement et malgré ma tête encore douloureuse, je prends mon téléphone et vérifie.

Toujours rien, aucune notification. Où pas de lui en tout cas.

J'appuie sur les autres messages lambda qu'on m'envoie, des "Ena tu peux m'envoyer la fin du cours de philo stp" ou "C'est qui le mec qui est venus de chercher la dernière fois en début d'entraînement meuf ?"

Je réponds, regarde quelques storie sur insta, et je continue jusqu'à ce que je remarque qu'il est déjà presque midi. Je commence les cours à 15 heures 00 aujourd'hui, j'ai encore le temps de pouvoir me préparé fin ça... C'était si je n'avais pas le makup à réalisé à côté.

Je me lève de mon lit, ma tête toujours un peu douloureuse mais beaucoup moins qu'au réveil. Je prends une grande inspiration avant d'ouvrir mon armoire hésitant vraiment à venir en cours, mais je repense à Ariela et je sens qu'elle aura des choses à me raconter aujourd'hui. Une de mes seuls motivation.

Je cherche ce que je peux mettre aujourd'hui et je décide de prendre un pull rose bonbon, épaules nus accompagner d'un jean noir slim, je me dirige par la suite dans la salle de bain, et je m'étonne en face du miroir de voir mon  visage démaquillé.

Au fait... Comment est-ce que je suis rentré hier soir ? Je me souviens a peine d'être sortie de la boite... J'étais si bourré que ça ?

Je soupire et me dis que je poserai plus tard des questions à Zane sur cette soirée. 

Durant ma douche, je repense à mon rêve de cette nuit, où tout allait pour le mieux, où maman était encore en vie. A ce parc où j'avais tant de bon souvenir.

A cette pensée, un flashback d'hier soir me reviens et le moment où je suis descendu de la voiture. Le moment où je me suis posé sur la balançoire et ai commence à me balancer les yeux river sur le ciel à chercher l'étoile la plus brillante puis à parler comme si celle-ci était ma mère et qu'elle brillait pour me dire qu'elle était là, et qu'elle m'écouterai.

Je lui ai parlé, et même si je ne sais plus exactement de quoi, je sais qu'au final je me réfugié sous la cabane parce qu'on est quand même en hiver et que ma tenus n'était absolument pas adapté à la saison.

TOXIC LOVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant