CHAPITRE 27 - Centre commercial

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Zane

Je détestais cette vulnérabilité, cette envie soudaine de lui raconté tout ce qui me tracassais comme si le lui dire allait me soulager, me faire sentir mieux. 

Mais je ne voulais pas aller mieux. 

Je voulais rester enfermer dans ma solitude, me soûler après le travail retourner en boite, baiser et recommencer chaque jour. 

J'aimais ma routine, j'aimais mes ténèbres.

Je voulais embrasser Ena, la toucher, l'explorer je voulais tellement de chose mais en aucun cas quelle dompte mes ténèbres. Et je sais qu'elle en a elle aussi, elle aurait aimer que je les lui chasse sûrement, parce que je le vois qu'elle en souffre... Mais je ne suis pas dans se genre là. 

Au lieu de les dompter, je préfère plutôt les exploités. 

J'aurai aimer que ce soit différent, ça aurait sûrement pu l'être... Mais je tiens trop à ma douleur. Et sans que je sache pourquoi, je sais que Ena m'est lié, d'une manière ou d'une autre. Je n'arrive pas a détourné le regard d'elle lorsqu'elle entre dans une pièce, je ne sais limite plus comment je m'appelle lorsque ses lèvres se retrouve à proximité des miennes, elle traîne dans mes pensées en permanences, tant que s'en ai parfois agaçant. 

Je pousse un soupire mes mains couvrant mon visage et je ressors de ma poche la lettre de Miia que je trimbale partout avec moi. 

Salut Zane !!

J'espère que tu vas bien ?? Fin je veux dire même si je suis morte parce que si tu as cette lettre c'est bien pour cette raison, je suis désolé... Je sais que tu tenais autant à moi que Kane et même si je ne e considérais pas vraiment comme un frère personnellement, j'apprécie la façon dont tu m'a traiter malgré tout. Je n'arrive pas à croire que je suis entrain de te livrer mes sentiment à travers cette lettre, mais bon on dit souvent que parfois écrire ce que l'on ressent à une personne est parfois plus pertinent que les mots eux même. Donc voilà je me jette à l'eau, je t'aime. Je sais que tu le savais déjà, je t'ai vu prendre tes distances avec moi, et ne t'inquiète pas je ne t'en veux pas. Je n'ai jamais été du genre à en vouloir tu sais, fin un peu à mon frère quand même, tu le savais toi aussi du coup vu que tu travaille aussi dans cette organisation... Vous auriez pu tout me dire quand même ! (la je boude)

Je retournais la feuille un petit sourire aux lèvre en voyant à quel point Miia à beaucoup écrit

 Enfin bon, je voulais que tu saches que malgré tout tu compte pour moi. Tu sais, je ne t'ai jamais vu autant sourire que ses derniers temps, mon frère n'y prêtais pas attention trop concentré sur Ariela, mais je t'ai observé moi, tu souriais, puis tu riais, tu t'énervais et tu étais surpris, toute ses émotions à travers seulement un écran. Je ne sais pas vraiment ce qui t'a fais devenir comme ça, ou si je le sais mais je ne veux pas me l'avouer, je serais bouffe par la jalousie et j'aime beaucoup trop Ena pour ça. Mais je ne veux pas que tu te fermes sur toi même, je sais qu'après la mort de ton père et tout ce qu s'est passé après tu n'as plus été le même mais même toi un jour tu finira par te lasser de souffrir mais si tu te renferme sur toi tu verras qu'après le jour où tu ira mieux personne ne sera là parce que tu les auras tous repoussé, et je t'ai trop aimé pour te laisser continuer de t'autodétruite.

Ne m'oublie pas Miia. 

Je passa une main dans mes cheveux en pagaille et poussa un soupire. Je ne peux faire ce qu'elle me demande. 

Il y a certaine personne qui prétende que les gens qui souffrent sont faible, d'autre qu'ils sont plus courageux que d'autre mais en vérité ils sont juste fort. 

TOXIC LOVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant