CHAPITRE 17 - Sur la route

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Oriena

Alors que sur le compte de l'entreprise de mon père je balançait des commentaires moqueurs, des avis sur ses produits et plein d'autre chose qui le ramènerai à sa perte, j'entendis la porte toquer.

Je me leva du canapé secoua mon pyjama plein de miette de pain, puis je m'avança jusqu'à l'entrée en éteignant mon écran et enfin ouvrir la porte.

Je fronce les sourcils en voyant Zane les mains sur les genoux et le souffle lourd. Il a couru ou quoi ? Il prend un temps infini à reprendre son souffle puis il finit par enfin me demandé :

- Tu vas bien ?

Je décroise les bras que j'avais précédemment croisé et mes sourcils se re froncèrent. Est-il au courant pour mon père ? Mais comment le saurait t-il ? Et pourquoi s'en soucierai t-il ?

Mais alors que les interrogation se bousculaient dans mon esprit, je me rendis soudainement compte que je n'avais pas répondu à la question qu'il m'a posé et que l'air de son visage s'est largement assombris.

- Pourquoi ? Je lui répond par une autre question.

- Peut être parce que tu m'as harceler de message avant de te mettre en sourdine et ne plus répondre ! En plus ton téléphone ne semble pas à sèche n'est-ce pas ? Lance t-il en fixant l'écran allumé dans mes mains.

Je ré éteins le téléphone comme un reflex que j'ai pris et me reprends rapidement au moment où je me suis rendu compte que je m'apprêtais à m'excuser pour mon silence.

- Je n'ai aucun compte à te rendre, tu ne m'as pas répondu, je ne te réponds pas. C'est le moins que je puisse faire mon chaton. Je lui lance un sourire aux lèvres.

- Tu crois ? Et moi qui pensais commencer ton entrainement... Si tu ne me donne rien en retour je ne te donnerai aucun cours. C'est le moins que je puisse faire принцесса.

J'écarquille les yeux et porte mes mains à ma bouche.

- On commence aujourd'hui alors ? Je lui lance un grand sourire aux lèvres ignorant totalement sa pique. 

- Non du coup. Il me stoppe. 

Je lève les yeux au ciel le trouvant maintenant totalement ridicule et je soupire.

- Si, si, allez on commence où ? Je lui dis quand même.

S'il croit pouvoir me dire non à moi. Il se met le doigt dans le cul ce chien. Je suis persuadé que cet entrainement va pouvoir me faire pensée à autre chose que Esteban ou mon père pendant quelques heures, il faut que je saisisse l'occasion.

Il laisse le silence durée quelques secondes. J'attends qu'il me réponde pour savoir si je dois encore insisté ou plutôt allé m'habiller.

Je commence à trituré mes doigts lorsqu'enfin après un long moment à se regarder les yeux dans les yeux, il finit par soupirer et me répond :

- Tu as cinq minutes pour te préparé.

- OK ! Je crie alors en m'éloignant déjà en direction de ma chambre. 

Je m'avance vers mon armoire, j'en sors un survêtement gris et un top rose, je les enfile rapidement puis me rendant compte que je n'ai toujours pas ranger l'autre chambre je prends mon téléphone et appel Rina. 

 - Ma chérie ? Demande t-elle en décrochant.

- Oui ça va Rina ? Je lui demande en terminant de m'attacher les cheveux en queue de cheval haute.

TOXIC LOVEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant