TOXIC LOVE

CHAPITRE 25 - Le héros

Zane

J'ai les nerfs.

Comment ça oui ? Comment ça elle l'apprécie ?

Je fulmine, je ne vais pas le cacher. Du moins je n'arrive pas à le cacher.

Son intervention précédente m'avais déjà mis sur les nerfs mais alors là ?

Je passe une main dans mes cheveux, ses paroles tournant encore en boucle dans mon esprit et ravivant encore le désir éprouver il y a peu de temps dans la chambre.

Encore un peu, et elle serait dans mon lit à crier au rt fort mon prénom au lieu de parler de ce connard.

Peut être que j'aurai dû cédé au lieu de résister. Peut être que cette situation m'aurait arranger.

Mais j'ai un putain d'ego trop fort pour perdre face à celle qui arrive à me faire ressentir dix fois plus d'émotions que les femmes précédente.

Parce qu'elle n'a pas cédé, elle non plus. Parce qu'elle me résiste. Et ça m'excite.

De plus en plus.

- Non... Répond la petite amie de mon meilleur ami l'air inquiète sous mon regard noir et mon ton froid.

Je serre les dents lorsque Ena détourne son regard du mien pour le poser sur sa meilleure amie.

Je n'aurais jamais penser être jaloux... Et encore moins d'une fille.

- Si, et beaucoup. Interviens alors Ena le regard noir et électrique poser sur moi.

Elle repense aussi à notre altercation dans la chambre j'en suis persuadé.

- Alors si tu pouvais prendre ce que tu veux prendre et déguerpir ce serai pas mal. Ajoute t-elle.

Je me pince les lèvres, réprimant ainsi le sourire qui me viens et je balance :

- Sinon je peux te déposer chez ton petit copain aussi. Je lance froidement en réponse.

Elle se renfrogne sur elle même et je fais de même. Je déteste cette fille autant que je la désir, elle me met tellement les nerfs autant du bon côté que du mauvais.

Elle ne répond rien et on reste là à se sonder du regard. Chacun de nous gardons le regard dans celui de l'autre oubliant tout de la présence d'Ariela.

Du moins jusqu'à ce qu'elle ouvre la bouche :

- Oui bon c'est bien mignon tout ça mais nous on a un film à regarder ! Hein Ena ?

Elle cherche une réponse mais encore une fois sa meilleure amie l'ignore sûrement perdu dans ses pensées.

Pense t-elle à notre altercation dans la chambre ? Ou à celle dans la salle d'entraînement ?

A cette pensée, la froideur de mon visage est remplacé par un sourire railleur.

Aucune femme ne me résiste, elle ne fera pas objection à la règle.

Pourtant dès que mon sourire apparaît elle sort de ses songes j'accuse le coup de coude de Ariela qui la un peu aider et elle lui répète sa question.

- Oui, oui, alors casse toi. Elle me lance froidement fixant exprès un point derrière mon épaule.

Je lève les yeux au ciel.