•|Deux Chats|•

Chapitre 4

"-Il faut juste y croire."

Je me réveilla dans les bras du faux blond. Je le regarda attentivement. Il arborait un magnifique sourire. Je posa ma main dans ses doux cheveux. Je pense l'avoir déjà vu autre fois, il me parait étrangement familier. Je me demande si lui pense la même chose. Nous nous sommes approcher vite car je crois que je le connais, même beaucoup. Je caressa les petites mèches de Kenma et le serra plus fort contre moi. 

-Kenma... Ça me rappel quelqu'un...

-Tient pareil... Kuroo... Se prénom me sonne familier...

Je sursauta en voyant que le plus jeune c'était réveillé. Son regard s'encra dans le mien. Je lui attrapa la main et la mis dans la mienne. Son regard s'était adouci, je pouvais sentir son cœur battre fort près du mien. Je me rappel, mais oui je me rappel très bien. Il y avait un Kenma qui habitait dans le même quartier que moi et nous jouions beaucoup au volley. Maintenant sa me revient enfin ! C'est lui moi ami d'enfance. Il avait déménager et nous avions jamais pu reprendre contacte. Je souris heureux, je déplaça mes mains vers sa taille pour le resserrer encore plus contre moi. Je le regarda confus mais heureux. Lui aussi paraissait assez confus.

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Kuroo souriait comme d'habitude. Ce jour là il retrouva Kenma comme tout les jours. Chaque jours les deux amis jouaient au volley ensemble, chaque jours qui passaient ils s'entrainaient ensemble. Kenma travaillait ses passes et Kuroo travaillait ses attaques smashés. Kenma pouffait toujours à chaque fois que son ami ratait ses passes mais ils ne s'arrêtaient pas pour autant. Dès que le faux blond attrapa sa console Kuroo lui attrapa le bras ce qui mit Kenma dans tout ses états. Il rougissait tellement qu'il mettait feu à l'intérieur. Les deux amis habitaient proches l'un de l'autre, ils avaient huit ans à cette époque là. Ils allaient dans la même école primaire et était dans la même classe. Ils étaient toujours ensemble jusqu'à la fin du collège. Les deux amis furent séparés. Kuroo n'avait plus envie de continuer décourager, son ami lui manquait terriblement. Kenma, lui, il ne pouvait pas jouer au volley sans le noiraud. Il étaient "le duo inséparable" jusqu'à ce qu'ils soient pour de bon séparés. Tellement cette séparation était terrible les deux amis en pleuraient tout les soirs. Ils étaient tout les deux très différents, l'un était très social et l'autre préférait rester sur ses jeux plutôt de s'ouvrir aux autres. Un était populaire et bruyant alors que Kenma était seul et calme. Ils ne s'étaient pas parler depuis maintenant plus de quatre ans mais maintenant retournons dans le présent.

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Un petit flash-back passa vite fait dans ma tête. Je me releva brusquement. Que je suis débile, je ne l'avais pas reconnu. J'avais des sentiments puissant pour le Kenma d'avant mais ils sont toujours pareils aujourd'hui. Je l'ai aimé depuis très jeune. Depuis treize ans j'attends ce jour là. Depuis treize ans je gardais ce poids sur mes épaules. Maintenant mon secret révélé je ne sentais plus un gramme dessus. Il se releva à son tour  à côté de moi. Il m'attrapa mon bras comme à l'ancien temps en rigolant.

-Tu as tellement grandis que je ne t'avais pas reconnu, avoua t-il en rigolant de plus belle.

-Et toi tu n'as pas changer tu es toujours aussi beau, lui murmurais-je à l'oreille.

Il rougit instantanément, je rigola doucement puis l'embrassa sur le front. Je dégagea les quelques mèches qui recouvraient son visage. J'attrapa son visage avec mes deux mains. Celui-ci posa ses mains sur les miennes.

-Et si nous allons jouer au volley comme au bon vieux temps ?

-Quelle bonne idée ca'ptaine !

Kenma avait muri et moi aussi pourtant nous avons garder un côté enfantin. Je l'attrapa par la mains et couru dehors avec lui. Nous nous arrêtions essoufflé. Nous ne regardions totalement débilement.

-Et si nous commencions par avoir une balle de volley ? Demanda le faux blond au noiraud.

Je le regarda en souriant. Nous dévalions la pente d'herbes. Arrivé devant chez ma mère je sonna. Elle nous ouvrit avec un grand sourire. Nous rentrions toujours main dans la main.

-B'jour maman.

-Coucou mon chéri, qui est-ce ?

Je regarda l'intéressé avec un grand sourire. Kenma me sera fermement la main sous le coup du stresse. Je le rassura un caressant celle-ci avec mon pouce. Ma mère me regarda avec beaucoup d'amabilité.

-C'est mon petit ami.

J'avais dit cette phrase avec énormément d'assurance pour quelqu'un qui stressait comme un fou. Kenma n'osait plus bouger il osait à peine respirer. Ma mère me regarda longtemps, mais son expression était toujours la même. Elle souriait de plus en plus. Elle me fit un calin.

-Je suis si contente pour toi je croyais que tu allais rester seul toute ta vie.

-Maman... Je ne sais pas si c'est gentil ou pas.

Ma mère rigolait sous nos regards embarrassés. 

-Je suppose que c'est Kenma ?

-Ou... Oui c'est ça.

Je regarda mes pieds, ils étaient devenus intéressant, très intéressant à analysé mais pas plus que Kenma. Je me mis une gifle mentalement. Nous sommes venus ici pour récupérer une balle rien d'autre.

-Est-ce que tu as garder la balle de volley ? Demandais-je en priant que oui.

-Oui bien sur elle est sûrement dans le garage.

Je tira mon copain avec moi dans le garage. Une petite balle de volley était correctement ranger entre les autres dizaines. Seul cette balle m'intéressait, celle qui nous avait conduit de notre maternelle jusqu'au lycée. Je l'attrapa et la mis sous un de mes bras. J'attrapa le filet qui allait avec et sortis dehors accompagné de Kenma. Une fois dehors j'installa tout.

-On est le sang, on s'écoule sans encombre et on fait circuler l'oxygène pour que le cerveau puisse bien fonctionner.

Kenma me regarda ébahi. Les souvenirs, notre jeunesse nous manquait tellement. Le volley, l'équipe Nekoma. Le faux blond sauta dans mes bras presque en larmes. Je le serra contre moi en souriant. Sans que Kenma le sache de petites silhouettes familières s'approchaient de nous accompagnées de Yaku et de Lev.

-Salut les gars !