4 saison pour entrer dans l'histoire Tome 1 :L'été 18

Lundi 5 juin 2028

Je suis réveillé par la douce voix de mon copain :

-Hey princesse. Faut se réveillé.

Je saisi mon téléphone et consulte l'heure quatre heure du matin. Malgré l'envie de me retourner et de me rendormir ausitôt, je me lève de mon lit. En silence nous montons les marches et allons dans la salle à manger.

-Café ? je demande.

-Oui ! s'exclame Aimée

Je ne sais pas par quel miracle elle parvient a être de bonne humeur à quatre du matin un lundi. Je fais couler trois cafés et en tends deux à Aimée  et Éthan. Je sors ensuite du placard des gâteaux et les posent sur la table. Nous déjeunons en silence. La journée va être longue, très longue.

Quand nous finissons de déjeuner, chacun de nous nous préparons chacun de notre cotés. Mon sac prêt, nous nous équipons et sortons de ma maison. Quand enfin, nous apercevons la voiture de nos entraîneurs, nous ne trainons pas et nous mettons en route pour Paris. Je me souviens de la dernière fois où je m y suis rendu, c'était pour aller voir un concert, celui de mon idole. Coldplay. J'y étais avec ma mère a côté de moi et mes grands parents un peu plus loin. La chaleur du stade était étouffante et horrible mais c'est un souvenir magnifique à jamais gravé dans ma memoire. Le seul truc un peu négatif est qu'après le concert il y avais pas assez de taxi est que nous avions du marcher quatre kilomètres en plein cœur de Paris. Mais ma grand-mère me nourrissait au gâteau alors ça a été.

Nous roulons tant que nous pouvons, pour éviter les embouteillages. Mais six heures de route plus tard nous sommes obligés de nous arrêter, à cause des embouteillages. Notamment à cause des personnes partant travailler. Comme il ne nous reste qu'une heure quarante de route, nous décidons de nous arrêter dans un café au abord d'Orléans. Nous nous garons prêt d'un petit café et nous dirigeons vers lui. Nous nous asseyons à une table de cinq et nous commandons. Mon ventre gargouille et attends avec impatience notre commande. Quand elle arrive enfin, si ce n'est que je me jette dessus. Mon café descends lentement dans la gorge tandis que je mâche mes gâteaux. Nous mangeons dans un silence apesant. Ce serai mentir si je disais qu'après presque 6h de route je n'avais pas un mal de crâne impossible. J'avais bien sûr tout prévu. Doliprane dans la poche j'annonce :

-Je vais au toilette avant de repartir.

Je me lève et me dirige vers les toilettes. Je me jette de l'eau sur le visage, mets mes mains en coupe et avale le comprimé. La porte claque au même moment. Ethan.

-Je savais bien que tu n'étais pas tres bien, murmure t-il.

-Je vais très bien. Qu'es que tu racontes ! mentis je alors que ma tête me fait de plus en plus mal.

J'ai certainement pris un coup de chaud à force d'être au soleil.

-Ne me mens pas, réponds-t-il.

-Je ne te ment pas ! je m'exclame.

-Si tu allais si bien que ça pourquoi as pris un doliprane ? me demande t-il.

Et merde ! Le paquet de comprimés est juste à cotés de moi. Quelle débile d'avoir essayé de lui mentir.

-Oui bon d'accord. Peut être que j'ai un peu mal à la tête à cause du soleil, j'avoue confuse.

-J'en étais sûr, chuchote t-il, tu veux qu'on attende un peu qu'il fasse effet ou ça va aller princesse ?

-Ça va aller, répondis je en sortant des toilettes.

Enfin j'espère. Nous payons, enfin les entraîneurs du moins, puis reprenons la route direction Paris.

A l'entrée de Paris les bouchons nous posent plus de problèmes que nous l'aurions penser. Il est en même temps presque midi, l'heure de pointe, et malheureusement pour nous la chaleur de la capitale est étouffante. J'ouvre ma visière en espérant trouver un peu d'air frais mais malheureusement l'air est chaud et ne me rafraîchis pas du tout. Mes deux camarades de routes, eux aussi, font une sale tête. Signe que eux aussi en ont marre et que nous aurons, ce soir, une bonne excuse pour nous détendre dans nos chambres. Nous passons devant la salle ou nous jouerons pas plus tard que dans une ou deux heures, puis devant la tour eiffel. Sur le chemin je croise plusieurs influenceurs motards que je suis, je les saluent en retenant qui j'ai croisés pour le leur dire plus tard.