Chapitre 14: In the pencil's Shadow.

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[ Deux jours plus tôt]

Sous un ciel gris brouillait le ciel par sa morne. La population privait d'un soleil éclatant rare depuis le mois de janvier. À l'université prestigieuse de Séoul, dans le département sciences sociales et santé, un jeune homme à la chevelure platine clair lambinait les couloirs, les cernes qui marquait son manque de sommeil. Il enfonçait ses écouteurs dans ses oreilles de sa récente playlist indie de Sombr ou la mélopée adagios le détendait. Ses yeux fatigués scrutaient distraitement les écrans de ses camarades, chaque sourire affiché exacerbant son propre sentiment de dédain. Ses doigts scrollait les réseaux sociaux, regardant les photos de ses camarades vivre des vies apparemment plus légères. Il n'était pas envieux, mais souhaitait parfois pouvoir respirer un peu. Une image de son meilleur ami apparut sur son écran, montrant les coulisses de son spectacle en Italie. D'ailleurs, ce dernier ne lui avait toujours pas raconté comment s'était passé son spectacle.

Il n'avait eu que deux cours, envisageant déjà de passer le reste d'après-midi à la bibliothèque. Lorsqu'il faisait une pause sur ses cours de psychologie, le blond se surprit à analyser machinalement les expressions des étudiants plongés dans leurs livres. 'Dissociation,' pensa-t-il en observant un fille dont les yeux semblaient vides malgré la page qu'il tournait.

La journée passa assez rapidement. Vers dix-neuf heures, il se rendit à son travail de serveur dans un restaurant. Alors qu'il servait un client au restaurant, un léger tremblement envahit sa main. 'Pas maintenant,' murmura-t-il pour lui-même, forçant un sourire en posant l'assiette sur la table. Le sourire forcé sur son visage cachait les débris d'une affreuse nuit. Son service dura jusqu'à vingt-trois heures. Il se dirigea ensuite vers la petite salle d'étude réservée aux étudiants, un espace rempli de notes et de mémos. Sa routine commençait toujours par boire un sirop vitaminé, brancher ses écouteurs, puis continua de travailler jusqu'à deux heures du matin, avant de rentrer. Une journée bien chargée dont il avait l'habitude.

Dans son petit appartement d'une pièce, comprenant une cuisine, une chambre et un espace salle de bain. Il pouvait respirer. Exténué, il s'effondra sur son lit, son téléphone à la main. Mais des bras vinrent l'entourer sans qu'il ne s'y attende. Une respiration chaude se posait dans son cou.

— Han-ah, j'ai chaud !

— Pourquoi tu sens toujours aussi bon après ta douche ? répond ce dernier humant la chair de ses clavicules, relaxait par cette voix grave de l'autre.

— Arrête, tu me donnes des frissons à souffler sur mon cou comme ça !

— Oh, excuse-moi, sourit ce dernier.

— Pourquoi es-tu là ce soir ?

Ce dernier passait beaucoup de temps dans son appartement ces derniers jours depuis son voyage à Milan.

𝒟єνιℓ's ѕιℓєη¢єᴴʸᵘⁿˡⁱˣOù les histoires vivent. Découvrez maintenant