Chapitre 5: The premise clock.

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Tic, tac, tic, tac ! Cloîtrait les aiguilles de l'horloge dans les tympans du brun

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Tic, tac, tic, tac ! Cloîtrait les aiguilles de l'horloge dans les tympans du brun. Il ouïes les chaque secondes passant, l'œillade perdu devant la photo posée sur le bureau. Sous le crépuscule mourant dans le silence de la pièce à peine éclairée, ses pensées plongeaient devant elle, la photo d'un homme autrefois le centre de son univers : son père. Cet homme, jadis une figure imposante et puissante, ne fut plus. Chacun avait une vision différente de la mort. Certains la voyaient comme une fin brutale, une coupure nette dans le tissu de l'existence et d'autres comme une libération. Hyunjin se demandait quelle fut le ressenti de son père face au trépas.

Ses dernières paroles avant cette coupure réanimaient le cortex mémoriel de sa tête à chaque bout d'instant. Bien qu'une lâche partie désirait ne plus s'en rappeler. Les effaçait de ses cauchemars. Son timbre qui lui tournait en boucle: "Boire le vin ensemble". Ils n'avaient jamais bu, n'y même partagé un repas. Sa présence était devenue évanescente, comme une ombre qui glisse lui aussi dans les murmures de ses maux.

Ce jour-là, Felix l'avait endormi sous les ordres de son père, pour essayé de le sauver et son bras droit avait fini blessé. Lorsqu'il avait rouvert les yeux, sa face avait pâli dans sa jauge. Entendre l'homme autrefois invincible depuis petit être finalement mort avait été une leçon cruelle sur la mortalité, un rappel à n'être rien de plus qu'un humain sous les traces d'un destin établi. Aucune larme, aucune tristesse n'avait dessiné son visage. Seules les voix se faisaient plus forte. Intérieurement, sa rage le maintenait, une rage folle contre ses ennemis. Toutes les têtes du clan, et les enfants avaient été tuées, ne laissant rien. Tout cela sous le nom de ce que ces ordures avaient appelé ça le "grand terrassement". Le pire, c'est qu'il n'avait pas réussi à retrouver le corps de son père, ni à lui dire au revoir. Il est maintenant seul à la tête de tout ça. Comment allait-il faire ? Il n'avait pas le droit de faiblir. Même s'il n'avait que vingt-et-un an, il n'avait pas le droit d'être faible. C'était à lui que tout revenait et ce que son père lui avait appris était suffisant. Cette erreur serait la dernière!

Le plus gros était la perte de l'Oriex. Une arme que possèdent leurs familles depuis le pouvoir de son père. Une arme destructrice constituant des noms de dirigeant importants en plus de clés cryptographiques qui permettent l'accès à un réseau de sécurité mondial, des comptes bancaires offshore, ou même des systèmes d'armes avancés. Par dessus le marché, il n'avait pas encore réussi à rejoindre les États-Unis, là où il avait encore de l'influence. Les Lycans étaient bien trop puissants dans ce pays et la grandeur du clan Hadès semblait insignifiante face à eux sur leur territoire. S'il se pointait à l'aéroport ou ailleurs, ce serait la fin pour lui.

Hyunjin vivait caché depuis deux mois, humilié, par son inutilité. Leur nom n'était plus aussi craint et son père n'était plus là. Il se trouvait dans une propriété secrète des Hwang, ou plutôt des Shim, la famille de sa mère. Il se posait dans le petit bureau sombre où son père avait l'habitude de s'installer. Depuis maintenant deux mois, il planifiait méticuleusement un plan. Un renforcement de manière très rapide, une chose qu'il connaissait. En plusieurs semaines, le peu des hommes de main qui lui restaient avait infiltré un premier ennemi, celui qui avait lié son père à ce marché. Lui et le bras droit de son père, M. John, devaient agir avec réactivité et rétablir sa place aussi vite que possible. Le jeune homme n'avait pas le temps pour le deuil, cela n'en valait pas la peine.

𝒟єνιℓ's ѕιℓєη¢єᴴʸᵘⁿˡⁱˣOù les histoires vivent. Découvrez maintenant